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Prêts ? Partez / Il est 7h55 le 31 août 2025

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Prêts ? Partez / Il est 7h55 le 31 août 2025
Prêts ? Partez / Il est 7h55 le 31 août 2025
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Prêts ? Partez / Il est 7h55 le 31 août 2025

Le PS se dit prêt à gouverner ?

Ah bon ?

Avec qui ? Tout seul, avec les écologistes et le PC, sans LFI bien sûr et sans la permission du prince consort (qu'on va sortir). Ils vont faire comment pour appliquer un programme sans faire de compromis, spécialité maison... 

C'est quand même insensé cette manière de se comporter dans une opposition tout en tendant la main, quémandant une parcelle de pouvoir. Je suis désolé mais ça y ressemble, cette insistance à demander d'en être. Il est tellement évident que le sieur Macron n'a rien à leur donner, que Bayrou est du genre infréquentable mais non, ils y retournent. 

L'entrisme peut-être, je cherche quelque part ce vieux concept trotskyste de l'influence que l'on peut avoir une fois aux commandes, dans la place, modifier le cours des choses malgré les apparences trompeuses. Jospin-Chirac, avec les 35 heures, pourquoi pas ?

Là, ça me paraît compliqué. Les libéraux d'aujourd'hui sont des purs et durs, pas de social, le président du MEDEF l'a dit : il y a des gens qui coûtent cher et ne rapportent rien, ben oui, nous en sommes là. 

Allez discuter avec ces gens, avec les anciens du PS comme E. Borne, comme Moscovici. 

Soyons sérieux, l'opposition consiste à ne pas être d'accord avec des mesures et une politique données, à proposer une autre approche, avec des moyens, je veux dire un poids électoral, a minima s'allier avec vos proches cousins, mais non, il semblerait que certains ne peuvent pas au PS continuer à discuter avec la gauche non social-démocrate, celle de rupture. 

Bientôt des élections, municipales, présidentielles, avant peut-être...

La rentrée scolaire, ma fête, c'est le même jour cette année. 

Bonne journée

La bande-son entendue ce matin sur France-culture, un des meilleurs James Bond.

Images connues

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Instinct grégaire / Il est 9h23 le 30 août 2025

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Instinct grégaire / Il est 9h23 le 30 août 2025
Instinct grégaire / Il est 9h23 le 30 août 2025

Le commerce mondial s'effectue par bateau, à 90% en volume et 80% en valeur, représente 3% des émissions de GES, contre 5% pour l'avion. Le transport routier représente 71% de ces émissions. 

C'est un sujet sensible, avec lequel toutes les interprétations fleurissent en fonction de l'âge de celui qui l'énonce, son milieu social, sa nationalité et le besoin personnel de déplacement. Personne ne va être neutre, sauf à se considérer comme non concerné au quotidien. Celui-ci est marqué pour beaucoup par les déplacements dus au travail, l'éloignement de son lieu de résidence, et la disponibilité des différents services. La vie en campagne est considérée comme bonne pour la santé, elle ne l'est pas pour la planète. La vie citadine regroupe les gens au même endroit, avec pour conséquences des économies d'échelle dans les déplacements, transports en commun, lieux de travail regroupés dans un même ensemble urbain. J'habite à la campagne, mon travail est à 10 kms, pas de bus ni de train, je prends ma voiture, des millions de gens se retrouvent dans ce cas de figure. L'image est trompeuse, entre la ville, censée représenter le mauvais côté du monde moderne, et l'image bucolique d'une vie rêvée dans un village blotti dans le bocage. 

L'aspect bucolique disparaît peu à peu dans nos campagnes, les bruits parasites de l'outillage à moteur polluent et empoisonnent l'environnement sonore, gâchant la soi-disant tranquilité de la fermette au bord de la rivière. La nature d'aujourd'hui est une immense propriété privée, dont la fonction principale est la production de nourriture à une échelle industrielle. L'environnement est une donnée considérée comme accessoire, décor pour citadins en mal de verdure. Il est compliqué, hors des sentiers battus, de s'aventurer dans un champ quelconque, violation de la propriété privée et rencontres inopportunes de chasseurs en goguette. Je ne m'éternise pas sur le sujet, je pense à l'instant à une vidéo montrant une jeune femme piquant une tête dans un lac de montagne, décor de rêve, avec une eau, je le suppose, très fraîche. La vidéo est suivie (sur fbk) de commentaires assassins sur ce geste irresponsable (le bain), avec échanges de postes (polis). Un guide de montagne faisait partie des interlocuteurs. Il n'y avait pas de panneau particulier d'interdiction, de ceux qui fleurissent partout aujourd'hui. La randonnée en montagne est à la mode (ailleurs aussi), les règles appartiennent apparemment à ceux qui habitent dans le coin, gardiens du temple, protecteurs exclusifs des lieux. Je construis une passerelle rapide avec l'économie montagnarde et ses stations de ski, dont la pérennité est remise en question. Le guide virulent de fbk travaille-t-il en station une fois l'hiver venu ? 

Je proposerai des mesures radicales de destruction et d'éradication de ces verrues urbanistiques à la fréquentation pour le moins désagréable, très loin de la dame du lac de haute montagne. 

Nous avons les mêmes ayatollahs en campagne, dont la voiture thermique (ou autre) constitue la seconde maison, au vu des déserts commerciaux et médiacaux (entre autres)...

Je souris car j'y cours bientôt, déménageant mes meubles de seconde main, mes livres de papier et quelques appareils électro-ménagers, dans une mosaïque de prairies, épicerie à cinq kilomètres, etc...

La voiture y sera indispensable, l'achat d'un vélo est possible, électrique peut-être (bien que), mon écologie personnelle est comme celle de beaucoup de gens ordinaires, elle s'adapte aux contraintes de mon quotidien, moins simple qu'aujourd'hui, où la supérette est à deux cent mètres, le médecin à 50, et la librairie se rejoint à pied. 

Autre besoin, moins de bitume et de béton dans mon champ visuel, je n'oublie pas que je suis né dans ces paysages d'avant remembrement, grandi dans les champs, sans ayatollah vert-pomme, juste un garde champêtre, j'aime ce nom, monsieur fort sympathique dont le nom m'échappe à cet instant. On en reparle bientôt. 

Bonne journée. 

La bande-son est un retour aux sources, les images aussi, si l'on veut, Nord-Finistère Juillet 2022.

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Allo, Banksy, t'es où ? / Il est 8h09 le 29 août 2025

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Allo, Banksy, t'es où ? / Il est 8h09 le 29 août 2025
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Allo, Banksy, t'es où ? / Il est 8h09 le 29 août 2025

La rentrée des gens en activité, avec enfants en âge scolaire approche, celle des profs, c'est aujourd'hui, 850000 d'après la radio. Des difficultés de recrutement sont à déplorer, métier noble s'il en est, mal payé, déconsidéré par l'atmosphère mercantile qui baigne. C'est fou de constater que certains corps de métier, comme les infirmier(e)s, les profs et autres aides-soignant(e)s suscitent d'un côté l'admiration et de l'autre une répulsion quand il s'agit de postuler. 

C'est banal de le dire mais les crises de vocation se multiplient sur ces métiers à valeur ajoutée "humaine" si je puis me permettre cette expression. 

Qu'est-ce que tu veux faire dans la vie ?

Pompier ou astronaute...

Infirmière ou institutrice...

Ca, c'était il y a longtemps. 

Aujourd'hui, je ne sais pas vraiment... 

Trader ou agent immobilier ? 

Un métier d'avenir dans l'IA, remplacé par les concepts développés dans son activité ou comment creuser sa propre tombe. 

Policier peut-être, à l'heure où la sécurité obsède ? 

Je ne fréquente pas assez de jeunes pour donner des réponses précises. 

Livreur chez Deliveroo, manager chez Macdo, ou libraire à la FNAC ( à éviter). 

Je dirais : un métier dans lequel on peut se nourrir, se vêtir, se loger et se divertir un peu, peu importe. 

Commercial, avec fixe décent et objectifs atteignables, il y a toujours quelque chose à vendre dans notre société.

Bientôt un poste à pourvoir : premier ministre, CDD bien payé, stressant avec retraite assurée. 

Bonne journée

J'avais oublié BANKSY et il nous oublie aussi en ces temps démentiels, une bonne dose aujourd'hui accompagné d'un standard version "live", vu hier soir sur ARTE.TV. 

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Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025

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Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025
Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025
Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025
Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025
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Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025
Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025
Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025

Un bombardement sur Kiev, une avancée dans le Donbass, il semblerait que Poutine, gagne du temps en effritant la résistance ukrainienne. Il sent que le soutien américain est très aléatoire, soumis aux humeurs de Trump. avec la constance dans l'obstination à reprendre ce qu'il considère comme appartenant à la Grande Russie. Les motivations d'en face sont diverses, de la défense acharnée de leur territoire par les Ukrainiens au jeu de Monopoly des Américains en passant par une peur réelle des Allemands sur leur intégrité territoriale ainsi que les Polonais et les Baltes. La France joue sa carte nucléaire en creux, ce qui peut faire sourire, avec un matamore tentant de faire oublier son inexistence politique. Trop d'intérêts divergents existent face à une dictature nationaliste dont l'économie de guerre est financée en sous-main par l'achat de gaz et de pétrole par l'Inde et la Chine. Les sanctions économiques occidentales ont montré la nouvelle répartition du poids économique, le glissement vers l'Asie, ce que Poutine a parfaitement compris. Nous verrons dans les mois à venir le poids réel de l'économie américaine à travers les résultats de ces nouvelles barrières douanières. 15%, tel est le poids économique des USA aujourd'hui, d'autres relations s'instaurent petit à petit entre continents, et les rodomontades trumpiennes se retourneront contre son propre pays. La puissance militaire incontestée risque de devenir un boulet pour ses finances, en lieu et place d'une dissuasion classique basée sur la force d'intervention. L'isolationnisme traditionnel de l'électorat américain s'accommodera mal de ces gesticulations un peu vaines si l'effet prévu de droits de douane se révèle être contre-productif, associé à une baisse drastique des droits sociaux et les tentations dictatoriales. L'ensemble de cette politique est marquée du sceau du court-termisme, avec des effets dévastateurs en terme d'image et de régression sociale. 

Nous avons en France un premier ministre qui ne passera pas l'automne, la suite ne changera rien à la politique menée, libéralisme à tous crins. A ce propos, entendu le président du Medef décomplexé dénonçant celles et ceux qui coûtent plus cher qu'ils ne rapportent, en termes de richesses produites au niveau national. 

On en fait quoi, coco, des vieux, des nourrissons, des handicapés, des malades, on les tue ? Sombre salopard qui nous montre une fois de plus que si certains nous amusent avec des gris-gris nationalistes, d'autres ne changent pas dans leur volonté de casser le systéme social français. Et certains benêts de taper sur les plus pauvres, soi-disant profiteurs du système, en ignorant les vrais vampires, exilés fiscaux et autres tricheurs. 

Une nuit du 4 août ne serait pas de refus...

Bonne journée

Tom Joad n'est pas loin, il peut s'appeler Albert Martin, bien de chez nous. 

En images, la côte bretonne et Munch...

Bonne journée

 

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Semeurs de troubles / Il est 9h14 le 27 août 2025

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Semeurs de troubles / Il est 9h14 le 27 août 2025
Semeurs de troubles / Il est 9h14 le 27 août 2025
Semeurs de troubles / Il est 9h14 le 27 août 2025
Semeurs de troubles / Il est 9h14 le 27 août 2025
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Semeurs de troubles / Il est 9h14 le 27 août 2025

Dans le traitement de l'épisode Bayrou, énième premier ministre du prince "consort", qui finira par s'en aller, c'est la forme, l'aspect constitutionnel qui prévaut, spécialité enseignée en fac de droit, que peu de gens appréhende. Un rejet de confiance est basée sur un texte, le budget en l'occurrence, refusé parce que ne correspondant pas à l'opinion d'une majorité de parlementaires, ce qui fut déjà le cas avec Barnier. Les calculs sont légion, si bien que l'on oublie le fonds du texte, son contenu, profondément anti-social, reflétant une tendance lourde de remise en cause de nos acquis, et un choix idéologique très marqué, non de neutralité gestionnaire, mais d'une doxa libérale pure et dure. Le patronat français, proche du pouvoir actuel, doux euphémisme, n'attends qu'une remise en cause de ses obligations, sociales et financières. Celles-ci ont été grandement allégées sous l'ère Macron, les cadeaux fiscaux et autres exonérations plombent le budget dont il est question ces jours-ci. La mauvaise foi et le mensonge habitent Mr Bayrou, prototype du louvoiement en politique, croqué en son temps par Les guignols de l'info, l'homme du "milieu", de nulle part et de partout, en fonction du vent qui souffle. La tempête s'approche du monsieur, qui pourrait voir sa carrière s'arrêter là sur le plan national. Qu'il retourne dans le Béarn, s'occuper de ses ouailles, et des affaires locales, qu'un Chabrol aurait croqué avec humour et délectation, avec  un poil de dégoût sans doute aussi. 

Dans un autre registre, les services secrets israéliens justifient, en creux, les assassinats "ciblés" de journalistes par des enquêtes menés en secret (normal), comme quoi ces journalistes n'en sont pas, manipulés par le Hamas, et outils de propagande de l'organisation. Il est simple de rétorquer à ces messieurs qu'il suffit d'autoriser la presse internationale pour clarifier ce qui se passe dans l'enclave. Toute interdiction de presse est suspecte, par nature. Si Israël peut justifier les massacres par des faits documentés, qu'elle laisse les journalistes faire leur métier.

Nous ne sommes plus à un mensonge près, le Mossad est un état dans l'état hébreu, gangrené par des réglements de compte, des préparatifs de défense quand toute cette horreur se terminera et qu'il faudra déterminer les responsabilités de chacun. Les hyènes se déchirent entre elles au sommet de l'état israelien, comme d'autres en leur temps, jusqu'au dernier soubresaut des manifestations mortifères du cerveau reptilien, seul maître à bord. 

La fin de règne approche, la fin du cauchemar aussi, on l'espère mais derrière se profile la situation en Cisjordanie, autre ignominie.

La rentrée scolaire approche dans notre paisible pays de cocagne, bien loin des champs de ruines. Il est bon de le rappeler quand on entend certains "irresponsables" politiques parler d'un pays en proie à l'envahissement ou à l'ensauvagement de nos jeunes. La parole d'un homme public est entendue, et crue parfois, il serait là aussi plus que temps que les semeurs de troubles sévissant sur les plateaux télé surveillent leur langage, que les hordes de la fachoshère reprennent en choeur sur les réseaux sociaux. 

La France est un pays en paix. 

Merci

Bonne journée

En bande-son, notre ami Sir Paul en 1974 signe la B.O d'un James Bond, l'espion mythique, loin du MOSSAD et autres services secrets aux turpitudes sordides et inavouables. Sale boulot que celui-là. 

Les images reposent, la côte en 2022, la même aujourd'hui, rien ne change. 

 

 

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La forêt de flammes et d'ombres de AKIRA MIZUBAYASHI aux Ed Gallimard

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Je relis mes avis concernant les précédents ouvrages de cet auteur. Nous sommes en terrain connu, la guerre et ses ravages, la musique et son univers, avec ici la peinture en traduction de la force d'âme d'un homme. L'être humain est capable du pire, nous l'entendons chaque jour, ce qu'il fait de meilleur l'est avec pudeur et délicatesse, presqu'en cachette, l'interdit n'est jamais loin de l'expression artistique, impossible à contenir dans la liberté de ton qu'elle traduit, impossible à comprendre pour les esprits étroits et coercitifs. Si l'on y mêle l'amour, cette alchimie magnifique, l'art confine au sublime, d'où la difficulté de ne pas tomber dans une facile bluette. La confrontation avec l'horreur de la guerre transcende une possible mièvrerie, le dépassement de soi puisant au plus profond d'une belle âme donne à voir l'apocalypse. La symbiose née d'une fusion des moyens d'expression traverse tout le récit, l'exaltation, la transmission de sensibilités au delà du temps qui s'écoule, sous le regard du chien, fidèle et inaltérable ami de l'homme. Le clin d'oeil final répond à la question silencieuse, je n'en dit pas plus.
L'on retrouve la justesse de ton, la fine connaissance de musiques, inconnues de moi, répondant avec émotion aux terrifiantes transcriptions graphiques.
Le seul reproche serait une certaine redondance, génération après génération, les musiciens semblent doués d'un don de Dieu, trop beau pour être vrai mais le besoin d'une divine providence se fait sentir, contrepoint à la lourde atmosphère qui prévaut en début d'ouvrage. Une intervention autre n'est finalement pas de trop dans le combat permanent contre les forces du mal.
A lire

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Fragile / Il est 8h40 le 26 août 2025

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Fragile / Il est 8h40 le 26 août 2025
Fragile / Il est 8h40 le 26 août 2025
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Fragile / Il est 8h40 le 26 août 2025
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Fragile / Il est 8h40 le 26 août 2025
Fragile / Il est 8h40 le 26 août 2025

J'ai terminé une lecture hier soir marqué du sceau indélébile de la violence guerrière. J'ouvre mon journal numérique sur une énième "bavure" israélienne, 20 morts, bombe sur hôpital, un classique qui provoque une onde émotionnelle jusqu'à la Maison Blanche paraît-il, ce qui provoque en retour de pitoyables excuses du premier ministre Netanyahou, que personne ne croit. De l'autre côté du Jourdain, des milliers d'oliviers sont arrachés aux paysans palestiniens en "punition"ou représailles, on ne sait plus. 

Dans un festival breton, un film sur ce qui se passe au Soudan, ce dont tout le monde se fiche, un regard compassionnel et (ou) poétique, terrifiant enfer à l'écart du monde. L'Afrique baigne dans le chaos depuis la soi-disant décolonisation, les Français sont partis, les Russes et les Chinois arrivent, et les massacres continuent sur fond de minérux rares, de pétrole et d'uranium. 

Un vote de défiance aura lieu à l'Assemblée Nationale, sauf de F.Hollande, toujours arrangeant, le symbole de la trahison social-démocrate, jusqu'au bout du bout, le sécrétaire du PS Olivier Faure ne le suit pas, mais sait-on jamais, entre deux conversations, un compromis, spécialité maison, aboutira peut-être... 

Mine de rien, un système autoritaire se met en place aux USA, sans contre-pouvoir vraiment efficace. Les innombrables fictions américaines sur la fin du monde vont trouver ici de quoi alimenter des séries à rebondissement. Il est à espérer que les élections de mid-term mettent un frein à ce déluge d'atteintes aux libertés fondamentales, qui pourraient donner quelques idées à nos penseurs de droite et à leurs laquais. La démocratie est un système imparfait et fragile, rempart contre l'omnipotence économique, de plus en plus au service de l'oligarchie. Longtemps sacrée, elle est attaquée frontalement aujourd'hui, dans une transgression que personne n'aurait imaginer. Il suffit de l'exemplarité pour casser le mythe d'un système politique, porte ouverte à ce que nous avons déjà connu au siècle précédent. L'impunité dont jouit Israël aujourd'hui en est l'exemple le plus abouti. 

Bonne journée

En bande-son, un interdit. 

Images de 2020

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Futur antérieur / Il est 8h19 le 25 août 2025

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Futur antérieur / Il est 8h19 le 25 août 2025

La fin de l'été suscite quelques bilans, des conclusions et des prospectives quant à la suite à donner aux épisodes caniculaires. Quimper en 2100 aura des températures que l'on trouve actuellement au nord du Portugal. Rien de très spectaculaire, ce pays est vivable malgré quelques excès de chaleur, dans le sud notamment. D'autres s'inquiètent sur les éventuelles prises de conscience gouvernementales, dont on ne voit rien qui laisserait présager une soudaine lucidité, la prochaine conférence de presse du bas de cuve qui nous sert de premier ministre aura pour thème le budget, sujet qui passionne les foules, occasion de culpabiliser le bon peuple sur ses moeurs déplorables, causes évidentes du déficit public. Nous en sommes là, avec un Retailleau en promenade à la Guadeloupe, promettant quelques pandores supplémentaires face aux narcos-trafiquants, qui doivent sourire sous leurs moustaches sud-américaines. Darmanin travaille lui aussi à un durcissement des textes, déjà parmi les plus coercitifs dans le domaine répressif. Les prisons débordent, la justice manque de moyens préventifs, la seule réponse des deux sbires est d'en rajouter dans l'étalage autoritaire.

Trump est dans le même tempo, sans légitimité aucune, mais apparemment les uniformes sont dans la rue. Dans ce pays, qui obéit à qui ? La droite reste fidèle à ses vieux principes, la force et la brutalité, la défense des privilèges, le paternalisme outrancier et le mensonge à tous les étages, par omission.

J'apprends que l'ambassadeur des USA en France est le beau-père de la fille aînée de Trump. C'est pas du népotisme pur jus ?

J'évoquais hier notre futur, pas le mien, celui des enfants de celles et ceux qui naissent cette année, ainsi que de leur descendance. Au vu des choix actuels, une révolution culturelle serait un miracle et je sens venir une désillusion, visualisant les lemmings, rongeurs qui sautent dans la mer, symbolisant (à tort) le suicide collectif de toute une espèce.

Le 10 septembre, il est prévu une grande journée dite de "blocage", rêve redondant d'une gauche (dont je fais partie), ce songe ne m'habite plus quand je regarde autour de moi les gens vaquant à leurs occupations individuelles, une semaine avant la rentrée scolaire...

Il reste un zeste utopique, quelques irréductibles qui pensent collectif, c'est heureux, cela pourra servir un jour, peut-être, pour renverser la table. L'internationalisation, l'interconnexion planétaire des pouvoirs économiques obligent à une organisation collective de lutte fort différente, très éloignée des rassemblements de masse, fort sympathiques au demeurant, sans beaucoup de réel pouvoir.

La solitude du hacker au service de la lutte des classes sera un mantra demandant une force mentale et une conviction profonde, sans la chaleur humaine de la rue.

Affaire à suivre pour les générations futures.

Matrix en bande-son me semble en accord, 25 ans déjà.

Images de l'année 2018.

Bonne journée

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Musées du futur / Il est 9h18 le 24 août 2025

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Musées du futur / Il est 9h18 le 24 août 2025
Musées du futur / Il est 9h18 le 24 août 2025

Mon cadre de vie actuel se situe entre l'entrepôt et le chenil. Un déménagement se prépare par la mise en boîte d'objets divers, dont les livres, la vaisselle, les bibelots, j'en passe, le rejet (aléatoire) d'artefacts usagés, la mise au rebut (rare) de détritus dont l'usage a prouvé que l'on pouvait faire durer par le simple attachement compulsif à l'histoire du haillon, images de contrées lointaines ou vestiges olfactifs de personnes depuis longtemps éloignées. J'exagère quelque peu, les images stockées sur mes disques durs et dans les caisses pour les plus anciennes, sont amplement suffisantes dans le défilement que l'on pourrait qualifier de stroboscopique, multiples vies dont les strates s'accumulent, défi ultime d'un futur archéologue du 25ème siècle.

A déchiffrer se dira-t-il en s'immergeant dans l'univers 3D de vues d'un temps ancien où l'on gardait précieusement l'encombrante présence, fort pesante au demeurant, d'inutiles décors de moments fugitifs, dits privilégiés.

L'aboutissement de tout ce fatras réside dans la dispersion générationnelle, de retours en grâce par un effet de "mode ".

La fin globale de toute production matérielle à la fin du 22ème siècle généra des vocations de chercheurs en réels. Dans l'amoncellement exponentiel de la deuxième moitié du 21ème siècle, des territoires furent condamnés à devenir des décharges géantes, la logique de production dépassant celle de la consommation, les biens passaient directement de l'usine à la poubelle, assurant un salaire aux ouvriers, trop faible pour acheter ce qu'ils produisaient. La logique absurde prit fin quand la révolution initiée au début de ce siècle trouva son application dans la création d'habits virtuels, conjuguant l'élégance, la pudeur et la fin de l'industrie textile. L'on changeât de tenue plusieurs fois par jour, l'IA via de multiples applications de mobile, permettant par une connexion neuronale d'obéir aux pulsions et aux envies de vêtements instantanés.

Des musées thématiques et chronologiques furent synthétisés autour d'un concept depuis longtemps oublié, à savoir le "vide-greniers", étrange manifestation qui consistait à proposer la surproduction d'objets passés de mode, à un prix dérisoire, alimentant par un effet retard le vieillissement accéléré de nouveautés, obsolescence quasi journalière. L'accélération de ces "secondes vies" fut le coup d'arrêt de la prodcution de masse en amont.

Les musées générés par l'IA créent un décor "ad hoc", le changement peut-être immédiat, les multiples métiers disparus se succèdent, les matériaux sont recyclés par vaporisation, remplacés par d'autres tris sélectifs. La culture ainsi créée par la fréquentation de ces lieux est devenu au 23ème siècle la structure même de ce qui permet à l'espèce humaine de survivre, à celles et ceux qui ont survécu à la grande pandémie du milieu du 22ème siècle.

En ce siècle fécond, le retour à un équilibre précaire reste fragile, la tentation de la propriété, de l'attachement infantile aux objets reste, à des niveaux raisonnables, mais à surveiller constamment.

Le 24ème siècle qui s''annonce voit petit à petit les cycles climatiques se remettre en place, l'IA gère les errements de quelques humains, toujours enclins à se croire indispensables à la bonne gouvernance de leur espèce.

Le 21ème siècle atteignit des sommets de cruauté et de cécité morale...

Suite demain.

Bonne journée

Vieux tube en bande-son, Jésus superstar et les images d'ailleurs, 2016 en Islande.

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Il est 9h16 le 23 août 2025

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Il est 9h16 le 23 août 2025
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Il est 9h16 le 23 août 2025

Quelques images d'hier, promenade à l'île de Batz.

La chanson de Trenet accompagne une sortie îlienne sous un soleil généreux.

Rien de particulier aujourd'hui, pas de blog hier, je ne trouve rien à raconter, tête vide.

De retour sur le continent, l'actualité vous rattrape par la "une" du journal : Israël dénonce une campagne antisémite via la condamnation unanime de la famine qui sévit à Gaza.

Jusqu'où iront ces gens ? Ils puiseront leur victimisation jusqu'au fond de l'abjection.

Rien à ajouter.

Bonne journée

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