Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024

Publié le

Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024

Je ne résiste pas à l'extrait du film vu hier soir, irrésistible Marilyn.

Les prestations de Jack Lemmon et Tony Curtis sont hilarantes et le rythme endiablé. Je me disais que terminer l'année avec une comédie autre qu'une franchouillardise pouvait être recommandé, remboursé par la sécu (difficile).

Images de décembre 2017, en accord avec le film.

Tout ceci est futile et suscite des haussements de sourcils et d'épaules de la part de certains, le modèle proposé ici n'a rien de pérenne, nous le savons toutes et tous.

Je signale que Norma Jean Baker avait un QI fort conséquent, si tant est que l'on accorde de l'importance à ce test, que le mouvement METOO, elle l'a en quelque sorte inventé, se servant de la lubricité des hommes tout en payant le prix fort. Les rapports hommes-femmes sont ici porté à un paroxysme tel que le mélange sexe-pouvoir n'a jamais été aussi évident, la faiblesse de l'homme tout puissant ayant été révélé au grand jour. Elle en est morte.

Kennedy assassiné, Marilyn ?

Nous sommes le 31 décembre, un jour comme les autres me disait mon père, ainsi que le 1er, le calendrier grégorien n'a de valeur que pour celles et ceux qui y croient.

Le calendrier révolutionnaire avait mis à bas ce symbole de la domination religieuse, il est revenu ensuite, personne n'y prend garde.

Pas grave...

Bonne journée à toutes et tous et...à l'année prochaine.

Voir les commentaires

Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024

Publié le

Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024

Mal dormi et mal de tête.

Jimmy Carter est mort à l'âge de cent ans. Qui se souvient de lui ?

Il fut président des Etats-Unis entre 1977 et 1981, fit signer un accord entre l'Egypte et Israël, prix Nobel de la Paix pour cet entregent.  Très croyant, il vivait en Géorgie, très actif dans le domaine caritatif. C'était, si j'ose, l'exact opposé de celui qui vient d'être élu. Il fut battu par Reagan, clown médiatique, début d'une ère de sévices libéraux.

Je vois que le gouvernement se déplace à Mayotte, 24 heures sur place avant une escale à la Réunion. Quand le cyclone a tout dévasté, ces gens étaient hors service, ils viennent voir, soudain importants, voire importuns. Le côté colonial n'aura échappé à personne, même si le silence radio est assourdissant.

Avant-dernier jour de l'année 2024, encore un effort...

Quelques images de 2014, New-York et Washington.

Et Nabucco, son choeur des esclaves mondialement connu.

Vu hier un concert à Venise, extraits d'opéras de Puccini et de Verdi, sur la place Saint-Marc, écrin prestigieux, de belles images, une musique et des voix divines.

Merci.

Le pire et le meilleur se côtoient souvent dans le torrent ininterrompu de l'information, à nous de faire le tri, de voir ou ne pas voir.

Rien de plus à ajouter ce jour que ces banalités, la migraine ne facilite pas le transit neuronal.

Bonne journée.

 

Voir les commentaires

Et vous passerez comme des vents fous de CLARA ARNAUD aux Ed Actes Sud

Publié le

Avis paru dans BABELIO

Pas trop surpris par ce roman. J'ai eu ce livre dédicacé par son auteure et quelque chose me disait que j'allais avoir droit à une rubrique très "terroir", mix entre l'élevage des moutons en Pyrénées et l'étude des ours dans le même milieu, avec l'inévitable cortège d'images et de clichés sur la confrontation inévitable entre le gars du coin qui défend son identité, et la scientifique qui a une vue plus "large" du vivant. Les profils psychologiques sont campés, les interrogations sont justes, il manque un équilibre entre les personnages, leur structure affective, et le boulot qu'ils effectuent dont les détails au quotidien tiennent du documentaire. Nous sommes incollables (ou presque) sur les moeurs ovins en montagne, sur le régime alimentaire de l'ours, ses techniques d'approche, etc, etc...
Le décor est planté, mais les personnes qui vivent là ne nous concernent pas, ne nous émeuvent pas plus que ça.
Il manque peu de choses, un poil d'imprévu, un zeste d'irrationnel.
L'on sait ce qui va se passer, les états d'âme du berger, son devenir après, ce que va faire l'ourse, plusieurs dizaines de pages avant et l'éthologue, dont on se doute qu'elle ne lâchera pas l'affaire.
En résumé, on s'ennuie un peu à les voir évoluer, s'ajoutent à cela pas mal de stéréotypes sur l'opposition ville-campagne.
J'ai eu du mal à aller au bout.
Le clin d'oeil au passé via le montreur d'ours donne une touche d'humanité non factice, seul élément qui paradoxalement sonne juste.
A lire si vous voulez, sans plus.

Voir les commentaires

Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024

Publié le

Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024

Ecosse 2011

Moody blues 1967

Et nous sommes le 28 décembre 2024.

Stonehenge quasi inaccessible en page de couverture,

Le parking à 12 euros environ, et vous rajoutez dix de plus pour accéder au site, sur des sentiers balisés, caillebottis en bois, les mégalithes vous toisent d'un air entendu sur le grand mystère de leur érection il y a quelques milliers d'années, pierres dont certaines ont fait plus de 700 kilomètres, exemple unique, là où les autres pierres debout ou couchées sont généralement issues de carrières toutes proches.

Les méthodes de recherche évoluent chaque jour, la prise en compte d'angles d'analyse considérées jusqu'ici comme farfelues permettra peut-être d'aboutir à des hypothèses interdites aux grilles de lecture trop pointues. Une vision globale donne le recul, je me doute que les scientifiques de toutes spécialités ne m'ont pas attendu pour croiser leurs compétences.

Il reste des mystères et c'est heureux, de rabattre le caquet de l'homme supposé moderne, de sa suffisance et de ses certitudes porteuses de vérités.

En une d'un quotidien dit "sérieux", la protection des câbles sous-marins devient une priorité. Je me suis souvent posé la question de la vulnérabilité de ces tuyaux sans lesquelles la vie d'aujourd'hui serait impossible, je dis impossible car c'est le cas tant les actes autrefois basiques et limités dans l'espace deviennent volatils et franchissent les frontières.

A méditer, cet en-tête de journal à relier avec d'autres données :

Les data-centers, lieux de transit et de stockage de nos vies numérisées et de nos transactions, consomment autant d'énergie que le transport aérien, soit 3% de l'électricité mondiale. Il en faudra des éoliennes et des centrales solaires pour produire l'accroissement prévu de ces monstres énergivores !

J'y suis, j'y reste, j'y passe dans ces assemblages  de tuyaux de refroidissement, de semi-conducteurs et autres processeurs.

Amis de la poésie, bonne journée et continuez de butiner sur internet, prenez l'avion, c'est pareil.

Voir les commentaires

The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024

Publié le

The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024
The day before ... / Il est 8h47 le 27 décembre 2024

Images de 2010 entre Vercors et Oisans, promenades aux beaux jours.

Bande-son que j'apprécie de temps à autre.

Vu hier soir une adaptation de Nosferatu, nouvelle mouture du mythe, après Murnau et Herzog, une version linéaire, au narratif scrupuleux et à la belle photo, notamment dans les noirs et blancs, assez somptueux. On attendait Lily-Rose Depp, en égérie gothique, porcelaine diaphane. Elle est présente, s'en sort fort bien, nous l'attendons maintenant hors de sa zone de confort.

La période dite "des fêtes" semble plongée dans une schizophrénie volontariste, ignorante des tracas, dans une fascination envers les guirlandes qui brillent et scintillent dans nos rues qui, dans la ville où j'habite, se vident petit à petit de ses commerces, trois dans la semaine, deux autres annoncées pour janvier, le tout dans les quelques rues d'un centre ville qui accélère sa mue vers une jachère immobilière. Je suis désolé mais les campagnes de communication de la municipalité n'y feront rien, les arguments utilisés par ailleurs me semblant peu judicieux. J'en suis assez triste.

Egoïstement, le bien que je souhaite vendre reste en plan, et mes projets avec.

Bref, c'est peu de choses en regard des misères du monde en général, des bombes le jour de Noël sur l'Ukraine, et des exactions de l'état d'Israël, en toute impunité. Encore un effort, mesdames et messieurs les Israéliens, on finira par vous rejeter complètement.

C'est fou de dire cela, complètement, devant l'Histoire...

Les opposants hébreux à cette politique existent, les médias ne les mentionnent que rarement,

L'année 2025 s'annonce un tantinet morose dans cette partie du monde.

Bonne journée

Voir les commentaires

Dans la brume / Il est 7h51 le 26 décembre 2024

Publié le

Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024
Dans la brume  / Il est 7h51 le 26 décembre 2024

Les bateaux dans la baie de Douarnenez en ce jour de 2016 avaient fière allure sous le soleil estival. Je cherche une phrase qui puisse évacuer mon rêve, celui que j'avais en tête au moment du réveil. La chanson de la bande-son y parvient, rebondissant tel un cabri vers d'autres songes. Je m'échappe, le réel prend place, je parle un peu, je lis quelques titres de journaux, le jour d'après reprend le fil interrompu par Noël et son feu d'artifices, mirage vite dissipé.

Le poète ferrailleur est un lieu situé dans le département voisin, quelques hectares de magie, décor de Fantasy, mobiles habiles et taquins. Je l'ai vu, j'y retournerai, c'est plaisant sous le soleil, les enfants adorent et les grands se laissent prendre. Dans la commune de Lizio, un musée collectionne les objets d'avant, du vingtième siècle, en une multitude de mises en scène ou en vrac, artefacts de notre enfance. J'espère que le monsieur qui a monté cette collection a trouvé un autre poète pour pérenniser l'esprit un peu foutraque de l'assemblage ainsi créé. Il semblait fatigué la dernière fois que j'y suis allé.

Après vérification, il semble que oui.

Les deux attractions occupent une journée de retraité ou de vacancier, enfants compris, bon marché, histoire de rêver un peu, d'autres évasions sont possibles.

Nul besoin d'aller "Jusqu'au bout du monde", bien que la sensation d'y être est irremplaçable, à voir le visage des concurrents du Vendée globe, des étoiles dans les yeux...

La lecture permet de voyager à peu de frais, de jouer à saute-moutons au dessus des océans, d'une montagne à ours, à une zone urbaine mal éclairée, qui existe ici même, en bord de mer, un instant saisi hier en fin d'après-midi, un lampadaire fatigué éclaire une brume tenace et un bout de plage apparaît.

Il est à peine 19 heures et l'on imaginerait volontiers un naufragé émergeant des flots...

Vous voyez, il suffit d'un rien...

Mon songe d'une nuit d'hiver se dissipe et disparaît dans la brume.

Bonne journée

Voir les commentaires

le 25 décembre 2024, il est 16h33

Publié le

le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33
le 25 décembre 2024, il est 16h33

Les images du jour datent de 2016, fête des vieux grééments à Douarnenez.

La bande-son date quant à elle des années 80.

A part ça, après une soirée de réveillon fort sympathique, le calme règne dans l'appartement, chacun se concentrant sur les présents reçus la veille.

L'actualité reste guerrière avec une attaque russe le jour de Noël, aucune trève ne semble possible.

Grosse arnaque en France aux immatriculations dont j'apprends que le traitement a été privatisé, chose que j'ignorai.

A part ça, rien de neuf, le brouillard s'est emparé de la ville.

Bonne journée

 

Voir les commentaires

Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024

Publié le

Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024
Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024
Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024
Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024
Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024
Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024
Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024
Un abri, s'il te plaît/ Il est 7h41 le 24 décembre 2024

La bande-son clôt les années 60, emblème mortifère choisie par Coppola pour illustrer la montée vers l'enfer, que l'on pourrait s'approprier pour l'année qui vient, non après l'annonce du nouveau gouvernement, résultat de dosages politicards, de vieilles badernes et de chevaux sur le retour, deux anciens premiers ministres, en manque de cette atmosphère de pouvoir, des ors de la République.

Un refus du RN sur la nomination de X.Bertrand à la Justice montre que le premier ministre dit d'ouverture n'est qu'en fait qu'un toutou qui mange dans la main de l'extrême-droite, Retailleau, sinistre sbire réactionnaire et raciste reste, autre concession. A quand un strapontin au parti d'extrême-droite ? A la prochaine menace de censure, tractation en couloir sur la nomination en douce un secrétaire d'état, que l'on pourrait créer pour l'occasion.

La chanson des Stones vaut mieux que ce marigot politicien qui tiendra l'hiver, guère plus et puis, quelle importance ! Il y a belle lurette que le vrai pouvoir n'est plus républicain, qu'il s'affranchit des états et des frontières,

Gimme shelter ! Un abri, s'il te plaît !

A la veille de Noël, les bombes continuent de tomber sur Gaza, sur le Sud-Liban et maintenant sur la Syrie et ce qui restait de son armée. Israël étale sa puissance destructrice, les médias sont quasi-muets sur les violations permanentes des résolutions internationales par l'état hébreu. Le massacre du Hamas du 7 octobre 2023 est loin, loin aussi des 45000 victimes de Gaza et de l'asphyxie en cours, que l'on pourrait qualifier de génocide tant il est difficile d'imaginer des Juifs perpétuant ce qu'ils ont eu à subir...

Et pourtant...

Gimme shelter, un abri, s'il te plaît...

Bonne journée

Images diverses de 2014-15.

Voir les commentaires

L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.

Publié le

L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.
L'opportuniste / Il est 17h04 le 23 décembre 2024.

La bande-son est un clin d'oeil à l'occupant d'un palais parisien prestigieux. La chanson n'est pas neuve, n'en reste pas moins très actuelle. Aucune illusion sur ces gens, de moins en moins, néanmoins il faut garder un oeil, histoire de ne pas être surpris par quelques mesures concoctées derrière les murs du palais.

Un gouvernement le 23 décembre comme cadeau de Noël...

Allez, je vous laisse.

Bonne soirée.

Voir les commentaires

Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024

Publié le

Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024
Poséidon / Il est 8h37 le 23 décembre 2024

Dernière ligne droite de l'année 2024, que nous refermerons sans regret, ni plus ni moins que l'année 2023, en prévision de l'année 2025, pas de raison de penser qu'elle sera meilleure ou pire.

Une de plus, comme dit l'autre accoudé à son comptoir, qu'il tient fermement de peur qu'il ne s'écroule sous le poids des piliers qu'il supporte depuis la nuit des temps, temps incertain, météo fuyant la folie des hommes, vents s'engouffrant dans les voiles à défaut d'autres refuges. Les bateaux surfent sur des vagues gigantesques, se croisent sous le regard inquiet de louves et de loups de mer, qui n'en croient pas leurs yeux, l'océan se rebiffe, gonfle ses biceps iodés. Qui sont ces importuns violant mes espaces vierges, les derniers que ces êtres assoiffées de dépassement de soi tiennent à dompter. Il n'en est pas question, je suis sur mon territoire, Poséidon me l'a promis.

Les montagnes d'eau se dressent face aux intrépides marins, la coquille de noix se joue de ces monstrueuses et ridicules masses d'eau, elles flottent, descendent la crête des vagues, rebondissent et se jouent des maladresses d'une mer déchaînée à l'impuissante furie.

La bataille n'aura pas lieu, dans un commun accord, les serviteurs de l'eau parlent au dieu de la mer, calment son courroux, lui parlent d'humilité et de courage, vantent sa puissance et son immense sagesse. Poséidon, la main lissant sa barbe, se rengorge et calme le liquide vengeur.

C'est bon dit-il, vous pouvez passer.

Les esquifs ainsi épargnés purent regagner le port, la circumnavigation s'achevant dans la joie des retrouvailles. 

Je ne sais si les profondeurs océanes abritent une quelconque divinité, si tel était le cas, elle s'amuserait sans doute de ces pêchés d'orgueil, les derniers destriers prennent leur envol pour un tour du monde, vite, de plus en plus vite, le temps s'allie au vent, imprévisible ami.

La voile est un sport de patience, la lenteur est le propre de ce moyen de locomotion, le silence de la mer octroie à qui sait l'apprécier des moments de sérénité, seul sur ce mouvement perpétuel, il paraît dérisoire à mes yeux d'aller contre.

Chaque jour, je regarde l'avancée de ces voiliers, admiratif, regarde les images de ces femmes et de ces hommes, devinant les éléments dans le sillage en arrière-plan.

Bravo.

Je reste au port, non loin de voiliers dont le nom pourrait être "Restakai", "J'mela pète", ou autres sobriquets moqueurs.

La bande-son de nos amis les Stones, belle ballade assez rare dans leur répertoire.

Et les images ensoleillées, loin des quarantièmes rugissants...

Bonne journée

Voir les commentaires

1 2 3 4 > >>