Non-sens / Il est 8h53 le 21 janvier 2025
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Louis Armstrong - What A Wonderful World (At The BBC)
Louis Armstrong performs "What A Wonderful World" live at BBC Studios in 1968. Pre-order 'Louis in London', out July 12: https://louisarmstrong.lnk.to/LouisinLondonID Subscribe and ring the bell to
L'overdose d'une couverture médiatique a été atteinte hier lors de la prise de fonctions du "grand blond". Les premiers décrets sont tombés, les commentaires affluent, laissant de côté les véritables traits de caractère de ce type. Un délinquant de droit commun pilote la première puissance économique, un prédateur sexuel, escroc, chacun le sait. Il serait peut-être honorable que nos dirigeants, au courant de de ces malversations, parlent d'une seule et même voix pour dire ces choses, ces faits avérés, jugés, et les qualifier avant d'aller serrer servilement la main de ce monsieur, un concentré de ce que l'humanité peut de temps à autre produire comme dégénéré, aux conséquences néfastes pour ses contemporains et les générations futures. Les idées qu'ils professent n'en sont pas, elles ne sont que le fruit pourri qu'un bateleur de foire retors pourrait vendre sur son étal, le pire du pire, juste pour satisfaire un égo malade et bouffi.
Que pas un responsable politique d'envergure n'ose dire tout haut la vérité sur ce grand malade donne une idée effarante de la veulerie des dirigeants de notre planète.
La diplomatie a des limites dans l'indécence.
Que je me défoule (modestement) ce matin, tout le monde s'en fiche,
Mais que des dizaines de dirigeants parlent d'une même voix honoreraient l'espèce humaine.
Je vois à l'horizon nos amis aliens, revenus des lointaines galaxies. Il sont aux portes de notre monde, fidèles à leur promesse de venir aux nouvelles de temps à autre.
Le propre de l'être humain est sa prévisibilité dans la bêtise, l'ignominie et ce qui va avec.
" Ils ont décroché le ponpon, disent-ils en coeur, intervenir serait mal compris dans un tel brouhaha. Nous repasserons dans quatre ans".
Les quatre dames avaient disparu du paysage. Elles décident de rentrer sur Terre malgré tout, sauf Sylphide.
Un vaisseau est mis à leur disposition, un pilote les déposera de nuit dans un endroit tranquille de France, la diagonale du vide fera l'affaire.
Carisse, Mylène et Esther saluent leurs hôtes et rentrent au bercail, soucieuses de ce charivari. Elles ont appris lors du séjour interstellaire. Le temps écoulé correspond à une année dans l'autre monde, quelques jours seulement ici bas.
Le fermier qui les trouve dans un chemin creux les salue, leur offre le couvert. Elles ont acquis quelques pouvoirs, inconnus, à mettre en pratique rapidement.
Clarisse est chargé de la mission la plus délicate. Une place lui est réservée sur un vol pour Washington. Esther n'est que de passage elle aussi sur le sol français. Un vol pour Pékin décolle le lendemain soir de Roissy.
Quant à Mylène, Paris l'attend et ne le sait pas.
La suite demain pour de nouvelles aventures.
Sylphide est restée, non par rétention, juste pour parfaire une formation dont nous parlerons plus tard.
Un peu de dérision aide à respirer, le feu d'artifice participe de cette fête du non-sens.
Bonne journée