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Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024

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Toujours pas de gouvernement, ce qui devient ...rien.  Le défilé des visiteurs à l'hôtel Matignon se réduit de jour en jour aux mêmes personnages, d'une frange politique que l'on croyait moribonde. Elle l'est, bénéficiant juste d'un sursis dû à un théâtre d'ombres chinoises dont les ficelles du marionnettiste Sarkozy s'agitent en tous sens. Le dernier homme au pouvoir de la secte des "Républicains" continue de se sentir important. Il traîne encore quelques casseroles dont il aimerait se débarrasser, gardant le contact avec ce qui reste de la gouvernance française. La proximité, on n'ose dire idéologique, avec le prince Macron, permet ce tour de passe-passe d'un vieux cacique qui n'a pas osé dire non, et qui ne sait comment se dépêtrer du piège tendu de la constitution d'un gouvernement mort-né. Et voilà l'ex-premier ministres, excédé par ces tergiversations, qui menace d'une fronde parlementaire ce futur exécutif.

Que reste-t-il au pauvre Barnier dans cette Assemblée hérissée de piques ? Pour qui s'intéresse aux intrigues de palais, ce mois de septembre est un vrai bonheur. Il faut de toute urgence relire "Le prince" de Machiavel qui, en son temps, écrivit ce mode d'emploi à l'usage des gens de pouvoir ou de ceux qui y aspirent.

De l'autre côté de l'Atlantique, le sieur Trump fatigue mais méfiance...

En Palestine, il y a longtemps que la guerre a pris ses quartiers tout autour de l'état hébreu qui étend de jour en jour les champs de ruines comme autant de cordons sanitaires. Le pays vit au rythme des coups de menton d'un premier ministre de plus en plus isolé, soumis à des manifestations quotidiennes demandant, là aussi, sa destitution. Il n'en a cure, le soutien américain sera toujours présent après l'élection du 4 novembre, quelque soit le résultat.

Un autre pays souhaiterait un assouplissement, je veux parler de Cuba, dont on se demande pourquoi l'embargo, aux conséquences réelles sur le vie dans l'île, existe encore. Le Congrès américain a bloqué les initiatives d'Obama, nous verrons s'il en sera ainsi au cas où les démocrates restent à la Maison Blanche. Biden n'a rien fait à ce sujet.

Qu'a-t-il fait au demeurant que l'Histoire retiendra ?

Les mots d'aujourd'hui pèsent peu, comme d'habitude mais je retiendrai que les éléments se déchaînent, que nous sommes indifférents, que l'Afrique sub-saharienne subit ses pires inondations depuis...toujours, avec des centaines de victimes. L'Europe centrale a les pieds dans l'eau, elle aussi, nous sommes au courant.

Quelle importance !

Une bande-son de 1971...

et des images d'avant.

Bonne journée

 

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