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Evaporées / Il est 7h37 le 14 janvier 2025

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Une séquence au bord de la mer prise dimanche dernier, jour de grand soleil fait assez rare en cette saison.

Clarisse n'était pas là, ainsi que Mylène, Sylphide, et Esther, toutes indisponibles pour ce bol d'air piquant. Elles se sont évaporées dans une faille spatio-temporelle, non-sens scienfifique bien connu des amateurs de science-fiction. A moins de les rejoindre dans un espace incertain et dangereux, je les laisse découvrir "l'interstellar overdrive", avec lequel elles parcoureront les galaxies lointaines, si inatteignables que personne n'a pu en revenir et témoigner de leur existence.

Les quatres diablesses sèmeront-elles la zizanie chez les aliens ?

Nous le sauront lors d'un improbable retour, quand le soleil aura effectué son tour habituel, nous laissant sans chaleur ni douceur.

Je m'égare, je vaticine, je babille, je dis, je parle, je me disperse, je me ventile.

Entr'aperçu hier soir quelques extraits du cinéma de papa, Gabin, Delon et les autres et Michel Bouquet, plus retors que jamais, je zappe, vu et revu, je replonge dans une mini-série fort violente, un peu beaucoup me suis-je dit et je revois le film vu dans l'après-midi, Les huit montagnes, adaptation d'un roman italien. Une belle amitié nous est contée, de cette force d'âme qui dépasse les êtres, mieux que l'amour, le lien ne se dénoue qu'une fois le travail achevé. Un peu lent mais le temps est un personnage, l'appréciation ne se goûte qu'avec l'étirement, long en bouche.

Tout comme le dernier roman de Gaelle Josse, au rythme mesuré, plaisante promenade en Italie qui me repose en attendant le plongeon dans les affres fictionnelles de Joyce Carol Oates.

L'actualité suit son cours mortifère, ses dénis et mascarades.

A bientôt les filles,

see you next time...

Bonne journée

En bande-son, une légèreté à L.A et les images, respiration iodée.

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