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Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024

Publié le

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La chanson de Reggiani est d'actualité.

Filer la métaphore ne résoudra rien. Elle sera comprise par celles et ceux qui ne sont en rien responsables de la honte qui se répète à intervalles réguliers dans le pays des droits de l'homme.

J'ai regardé une finale de tennis hier après-midi, je pourrais y trouver de quoi alimenter une chronique. Le sport est une activité qui génère des envolées lyriques, des écrivains en avaient fait un dérivatif.

Un match de football se déroulait hier soir, amical. Le résultat fut nul, comme le match, pantomine de gamins jouant à la baballe, 22 types qui courent après un ballon, tirent aux buts sans conviction, histoire de se débarrasser de la patate chaude. Je commence à y voir une image de la future fuite de responsabilités dans ce qui va nous tomber dessus en début d'été.

La plage était ensoleillée, le vent un peu frais. Les enfants jouent dans le sable, nous devisons sur le temps qui passe. Un ami vient se ressourcer sur la côte bretonne, il respire le grand air.

Je lis "La langue des choses cachées", terrifiante métaphore, concentré de ce que nous sommes capables de faire. La littérature illustre à merveille, enjolive des actes par ailleurs totalement insupportables. L'esthétique des mots codifie l'horreur, la distancie. Nous pouvons toucher du doigt l'indicible sans nous salir les mains, l'âme peut-être en souffrira-t-elle ?

A cet instant, nul ne sait si les loups s'installeront de nouveau dans Paris, ils y campent de temps à autre.

Bonne semaine à toutes et à tous.

Bises

Les images montrent un monde disparu, musée improbable jonché d'objets hétéroclites et obsolètes.

Ceci est une autre métaphore sur la fragilité de ce qui nous entoure, tout comme la couverture avec deux électeurs allant voter.

 

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