Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024

Publié le

Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024
Fin d'été / Il est 7h38 le 28 août 2024

Vidéo récente pour chanson des sixties, ce qui crée un anachronisme curieux.

Je commence hier un roman de la rentrée littéraire, "Bien-être", de Nathan Hill chez Gallimard. Les premières 50 pages sont prometteuses dans l'approche descriptive d'une atmosphère urbaine comme je les aime. A suivre donc pour les jours qui viennent une immersion dans la ville de Chicago que je n'aurai sans doute pas l'occasion de visiter. Une plongée en littérature donne des sensations particulières, à mettre à l'épreuve d'un contact terrestre, les pas dans ceux d'écrivains divers. Je l'ai fait ailleurs, nous verrons bien ce que l'avenir nous réserve.

Le cirque politique continue ad nauseum, honte et vomissures sur la fonction présidentielle de la part de celui qui occupe la place. Il ose recevoir ceux qui veulent, selon lui, redresser l'image de la France, ou une expression du même genre. Ses communicants doivent s'arracher les cheveux dans l'exercice rhétorique de la phrase qui tente de faire oublier celui par qui l’opprobre s'est déversée sur le pays. L'amnésie gagne du terrain, le silence médiatique de certains (Ruffin, Attal) est étrange. Un No man's land de la gouvernance s'est installé. On ne sait qui est aux commandes de l'avion, en mode automatique.

La rentrée approche pour celles et ceux concernés par ce virage à négocier, dans le travail ou la vie personnelle. Un bruissement se fait entendre, la circulation se fait plus dense aux abords des cités à la sortie des bureaux, je l'ai constaté hier près de Rennes vers 17 heures. Vous savez donc que j'étais de passage dans la capitale bretonne hier après-midi.

Dans les préoccupations du moment, mon appartement est toujours à vendre, l'été se termine sans contact particulier. Pas de désespérance mais un agacement point sur la ligne bleue de ma patience.

Peu ou pas d'écriture créative, juste une suite de mots chaque jour, un remplissage de quelques centaines de signes d'un intérêt limité.

Les goélands font un raffut ce matin sur le toit d'en face...

Voilà, ce sera tout pour ce matin, un réveil tranquille, neurones au repos et ciel dégagé dans ces derniers jours d'Août. L'été permet de voir celles et ceux que l'on ne peut toucher le reste de l'année. Cette parenthèse vit mes enfants visiter leur père, bons moments de partage et peu d'autres visites à signaler.

La foule se disperse au fil du temps, devant l'estrade, les rangs des auditeurs s'éclaircissent, la place se vide petit à petit.

Bonne journée

En images, Douarnenez 2016 ou un vrai rassemblement de vieux gréements.

Commenter cet article