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Pérenne ? / il est 8h33 le 20 octobre 2024

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Le choix des après-midis quand il fait beau est singulièrement compliqué quand on a arpenté par petits bouts le sentier côtier depuis quelques années. D'aucuns disent : "On ne s'en lasse pas... Si, on peut y trouver l'impermanence, comme dirait quelqu'un, la pérennité qui rassure ou qui angoisse. Petit, je venais dans ce coin avec mes parents, j'y suis venu avec mes enfants, j'y ai marché seul, je déambule accompagné désormais, c'est bien aussi. Le trait de côte ne bouge pas, un peu dans certains endroits, pas de quoi briser l’immarcescible rugosité du granit et le sentiment d'impunité face aux éléments, là-haut, perché sur la falaise. 

Tout ça pour ne rien dire, qu'une balade sur le GR34 ressemble à une autre, un autre jour, en d'autres temps. J'y étais il y a une semaine, expliquant la marée, agréable moment, déjà vécu quelques décennies plus tôt, ce phénomène de l'eau qui s'en va et qui revient. Les enfants écoutent jusqu'à un certain âge, ensuite, ils savent mieux que vous.

A Dahouet, la marée est visible plus qu'ailleurs, le port est inaccessible quand la mer se retire, et la hauteur d'eau y est affichée en temps réel quand elle revient, vous connaissez en général le tirant d'eau de votre embarcation, évitant les fâcheux plantages.

Erik Satie et ses quelques notes placées, un peu comme des gouttes d'eau tombant sur le sol de manière aléatoire, à intervalles irréguliers. Unique et mystérieuse alchimie que l'alignement de sonorités, j'y suis sensible depuis toujours.

Beau hier, pluie aujourd'hui, la météo est versatile, comme l'humeur.

L'actualité reste d'une mortelle constance.

Bon dimanche.

 

 

 

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