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Going home / il est 7h50 le 18 juillet 2024

Publié le

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En été, le calendrier politique est censé être plus calme, ce qui n'est qu'un trompe l'oeil. Le prince a compris assez vite tout le parti qu'il pouvait tirer d'une période estivale. Attendre que le personnel politique s'arrange pour choisir à sa place un premier ministre et, par voie de conséquence, un gouvernement représentatif de la mosaïque idéologique sortie des urnes. Les Jeux Olympiques arrivent pour créer un consensus de façade, personne n'oserait troubler le barnum sportif sous peine de se griller définitivement. L'eau est bonne pour la baignade dans la Seine, je ne sais pas si j'oserai...

L'idée n'est pas mauvaise en soi, il est à espérer que la qualité perdure une fois les Jeux terminés.

Une constante cacophonie à gauche, l'incapacité à gouverner, tels sont les enseignements à tirer des "tractations" sur le choix d'un nom de premier ministre entre les formation du NFP. Je crains que l'entente électorale n’était que ça, électorale. Comment peut-on imaginer une seule seconde que ces gens puissent s'entendre pour gouverner ensemble ? Et qui plus est, appliquer un programme, et quel programme ? Je suis déçu, le mot est faible. Nous pouvons compter sur une presse sans concession pour la gauche pour rajouter de l'huile sur le feu. Mais non, nul besoin, ils le font très bien tous ensemble, les uns contre les autres.

J'ai trouvé un bijou hier / Le triple album vinyl de Woodstock, pochette d'origine 1970 et les disques en excellent état. Ci-joint un extrait...

Autre préoccupation, le temps qu'il fait...

L'été 2024 a eu une journée de douceur sur la côte Nord hier, la plage sans trop de nuages ni de soleil écrasant, une brise évacuant l'éventuelle brûlure d'un astre trop insistant. La marée haute a fait le plein de degrés, quelques courants caressent le corps, une eau donne ses bienfaits, les enfants s'éclaboussent, le grand père proteste en souriant, trop heureux. 

Je retourne à ma lecture, le siège de plage curieusement incliné offre une posture en suspension, l'usure de quelques éléments mécaniques ajoute à l'assise un confort appréciable. Je replonge dans la Chine du tournant du siècle, agrémentée de flashbacks dans la tourmente de la révolution culturelle des années soixante. La pire période de l'histoire humaine du vingtième siècle, tous continents confondus, est méconnu du plus grand nombre, au delà de la Shoah dans les nombres terrifiants de victimes, morts programmés et...oubliés, niés et balayés d'un revers de main. Mao fut le plus grand massacreur de l'histoire moderne, devant Staline et Hitler. Il est toujours vénéré, son corps embaumé est une attraction touristique incontournable pour les touristes qui visitent Pékin. 

La curieuse façon que nous avons de nous arranger avec les faits historiques, de contourner les obstacles mémoriels pour mieux satisfaire nos besoins les plus prosaïques, ce processus mental occulte dans nos achats de chaque jour l'origine des biens qui nous entoure dans notre quotidien. 

Dans notre France tranquille en proie à des peurs virtuelles, nous allons chercher ailleurs de quoi nous effrayer, les fenêtres ouvertes sur le monde donnent à voir un spectacle de désolation. Fermez-les et regardez autour de vous de quoi est fait le quotidien de ces villes et villages dans lesquels les gens vont au travail, emmènent leurs enfants à l'école, participent à la vie associative, vont au spectacle, au cinéma, au restaurant. Tout cela est possible, faisable sans trop de frayeurs autre que celles distillées par les ouvertures médiatiques anxiogènes, récupérées par des formations politiques dont le seul but est le pouvoir, le prendre et le garder. 

Je ne peux hélas pas fermer les fenêtres sur le monde, je les ouvre chaque jour, je trie ce que je vois, ce que je ressens et quand la mer se retire, il reste sur le sable ce que j'ai décidé de garder, la richesse du mélange des cultures, l'apport indispensable de l'échange, aussi vital que l'air que je respire. 

Images d'Irlande 2008

 

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