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Un pied de romarin / Il est 8h25 le 30 septembre 2025

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Un pied de romarin / Il est 8h25 le 30 septembre 2025
Un pied de romarin / Il est 8h25 le 30 septembre 2025
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Un pied de romarin / Il est 8h25 le 30 septembre 2025

L'auto-satisfaction semble être un trait commun à beaucoup de responsables politiques. Sans même attendre la réponse du Hamas, dont il sait qu'elle sera négative, justifiant à l'avance la poursuite et la logique destructrice des opérations militaires dont on sait que la libération des otages n'est que secondaire. Si par hasard, l'organisation palestinienne dit oui, la suite reste à définir sur le sort de la population dans un champ de ruines. L'ineffable Tony Blair a proposé ses services, dont on ne voit pas la justification par d'hypothétiques compétences. Le NON à l'annexion de la Cisjordanie vaut ce que valent les paroles d'un homme qui n'en a pas. 

Rien de vraiment neuf. 

Nous attendons la formation d'un nouveau gouvernement. La vie continue dans nos campagnes, qu'elles soient bretonnes ou bourguignonnes, dans nos villes où bruissent déjà les premiers chuchotis ayant trait aux élections municipales. Le Népal a retrouvé la paix, loin de nos "petits" problèmes occidentaux, il est vrai que la nomination via une plateforme de jeux videos d'une nouvelle première ministre est une coutume très orientale. Le bilan des émeutes s'élève à 73 morts, de vilains garnements ont saccagé, comme nos jeunes à nous, des symboles et autres batiments officiels. Chez nous, ce genre de bilan serait pour le moins préoccupant, là-bas, la vie continue, comme ici.

Un ton narquois de ma part, histoire de relativiser les évènements qui ne peuvent avoir, exotisme aidant, que la parfum d'une certaine normalité. Ici, nous sommes des enfants gâtés, là-bas, ils sont pauvres, victimes de corruption endémique, mais ils ne se plaignent pas...jusqu'ici. Apparemment, la coupe était pleine...Affaire à suivre. 

Je disais donc que depuis le 8 septembre, la confiance a été retirée à un gouvernement...toujours en place trois semaines plus tard, record battu d'après mes sources. Le premier ministre annonce...grosso-modo les mêmes mesures que le précédent, aucune raison objective pour qu'il ne soit pas censuré à son tour. 

Le "foutage de gueule", excusez l'expression est manifeste, le mépris souverain de Macron et de son fidèle poulain ne fait pas la une, éclipsé par la condamnation de Sarkozy et le soutien indéfectible de la bande qu'il a aidé à entrer en politique. Même Lecornu est allé le consulter, quand on y pense, je me serai bien vu demander conseil à Kerviel ou à Madoff, histoire d'apprendre quelques trucs pour faire fortune rapidement, sans me faire prendre si possible. 

Vu d'en haut, nos amis les gens d'ailleurs doivent, dans leur vaisseau, piaffer d'agacement devant une espèce comme la nôtre. 

Huit milliards d'individus dont l'écrasante majorité tente de vivre tant bien que mal, et à côté, quelques milliers de nuisibles censés les gouverner...

J'oublie quelque chose mais quoi ?

J'ai un pied de romarin vieux comme Hérode qui fait de la résistance, je ne désespère pas d'en faire mon affaire aujourd'hui et je suis content, je me suis acheté une brouette et une perceuse, travaux d'extérieur et d'intérieur. 

Athos va bien, merci pour lui. 

Bonne journée

La bande-son est une reprise 40 ans plus tard par son créateur d'un standard de Led Zeppelin. 

Images de 2021, diverses promenades et perception instantannée que la Bretagne est définitivement un lieu de vacances...

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Maintenant / Il est 7h10 le 29 septembre 2025

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Maintenant / Il est 7h10 le 29 septembre 2025
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Maintenant / Il est 7h10 le 29 septembre 2025
Maintenant / Il est 7h10 le 29 septembre 2025

L'ONU est à la dérive. Sa raison d'être disparaît petit à petit. La SDN créée après la première guerre mondiale avait pour fonction d'entériner la disparition des empires du 19ème siècle et de créer un ordre mondial se partageant le monde en bonne intelligence, ce qui supposait une stabilité économique sans faille, un maintien des colonies en l'état et un système politique figé. Il est curieux de constater que les fondateurs de ce genre d'organisation aient pu croire, dans leur grande et fausse naïveté, que les bouleversements cesseraient miraculeusement, que la guerre, cette horrible méfait, disparaîtrait des esprits et qu'une colombe étendrait ses ailes bienfaitrices sur une planète soudainement convertie aux bienfaits de relations apaisées. Nous connaissons la suite, l'esprit de vengeance prévalut, les belliqueux nationalistes donnèrent de la voix. 

50 millions de morts plus tard, il fut dit que cette fois-ci, la leçon était apprise, la bombe atomique servant symboliquement à se faire peur, l'extinction de l'espèce, avec cette arme terrifiante, devenait une possible menace à laquelle il fallait un contrepoids moralement et juridiquement insurpassable. L'ONU ne pouvait sièger que dans le pays à qui l'on devait la fin de ce massacre, celui qui émergeait et qui sut vendre sa magnanimité, Staline ne pouvant décemment pas réclamer la légitimité d'une telle organisation. Les non-dits valent mieux qu'une inutile querelle, New-York triomphe, et Genève, de par la neutralité suisse, bénéficie des organisations satellites. La guerre froide arrange tout le monde, la décolonisation enrichit le cénacle, une voix pour chaque peuple libéré du joug colonisateur, l'ONU devient la plus importante organisation mondiale jamais constituée, avec un conseil de sécurité composé...des vainqueurs du conflit précédent, ce qui est toujours le cas aujourd'hui, et cette règle intangible de l'unanimité, philosophie censée éviter tout conflit, la planète vouée à la paix éternelle sous l'égide de pays désintéressés. 

Les aires d'influence, idéologiques ou économiques, gelèrent toute interférence, chacun vaquant à ses occupations dans les territoires vassaux, les frictions parfois frolèrent le conflit, puis, la nature reprenant le dessus, la guerre délocalisée fit son apparition, nouvelle mouture du "roulage de mécaniques", les entreprises de mort rentrent dans la danse, premier pourvoyeur de brevets technologiques, donneurs d'ordre, sous le manteau, le conseil dit de sécurité ne servant plus que de protection géopolitique, bien comprise par les propriétaires des lieux, à savoir les Etats-Unis, seul maître à bord. Une voix suffit pour geler toute décision. 

La déliquescence actuelle n'est que le résultat d'une cécité avancée, l'aveuglante impuissance d'un corps sclérosé par une bureaucratie sans pouvoirs, les porte-paroles sans voix et d'innombrables participants dont les strapontins ne dupent personne. 

Il serait judicieux de quitter les USA, symboliquement, laisser ceux-ci à leurs turpitudes enfantillages, réorganiser la structure même de ce monstre bureaucratique, sans effet de manche inopérant. L'Amérique ne véhicule plus les valeurs, doux euphémisme, l'isoler sur le plan diplomatique par un retrait des institutions internationales qu'ils contribuent à rendre impuissant. 

Le soutien actuel à Israël, totalement hors champ, la gouvernance erratique et dangereuse d'un Trump en roue libre sont suffisamment graves pour nous alerter sur l'urgence d'un retrait de ce pays de toute organisation internationale. Il ne faut pas être angélique, mais la prise en compte de l'émergence de puissances nouvelles, un rééquilibrage Sud-Nord de cette organisation sera nécessaire, que les états inaudibles aujourd'hui fassent entendre leurs voix. . Les dégâts occasionnés sont aujourd'hui réparables, prendre le dessus sur la saturation médiatique d'un pays omnipotent, taper du poing sur la table et faire taire l'olibirus et ses sbires, dont la politique intérieure actuelle ne peut servir d'exemple, et laisse augurer de tristes jours si nous n'y prenons pas garde. Le ver est dans le fruit, il faut le tuer MAINTENANT.

Bonne journée

Musique de paix et images itou.

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Les mains sales / Il est 7h52 le 28 septembre 2025

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Les mains sales / Il est 7h52 le 28 septembre 2025

Le mec est condamné à cinq ans de prison et il va au match de foot deux jours plus tard, accompagné du patron du club. Et chaque jour, les gens comme vous et moi, on les emmerde dès que l'on fait un pas de travers, les règles diverses et multiples fleurissent sous la forme de panneaux d'interdictions, de limitations tatillonnes et de frais divers si vous dépassez votre découvert autorisé. 

Je ne sais pas pour vous mais moi, ça m'agace un peu. 

Je voulais également rappeler que la condamnation du monsieur fait suite à une affaire de financement par un autre monsieur reçu en grandes pompes et à qui le premier a envoyé des avions de chasse, en compagnie des Anglais, afin de le chasser du pouvoir. La Libye vit depuis dans un chaos innommable. Mr Cameron, premier ministre anglais de l'époque va bien. La Libye sert de base arrière aux passeurs de migrants, cloaque glauque aux relents de l'esclavage d'antan. J'écris cela car voir un repris de justice discuter avec un descendant de ces esclavagistes dont la seule richesse se trouve dans son sous-sol, je me dis qu'ils doivent parler le même langage, valeurs universelles liés aux jeux du cirque financés par le commerce des esclaves. 

L'image est confondante de raccourcis, d'une immoralité assumée dans l'enceinte d'une arène, celle du Qatar football-club. Vous aurez toujours quelques milliers de gugusses pour applaudir. 

Les douze mètres carrés attendent ce monsieur dans le quartier VIP, destiné aux personnes "fragiles", dixit la chancellerie. 

L'actualité n'attend pas les pieds de nez, elle les crée par un appel à manifester pour un peu tout, le climat, Gaza, les guerres, etc... 

Habitant là où je suis, il n'y aura pas de manifestations dans le coin. Le fourre-tout revendicatif m'a toujours laissé sceptique, les participants se retrouveront entre eux, à l'indignation consciencieuse.

Et Trump promet la fin de guerre à Gaza... 

La blague n'est pas drôle.

Bonne journée

Un rayon de soleil musical et l'ombre portée sur une plage.

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Au trou / Il est 8h03 le 27 septembre 2025

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Au trou / Il est 8h03 le 27 septembre 2025
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Au trou / Il est 8h03 le 27 septembre 2025
Au trou / Il est 8h03 le 27 septembre 2025
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Au trou / Il est 8h03 le 27 septembre 2025

La une de la presse me désespère : Le nouveau premier ministre douche les espoirs de la gauche !

Quel scoop ! Il faut faire des études de journalisme pour sortir un titre, et un article, une batterie de focus sur un constat prévisible depuis la nomination de ce serviteur macroniste. La gauche (sic) a eu des espoirs ? Quelle gauche et quels espoirs ? Glucksman peut-être a été décu de ne pas être appelé mais attendez une minute ....Le gouvernement n'est pas formé, un espoir de strapontin pour tous ces petits marquis d'un règne finissant ? 

Sarkozy à la Santé dans une cellule personnelle de douze mètres carrés, quelle indignité ! En effet, on peut dire que la fonction qu'il a occupée n'en sort pas grandie, ce qui ne va pas arranger la crédibilité du personnel politique. Quand on connaît (un peu) ce milieu, il est vraiment désolant de voir le champ de ruines que ce genre de pratiques laisse derrière lui. Les élus sont nombreux dans notre pays, à beaucoup d'échelons, anonymes édiles de communes, de territoires plus ou moins étendus avec des responsabilités fort peu gratifiantes, et des emplois du temps fort peu rémunérateurs. La technicité de notre société demande un travail de mise à niveau permanent, une délégation pas toujours simple à fixer, envers des personnes qui vous rendent compte et dont vous êtes responsables des actes, officiellement. La majorité des élu(e)s font un travail austère, dont on ne voit que les compte-rendus souvent mal rédigés dans la presse. Au vu des heures de boulot, ce n'est souvent pas cher payé. 

Quand je lis les bêtises sur le coût de  la démocratie, de petites gens dont on bourre le crâne sur le soi-disant enrichissement personnel que procurerait une fonction élective, je bous quelque peu devant la médiocrité des débats lancés par tel ou tel organe de presse. 

L'éthique n'est pas une vertu cardinale, elle devrait l'être mais l'écume des accusations non fondées, la petite musique du "tous pourris" oriente les votes vers des lendemains fortement contre-productifs. A vrai dire, la France est le seul pays d'Europe continentale à n'avoir pas connu de dictature en temps de paix. J'aimerais assez que nous testions ce genre d'expérimentations, histoire de prendre la mesure de ce qu'est l'autre versant de la gouvernance, à savoir l'absence d'élus... 

Qu'en dites-vous ? 

Bolloré aux manettes médiatiques, Bardella sous les ors élyséens, Retailleau premier ministre et Hanouna ministre de la culture, etc...

Ne souriez-pas, ces gens sont aux portes du pouvoir, un petit effort, allez, juste pour voir si la soupe est meilleure avec ceux-là...

Bonne journée. 

Un Boris Vian de bon matin, toujours lucide, accompagné du vent du large.

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Signes / Il est 8h33 le 26 septembre 2025

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Signes / Il est 8h33 le 26 septembre 2025
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Signes / Il est 8h33 le 26 septembre 2025

Je ne suis pas juriste mais la loi des probabilités a une constante ; plus vous accumulez les fautes, plus vous avez de chances de vous faire prendre. Et si, en plus, vous narguez celles et ceux en charge de votre parcours, il y a fort à parier qu'un jour, ces derniers ne vous fassent pas de cadeaux. "Arrêtes-moi si tu peux" est le titre d'un film de Spielberg narrant les aventures d'un escroc au petit pied poursuivi par un détective au look peu avantageux ( Di Caprio et Tom Hanks). A la fin, il se fait prendre, le plus drôle est qu'il a été conseiller technique sur le film (le vrai). J'imagine les apprentis politiques de droite visitant Sarkozy en prison pour lui demander des conseils. Je crois que le premier ministre actuel a rendu visite récemment au futur repris de justice ! Que Retailleau, ministre de l'intérieur, apporte tout son soutien au condamné. Se rendent-ils compte, ces individus, de l'image donnée du monde politique...? 

J'entends déjà la fachoshère, qui en connaît en rayon dans la victimisation, pérorer sur le "tous pourris", ils vont déchanter d'ici peu. 

17 passages devant la justice, l'ex-président de la République devait un jour passer à la caisse, la probabilité vous dis-je, et  la fin, elle se casse. 

Le Trump continue son cirque, à chaque jour son énormité dont on se demande si l'association de cerveaux qui lui sert sa bouillie tous les matins ne l'arrose pas au laudanum, susbstance largement utilisée il y a quelques décennies, aux effets cérébraux redoutables. 

Il se passe quelque chose en Méditerrannée autour de la flotille internationale. Les Israéliens, toujours aussi imbuvables, balancent des drones sur les bateaux désarmés. La France ne bouge pas, l'Italie a envoyé un bateau de guerre, l'Espagne s'apprête à faire de même et je lis que l'Indonésie fait des préparatifs pour un contingent de 20000 hommes en vue d'un mandat de l'ONU. Il est temps que cette impunité cesse, avec ou sans l'aval des USA, par simple respect de la notion d'humanité. Nous savons toutes et tous que des psychopathes jouent avec le feu, dans le seul but de sauver leur peau, voyons jusqu'où la lacheté de certains Etats ira, à commencer par le nôtre. Dans le même temps, l'Arabie Saoudite a envoyé un message à Israël concernant la Cisjordanie si annexion il y a...

Quelques soubresauts, quelques signes annonciateurs de....

Bonne journée

La bande-son est un pur bonheur. Notre ami Robert Plant sort un album aujourd'hui, magique. 

Les images du jour respirent la tranquillité. 

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Destin / il est 8h12 le 25 septembre 2025

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Destin / il est 8h12 le 25 septembre 2025
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Destin / il est 8h12 le 25 septembre 2025

Temps gris sur la campagne bourguignonne, comme ailleurs, température frisquette, comme partout en France. L'automne s'annonce de suite, pose ses valises, pluie et vent, normal. 

L'actualité donne un Trump coincé sur l'escalator à l'ONU, j'aurais bien aimé voir ces marches mécaniques prendre vie et nous l'embarquer sur une autre planète. Il a crié au complot, a débité des salades à la tribune, seul avec Israël contre le reste du monde, a provoqué des embouteillages, coinçant Macron dans la rue, contraint de continuer son chemin à pied. Je n'invente rien. 

Il a déclaré une mouvance idéologique hors la loi, comme si on interdisait la musique, sous prétexte que c'est du bruit. Ce type devient un vieux con sénile, c'était un jeune con vulgaire et imbuvable, il devient ce qu'il a toujours été : un déchet à rejeter dans les poubelles de l'histoire. 

Je ne sais si je retournerai aux USA un jour, mais avec ce que je poste, je serais dans mes petits souliers à l'immigration de l'aéroport JFK. 

J'ai perdu deux repères cette semaine, entre Robert Redford et Claudia Cardinale. Je sais que la liste n'est pas close, d'autres êtres qui m'ont ébloui par leur talent vont partir, l'âge est impitoyable dans sa logique, elle souligne que le mot FIN à la dernière image du film laisse place à un écran noir, rien d'autre. 

L'immortalité de ces deux-là s'inscrit au delà des écrans de cinéma, des vies pleines et entières, sans concession, et un destin, mot qui ne s'applique pas à vous ou moi, non, juste un alignement de planètes, signes astraux en harmonie. 

Brel disait : beaucoup de boulot aussi...

Il avait raison sauf que la grande majorité bosse énormément...pour un résultat d'un anonymat assourdissant. 

Le grand Jacques travaillait beaucoup, nul doute là-dessus, mais le talent, monsieur, le talent, vous en aviez. 

Chez ces gens-là, monsieur, chez ces gens-là...

Allez, marchez jusqu'au bout de ses rêves, il en reste toujours quelque chose. 

Bonne journée

Bande-son anti-blues, et des images d'avant..

 

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La maison vide de LAURENT MAUVIGNIER aux Editions de Minuit

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Après un concentré sur vingt-quatre heures dans "Histoires de la nuit", nous sommes conviés à une quête mémorielle dans la famille Mauvigner, née d'un questionnement douloureux suite au suicide du père de l'auteur. Les pages blanches de la remontée dans le temps familial ne sont guère vsibles sauf mentions de l'écrivain lui-même, les trous sont la règle dans les histoires familiales, volontaires, conscients ou non. L'enfant Mauvignier n'a pas à tout savoir, le récit de vie est construit selon des règles établies en d'autres temps, avec des valeurs aujourd'hui obsolètes, voire coupables d'omission. Il est des évènements que l'on tait, des discours convenus et des hontes bues jusqu'à plus soif aboutissant à des non-sens, à des cul-de-sac qui demandent réponses. le drame survenu dans l'enfance de l'auteur ne souffrait d'aucune réponse satisfaisante une fois celui-ci grandi dans les cercles d'une littérature interrogative, dont le rôle est ici magistralement démontré. A la sincérité s'ajoute le souci du détail, une peinture sociale précise et les pesanteurs soulignées maintes et maintes fois. La vie de nos campagnes françaises, ailleurs aussi sans doute est un carcan de conventions, de hierarchies ancestrales puisant leur légitimité dans une combinaison de tromperies et d'arrangements dont les femmes paient le tribut le plus conséquent. D'une vocation brisée naît une force mentale destructrice par delà les générations. La négation de l'être s'auto-entretient, l'orgueil qui en naît broie tout être qui se met en travers du chemin qu'il se trace, l'enfant devient une gêne, pis que cela, l'image incarnée de la faute originelle, au croisement d'intérêts mesquins et de domination masculine, figure du héros dont il convient de ne pas égratigner des vertus fictives, lourd tribut pour l'enfant condamnée à s'inventer un père, sur son piédestal. La mère souffre, la fille va payer, crachant à la figure de ce père déifié, tous les vices que l'interdit vous offre en expiation. La déchéance n'est que le fruit pourri, matrice donnant naissance à d'autres souffrances tues, aucun récit n'étaye une mise à mort brutale et mutilante, privant l'enfant d'un père ayant tu, par protection des siens, les affres d'une mère elle-mère enfermée dans un personnage qu'elle n'avait pas choisi.
La terrifiante filiation décrite dans ce livre a une densité narrative rare, une puissance d'évocation que j'ai rarement ressentie. Nous pouvons, au fil des pages, être pris de malaises, tant les cousinages avec les non-dits de nos existences sont légion.
Familles, je vous hais, pourrait-on dire, avec ses cortèges d'hypocrisies, d'affections feintes, de prisons mentales aux murs si épais que les cris ne franchissent pas le seuil des maisons construites autour de ces huis-clos.
La vie peut-être un cri que personne n'entend, la porte s'ouvre sur une maison vide, le piano trône, désaccordé, réduit au silence et soudain, la mort s'invite, patiente depuis des décennies.
A lire absolument

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Qui le sait ? / Il est 9h27 le 23 septembre 2025

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Qui le sait ? / Il est 9h27 le 23 septembre 2025
Qui le sait ? / Il est 9h27 le 23 septembre 2025
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Qui le sait ? / Il est 9h27 le 23 septembre 2025
Qui le sait ? / Il est 9h27 le 23 septembre 2025
Qui le sait ? / Il est 9h27 le 23 septembre 2025
Qui le sait ? / Il est 9h27 le 23 septembre 2025

" Trump déconseille le paracétamol aux femmes enceintes". Ce serait un canular un peu limite, ça ne l'est pas. 

Macron entraîne Andorre dans son sillage dans la reconnaissance d'un Etat palestinien, ce qui donne une idée de la puissance diplomatique française. Nétanyahou et, apparemment, la quasi-totalité de l'appareil politique israélien, condamnent cette reconniassance. La régression est impressionnante, le déni de leur situation géopolitique, le refus de toute solution est un repli identitaire quasi suicidaire. On a beau essayer de comprendre, on ne le peut pas. La légitimité de la toute puissance militaire s'accouple avec une vision fanatisée de l'Histoire en marche. Le monstre engendré passe du statut de martyr à celui de bourreau. 

L'espoir d'une reconnaissance internationale de l'existence même du peuple palestinien est tuée dans l'oeuf par le soutien indéfectible des USA et ne fait que renforcer le discours jusqu'au boutiste d'organisations que l'on peut qualifier de terroriste. Que reste-t-il à un peuple nié dans son existence même que la clandestinité face à un adversaire fermé à tout dialogue ? La logique fonctionne depuis 1948, elle ne peut que se renforcer, que les récupérateurs peu scrupuleux s'appellent Hamas, Fatah ou autre appellation. Un peuple se trouve pris en otage entre un état-voyou et des états richissimes au jeu diplomatique schizophrénique, protégeant avant tout leurs propres intérêts. L'on se souvient du peuple kurde, à cheval sur quatre états, aux frontières nées du partage d'anciennes possessions occidentales et de l'agonie de l'Empire ottoman. Les soubresauts de l'Histoire en marche sur des chemins incertains sont présents à l'esprit des israéliens et de leurs rares alliés. 

Les limites d'un possible interventionnisme sont dépassées depuis longtemps, les jeux diplomatiques donnent à l'Europe une conscience à peu de frais, l'armement continue d'affluer vers la machine de mort de l'état hébreu. 

Les réactions face à l'invasion de l'Ukraine par la Russie donnent la mesure du poids symbolique que représente Israël et de son rôle en Orient, fer de lance d'un Occident en proie à des nationalismes de fin de civilisation. On peut jouer les gros bras face à Poutine, c'est un tsar après tant d'autres, en terrain connu et c'est chez nous, entre nous. 

Le Moyen-Orient échappe en partie à cette représentation, un autre monde dans lequel des gens (les Juifs) ont cru trouvé une terre promise, en milieu hostile, s'y implanter, un far west à conquérir, les Palestiniens ne sont que les "Indiens" de ces déserts, on connaît la suite, l'inexorable colonisation de la Cisjordanie rappelle étrangement le peuplement des grandes plaines de l'Ouest américain. 

L'Histoire regorge de ces spoliations. Le Tibet, vaste territoire à la culture séculaire, fut "sinisé" sans que quiconque trouve à redire, sans parler des Ouïgours, dernières victimes en date de l'expansionnisme économique chinoise, mise en valeur selon la terminologie locale. Les victimes sont nombreuses, beaucoup plus qu'à Gaza, qui le sait ? Qui s'en soucie ? 

Notre sensibilité à géométrie variable focalise sur tel ou tel lieu de souffrance, oubliant au passage que l'Histoire des hommes est jonché de cadavres sur lesquels nous marchons allègrement, par ignorance ou par lassitude.

L'esclavage, et j'arrête là, a enrichi tout un pan de la société française, y compris dans les campagnes reculées, qui le sait ? 

Bonne journée

La chanson me paraît approprié, le silence des mots que personne n'entend...

Les images datent de 2018, au hasard de la pioche effectuée sur mon disque dur.

 

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L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre

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L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre
L'automne en pente douce / Il est 8h15 le 22 septembre

Aussi loin que nous allions, nous ne ne retrouvons que nous-mêmes. 

Je regarde par la porte-fenêtre, je vois un ciel bas et gris, une pelouse et quelques fleurs et constate que le paysage a changé depuis huit jours, point de voitures garées ni de bitume et de l'autre côté, un pâturage remplace avantageusement une rue glauque et laide, un toit de bureaux et ses goélands piailleurs. Il y a toutefois un truc : c'est le même bonhomme qui a les yeux ouverts, le décor seul a modifié son aspect. 

JE suis là, l'herbe est plus verte en lieu et place de 250 places de parking, et la vache d'à côté est fort silencieuse. 

Je me rase ce matin, je vois le même visage, le même regard interrogateur. 

La campagne autour de la maison étale sa différence. 

Je suis donc ici, rien ne change, le chien grandit, la météo s'annonce fraîche et pluvieuse, comme un sas climatique entre hier et aujourd'hui. 

Le programme n'a rien de stressant, un couvreur passe voir les travaux à effectuer, je vais chez le vétérinaire prendre rendez-vous, puis m'enquérir d'une nourriture appropriée à l'hygiène de mon compagnon à quatre pattes, l'heure du déjeuner approchera alors à grands pas, un coup de téléphone peut-être puis une réflexion sur l'accrochage des tableaux et autres images d'ailleurs, l'après-midi s'écoulera paisiblement entre une sieste réparatrice, une promenade humide et la poursuite de la lecture du dernier Emmanuel Carrère entamé hier soir. Puis la lumière baissera, encouragée par des nuages persistants. 

Demandez le programme, c'est celui d'aujourd'hui, demain sera un autre jour, d'autres obligations, légères, un avis de lecture à rédiger, des cartons à retrouver, une idée à creuser et une course alimentaire peut-être. 

L'automne en pente douce, c'est le jour...

La bande-son d'une fin de face B, d'une fin de spectacle de Sir Paul et en illustration, une promenade en France, comme celle où je suis maintenant, quelques ressemblances, les vaches n'ont pas la même couleur...

P.S / Pas d'actualité, celle-ci défie les lois de la décence et du bon sens. 

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Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025

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Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025
Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025
Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025
Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025
Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025
Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025
Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025
Le perruqué / Il est 7h45 le 21 septembre 2025

Après une semaine de silence, un retour aux affaires s'impose, il semblerait que la fan-zone bout d'impatience de savoir qui de Lecornu ou de Macron va démissionner. Je vous rassure, ou vous déçoit, aucun des deux n'est sur le départ. J'apprends que le nouveau premir ministre est un MENTEUR, s'étant attribuer un diplôme qu'il n'a pas, à savoir un Master en économie. La valeur, dans la tête de ces gens, réside dans le parchemin. J'en ai connu des comme ça, la tête comme un melon, jamais en retard d'un coup de menton, histoire de prouver qu'ils existent. La suffisance, la fatuité ont été croqués par Molière qui, s'il était de ce monde, se régaleraient tant la matière regorge de tous ces fâcheux. Une noblesse par le cerveau rempli de mots, de lettres et de phrases, modes d'emploi aussi creux que le réceptacle qui les habite. Ces gueux des beaux quartiers ne mériteraient guère mieux que la gamelle de mon chien, histoire de les ramener au niveau qui est le leur, les rase-motte de la pensée contemporaine, le degré zéro de l'action politique, les égouts de l'éthique au quotidien. Mon chien remue la queue, il est content, eux remuent-ils la leur, je ne sais pas ? 

J'apprends par hasard que le système de sudation du prince est en mode pause quand il fait chaud, et que le froid ne le touche guère, un scoop donc ce matin : notre prince est un androïde d'où cette impossible transpiration, ce faciès vaguement méprisant, les concepteurs ayant juger que cela sied à un puissant de montrer une moue distante, vaguement méprisante et puis, sa femme est vraiment une femme. Je mentionne une évidence, qui ne l'était pas pour une chroniqueuse américaine, le couple présidentiel va envoyer des certificats médicaux attestant de la féminine condition de la dame élyséenne. On vit une époque formidable. 

En une semaine, plusieurs centaines de victimes supplémentaires à Gaza, le pétrole russe flambe (en vrai) et Trump intente un procès au NYT tout en menaçant d'enlever les licences de diffusion aux chaînes de télé nationales, trop critiques à son égard. La saturation de l'espace médiatique est une technique bien connue, pratiquée à outrance par le grand blond dont on espère une fin prochaine, vu son âge, après tout, personne n'est à l'abri d'un mauvais rhume. Je fais attention, je n'incite personne à quoi que ce soit mais beaucoup aimeraient que ce cirque indécent cesse, honte qui rejaillit sur l'ensemble de l'espèce dont je suis un membre à part entière. 

Cela me gêne vraiment de partager des chromosomes avec certains types, 97% avec l'orang-outang me plaisent plus que de voir régulièrement un espèce de phacochère à deux pattes ouvrir ce qui lui sert d'orifice bucal, une tête, deux bras et deux jambes sont les seuls points communs avec le perruqué. 

Le jour se lève sur la Bourgogne, pluie aujourd'hui...

Bonne journée

Un extrait de la bande-son d'un film vu hier soir, " Presque célèbre ", merci à mes enfants, et les images non loin du cadre de cet opus à la B.O exceptionnelle. 

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