Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024

Publié le

Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024
Madrid jour 1 / Il est 7h56 le 30 septembre 2024

Quelques jours dans la capitale espagnole permettent de prendre le soleil, au vu de la météo du retour. Les images colorées, les tableaux de maîtres admirés dans les musées vous font cligner les yeux, tant de magnificences vous font voyager hors des sentiers que vous foulez habituellement.

Les mots manquent dans le décalage que l'on ressent à chaque retour de voyage.

Aujourd'hui comme les autres fois, je décante, prends mon temps. Chaque jour de cette semaine, je choisirai quelques photos qui me sembleront correspondre à l'idée que je me fais du jour correspondant à la promenade madrilène.

Pas de clichés du musée du Prado, il est interdit de voler des images. Cela peut, je pense, correspondre à une nécessaire concentration d'une appréciation de chaque instant des oeuvres proposées. Chacun pourra se faire une idée en y allant, ou en visitant le site dudit musée.

La rue est fort présente dans ces clichés, ainsi que les autres lieux de culture.

C'est parti pour la semaine.

Pas de commentaire sur l'actualité, désespérante de cruauté ou de médiocrité, selon les évènements dont il est question.

Bonne journée

La bande-son est de mon choix, un trio de virtuoses au sommet de leur art.

Voir les commentaires

Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024

Publié le

Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024
Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024
Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024
Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024
Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024
Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024
Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024
Vacances / Il est 8h24 le 23 septembre 2024

Une escapade pour la semaine, des images à venir, promis, je m'absente. Un peu de mouvement ne nuit pas, histoire de secouer la poussière qui s'accumule sur les chaussures.

Janis comme bande-son, et tout va mieux dans le club des enfants perdus...

La Une du Monde : Israël continue de bombarder le Sud-Liban.

Les premiers pas du gouvernement provisoire, n'en doutons pas, au bal des faux-culs... les masques tombent.

Images de Corse 2016.

Lecture en cours :

Le syndrome de l'Orangerie de Grégoire BOUILLIER.  Élucubrations personnelles sur les Nymphéas de Monet. Page 250, je commence à me lasser de certains automatismes d'écriture mais cela reste plaisant.

Allez, bonne semaine.

 

Voir les commentaires

Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024

Publié le

Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024
Paix / Il est 7h57 le 22 septembre 2024

Au 21 septembre 2024, un nouveau gouvernement vit le jour en France. Les nouveaux visages du pouvoir ne peuvent cacher une déception attendue. Peu importe que le ministre de l'économie soit un premier de la classe, que le sieur de l'intérieur soit un triste sire, une espèce de clone de Zemmour, éructant sa haine de ce qui n'est pas de souche. Les autres sont d'illustres inconnus fidèles toutous du président. Il y aura quelques dessins moqueurs, j'ose espérer. 

Un ministère du tourisme a été créé à l'heure où le cap des 100 millions de visiteurs va être franchi. Le sur-tourisme guette, et a déjà atteint nos côtes, ces étrangers-là sont les bienvenus.

Rien à attendre de neuf, si ce n'est une continuité dans un libéralisme décomplexé et un nationalisme de plus en plus libéré.

Il y avait hier une Journée de la Paix, je ne sais quoi dire tant l'actualité nous abreuve d'images de mort.

Promouvoir une culture de paix était le thème de cette année. En cette journée, les armes étaient censées se taire. Il est préférable de ne pas regarder le résumé des informations d'hier.

Hier, j'avais une séance de dédicace dans une librairie. Je le dis, rien à ajouter, ni regret, ni joie, un bon moment passé dans un lieu de paix.

Le patrimoine est à l'honneur ce week-end, lieux de mémoire, châteaux et lieux de culte ou de pouvoir vont faire le plein.

La réécriture de l'Histoire est lourde de conséquences, du mépris du vote populaire, d'un déni de démocratie. Le territoire français est parsemé de témoignages de ce fut un régime non-démocratique, il y a peut-être une nostalgie non-dite dans les files de visiteurs assiégeant pacifiquement des lieux de mémoire.

Vous pouvez applaudir, ils l'ont fait et à la prochaine consultation électorale, inutile de vous déplacer, votre voix ne sera pas prise en compte, demandez conseil au châtelain du coin.

Je blague.

Bon dimanche

La bande-son date d'un temps...

Quant aux images, l'Islande en 2016.

 

 

 

Voir les commentaires

L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024

Publié le

L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024
L'horizon / Il est 7h40 le 21 septembre 2024

La grève de Saint-Brieuc étale sa langueur en ce jour d'une marée au coefficient de 115. Le ciel est clair, légèrement voilé par une brume qui rend la promenade agréable. Peu de vent accompagne nos pas, une marche tranquille de ce vendredi après-midi, en prémisse d'un week-end d'automne. Le premier jour d'une nouvelle saison, aperçue dans les buissons au hasard de feuilles rougies par le cycle sans fin du renouvellement végétal annuel qui clôturera une année de plus, ce jour est bleu pâle en attendant le gris à venir des mois suivants.

Profitons de ce jour...

Dédicace ce matin dans une librairie, avant-dernière confrontation avec le lecteur lambda inconnu, s'il n'est pas connu, existe-t-il ? ou elle ?

Peu importe, l'écrit est couché sur le papier attendant le coup de grâce.

Peu ou rien à dire sur le vaste monde.

Le grand Jacques en bande-son, lui, sa lucidité et sa grande intelligence, parti mourir loin.

Les Marquises, ah les îles...

Bonne journée

Voir les commentaires

Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024

Publié le

Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024
Bis repetita / Il est 7h27 le 20 septembre 2024

Les journées du patrimoine s'ouvrent à nous, peuple de France, trop heureux de pouvoir arpenter les allées du pouvoir, celui d'hier comme celui d'aujourd'hui.

Châteaux, palais et belles demeures dévoilent leurs trésors, fruits de rapines plus ou moins avouées, récentes ou lointaines incursions en des territoires conquis de haute lutte.

Trêve de sarcasmes, il faut apprécier ce que l'on nous propose.

En images aujourd'hui, une promenade en France en quête de patrimoine à visiter et la bande-son du jour me ramène vingt ans en arrière, un concert annulé de la chanteuse anglaise,

toujours plaisante à entendre.

Bonne journée

Rien aujourd'hui qui ne soit qu'une répétition de la veille.

Voir les commentaires

Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024

Publié le

Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024
Frictions / il est 7h02 le 19 septembre 2024

Quelques images sans effets spéciaux prises hier après-midi à Dahouet (22), sur la commune côtière de Pléneuf reposent les neurones d'un retraité qui vaque à des occupations destinées à tuer le temps qui passe, qui n'en finit pas de passer, mais c'est son job, au temps, de défiler son ruban infini sur lequel s'inscrivent les millions de vies déjà écoulées. L'endroit n'est pas extraordinaire, ne s'inscrit pas dans un cadre spectaculaire, un peu massacré par quelques constructions modernes, et cela continue. Mais j'aime assez. Les forts coefficients de marée de cette semaine dévoilent un estran conséquent. Je ne pêche pas à pied, je marche là où je devrais nager en temps normal, privilège du breton qui, s'il ne marche pas sur l'eau, peut toutefois s'affranchir de ce paradoxe temporel le temps d'une marée conciliante.

L'actualité du matin qui se lève laisse apparaître des frictions entre le premier et le second personnage de l'Etat, toujours sans gouvernance. Je propose de passer outre et de laisser la main aux techniciens qui font le travail en ce moment, depuis trois mois environ.

Pourquoi s'encombrer de ministres qui ne sont que des noms, sans compétences particulières, juste destinés à servir de fusible selon le bon vouloir du prince. Un ministre mène une politique dans le domaine qui lui est attribué, avec une orientation, on n'ose dire un projet puisqu'il n'aura pas le temps ni les moyens de la concevoir, encore moins de la mettre en oeuvre. 

Si c'est pour expédier les affaires courantes, les hauts fonctionnaires sont là. La symbolique politique attendra, l'utopie a vécu, et les petits calculs fatiguent tout le monde.

Allez, ouste :

Un président

Un premier ministre

Et quelques fusibles, mettons quatre ou cinq sous-fifres, trop content d'avoir un strapontin.

L'actualité à l'extérieur est une guerre aveugle qui continue ses exactions.

Vous n'avez pas de biper, vous êtes passé au smartphone, vous ne risquez rien. 

Il n'y a pas de mots, les scénarios ou romans inspirent le réel, non l'inverse.

Bonne journée

La bande-son est un bonheur à savourer...

Voir les commentaires

Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024

Publié le

Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024
Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024
Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024
Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024
Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024
Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024
Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024
Rien ne change / Il est 9h04 le 18 septembre 2024

Toujours pas de gouvernement, ce qui devient ...rien.  Le défilé des visiteurs à l'hôtel Matignon se réduit de jour en jour aux mêmes personnages, d'une frange politique que l'on croyait moribonde. Elle l'est, bénéficiant juste d'un sursis dû à un théâtre d'ombres chinoises dont les ficelles du marionnettiste Sarkozy s'agitent en tous sens. Le dernier homme au pouvoir de la secte des "Républicains" continue de se sentir important. Il traîne encore quelques casseroles dont il aimerait se débarrasser, gardant le contact avec ce qui reste de la gouvernance française. La proximité, on n'ose dire idéologique, avec le prince Macron, permet ce tour de passe-passe d'un vieux cacique qui n'a pas osé dire non, et qui ne sait comment se dépêtrer du piège tendu de la constitution d'un gouvernement mort-né. Et voilà l'ex-premier ministres, excédé par ces tergiversations, qui menace d'une fronde parlementaire ce futur exécutif.

Que reste-t-il au pauvre Barnier dans cette Assemblée hérissée de piques ? Pour qui s'intéresse aux intrigues de palais, ce mois de septembre est un vrai bonheur. Il faut de toute urgence relire "Le prince" de Machiavel qui, en son temps, écrivit ce mode d'emploi à l'usage des gens de pouvoir ou de ceux qui y aspirent.

De l'autre côté de l'Atlantique, le sieur Trump fatigue mais méfiance...

En Palestine, il y a longtemps que la guerre a pris ses quartiers tout autour de l'état hébreu qui étend de jour en jour les champs de ruines comme autant de cordons sanitaires. Le pays vit au rythme des coups de menton d'un premier ministre de plus en plus isolé, soumis à des manifestations quotidiennes demandant, là aussi, sa destitution. Il n'en a cure, le soutien américain sera toujours présent après l'élection du 4 novembre, quelque soit le résultat.

Un autre pays souhaiterait un assouplissement, je veux parler de Cuba, dont on se demande pourquoi l'embargo, aux conséquences réelles sur le vie dans l'île, existe encore. Le Congrès américain a bloqué les initiatives d'Obama, nous verrons s'il en sera ainsi au cas où les démocrates restent à la Maison Blanche. Biden n'a rien fait à ce sujet.

Qu'a-t-il fait au demeurant que l'Histoire retiendra ?

Les mots d'aujourd'hui pèsent peu, comme d'habitude mais je retiendrai que les éléments se déchaînent, que nous sommes indifférents, que l'Afrique sub-saharienne subit ses pires inondations depuis...toujours, avec des centaines de victimes. L'Europe centrale a les pieds dans l'eau, elle aussi, nous sommes au courant.

Quelle importance !

Une bande-son de 1971...

et des images d'avant.

Bonne journée

 

Voir les commentaires

Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024

Publié le

Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024
Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024
Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024
Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024
Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024
Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024
Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024
Post-mortem / Il est 8h31 le 17 septembre 2024

Les révélations des turpitudes de l'Abbé Pierre, mort en 2007, mettent mal à l'aise. De par leur nature, elles sont aujourd'hui considérées comme condamnables. Je dis aujourd'hui car au moment des faits, l'étaient-elles ou étaient-elles considérées comme "un mal pour un bien", au vu du statut iconique du bonhomme ?

Et puis, cet homme est mort depuis 17 ans, 17 années de silence post-mortem. Je sais le temps de la sidération comme un temps très long, de souffrances et d'impossible reconstruction. Je me pose la question du bilan d'un homme, de chaque homme ou femme au soir de sa vie, de celles et ceux qui condamnent, qui font la leçon, des colonnes "bien" ou "mal", de ce que chacun fait, ou a fait, commis, de la trace qu'il laissera une fois parti(e).

Les adjectifs fleurissent quand un individu profite de son statut moral ou d'autorité pour faire subir des outrages, dont on peut mesurer la gravité à l'aune des témoignages, à charge, le principal accusé n'étant plus là pour donner sa version. Ce qui me gêne se situe dans l'absence de quelqu'un que l'on encensât de son vivant.

Les multiples témoignages laissent penser également que l'abbé avait un problème avec les femmes. Le célibat des prêtres a causé nombre de drames, de dérives pédophiles, il serait judicieux que l’Église, dans sa grande hypocrisie, statue sur ce principe, sans remettre en question la sincérité de l'engagement spirituel. Les pasteurs protestants ne sont ni plus, ni moins aptes à professer l'amour de Dieu, que je sache.

Les dérives comportementales occasionnent des dégâts irréversibles chez les victimes, le Vatican a avoué que l'Eglise était au courant, ce qui est en soi une ignominie, tout discours post-mortem devient caduc et sied à une structure qui pratique l'absolution comme d'autres la lapidation.

Triste histoire que celle-là, aussi grave que d'autres, sauf à penser qu'un symbole de l'aide à son prochain avait son côté obscur et que celles et ceux qui savaient n'ont rien dit pour l'aider, lui, en temps et en heure, afin d'éviter d'autres victimes.

La bande-son me parle aujourd'hui, rien de triste et j'apprécie Reggiani.

Et les images datent de 2013.

Bonne journée

Voir les commentaires

Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024

Publié le

Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024
Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024
Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024
Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024
Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024
Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024
Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024
Fin de banquet / Il est 7h41 le 16 septembre 2024

Mr Trump est un "Trump la mort". Une tentative d'assassinat envers lui est déjouée quand ce monsieur jouait au golf chez lui.

Vrai ou pas ? Dans la mascarade qu'est devenue la candidature d'un être dénué de tout sens moral, on peut imaginer n'importe quel scénario. Vu d'ici, le spectacle donné par cette élection n'est qu'un étalage de coups bas et de slogans publicitaires.

Vous vendez une voiture et vous insistez sur la couleur des sièges et non sur le système de freinage. C'est un peu ça l'élection américaine.

La fête de l'Huma en Septembre est un moment où, cette année, la gauche devrait festoyer, et bien non, le secret le mieux gardé remonte des profondeurs, la querelle sémantique et sociologique refait son apparition. D'un côté, le communautarisme électoral, de l'autre, les petits blancs délaissés, c'est à qui fera feu de tout bois pour accuser l'autre de se tromper de cible pour les prochaines élections, entre JLM et François Ruffin, c'est la petite guéguerre, que la presse va s'empresser de monter en épingle. 

Quand Trump aura repris ses esprits, les micros et caméras se focaliseront sur le village de la gauche, là où les banquets se terminent souvent en pugilat. Madame Le Pen doit soupirer d'aise :

Ah, ces intellos de gauche, franchement, quelle aubaine de les avoir comme adversaires à la prochaine élection !

En attendant, toujours pas de gouvernement et le premier ministre d'appeler à la concorde olympique !

Il nous prend pour des cons, osons le mot.

Je me souviens de cette scène de "Gladiator"dans laquelle l'empereur Commode descend dans l'arène et demande le nom du gladiateur, qui lui tourne le dos ostensiblement... Apparaît alors le héros ... devant un monarque à la lèvre tremblante.

Je laisse l'imaginaire travailler pour la distribution des rôles...

Les éléments se déchaînent en Europe centrale et...en Afrique à une échelle jamais vue mais bon, c'est loin.

La bande-son me parle, Thiéfaine met les mots qu'il faut là où ils doivent être et les notes en parfaite concordance, merci monsieur.

Quant aux images, après l'éblouissement de ce week-end, un peu de calme avant de choisir d'autres émerveillements.

Bonne journée

Voir les commentaires

Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024

Publié le

Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024
Je viens de là, d'ailleurs / il est 9h40 le 15 septembre 2024

Je repense à la chanson de Ferrat, "Ma France", pas la même que celle chantée par Grand corps malade, une autre époque, un même pays, évolutif, que j'ai frôlé, que je ne connais pas. Je viens de là, moi aussi, je viens d'ailleurs, pas plus différent que les origines, d'un coin de banlieue à un coin de campagne, ce pays parle à toutes et à tous, la sensibilité traduit par des mots, les êtres sont les mêmes, émus par les mêmes injustices, les barrières sautent, ou les murs s'érigent, viens voir chez moi, comme l'herbe est verte, tu as le droit de fouler les chemins de mon enfance, les talus te cernent, vers les bois je m'enfuis, vers les terrains vagues, tu joues, dans les chantiers tu composes, les mots, toujours les mots, jamais les mêmes.

Une suite de syllabes, syncopées, dits, chantées, ces quelques lignes montrent la proximité.

Bientôt Aznavour sur les écrans, GCM reprend les textes de l'Arménien, proche encore, pourquoi ?

La différence entre le beurre rance de mon enfance et l'huile d'olive de nos banlieues tient dans la bascule du temps qui s'écoule, que certains ne comprennent pas le silence des bourgs qui crèvent et les cris des banlieues qui s'éveillent, que le monde change, que le refus entraîne la haine, que la violence n'est pas là où on la montre, elle est dans les coeurs qui saignent du regard de l'autre, du blanc qui suinte le mépris, dans son costume bien coupé et de l'uniforme menaçant.

La phrase qui tue, la phrase qui caresse sortent de bouches si proches qu'il suffit d'un rien pour que...Quoi, tout change,

rien ne change,

viens chez moi, la campagne était belle,

la ville aussi, viens, n'aies pas peur,

je suis venu,j'ai vu, je n'avais rien ni personne à vaincre, juste à comprendre qu'un autre monde existe, à côté, d'autres gens vivent là, tu sais, je sais, et je dis merci à ces artistes qui cassent les murs, me disent à moi, grandi dans les champs que les gamins des villes d'aujourd'hui sont les mêmes que les enfants des champs, aujourd'hui disparus.

Bonne journée

Les images sont de là-haut... ET

la bande-son est d'aujourd'hui.

Voir les commentaires

1 2 3 > >>