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C'est lundi / Il est 8h00 le 6 janvier 2025

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C'est lundi / Il est 8h00 le 6 janvier 2025
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C'est lundi / Il est 8h00 le 6 janvier 2025

Images d'Inde.

Et en bande-son, un duo exceptionnel dont il faut courir acquérir les deux albums, parus en 2007 et 2022. Extrait du premier opus.

Clarisse écoute peut-être, Esther pas encore, Mylène je ne crois pas, quant à Sylphide, sûrement pas.

Mauvaise nuit, vent très présent.

A Gaza, le massacre continue, au Tibet, il se perpétue dans l'indifférence générale, l'acculturation à la mode chinoise est violente et permanente. Le silence autour de ce drame serait-il lié à la puissance économique du pays ? Au manque d'informations ?

Clarisse fronce les sourcils en évoquant l'impossible compassion universelle, l'indifférence n'est que feinte, mais je me protège rajoute-t-elle. Esther s'élève en faux face à cette posture, elle parle et intervient, s'agace du silence coupable qui en devient complice. Mylène tente une phrase maladroite sur une nécessaire participation, le caritatif vaut mieux que l'égoïsme, quant à Sylhide, elle tourne les talons, occupée à la préparation d'une soirée festive, dont les bénéfices iront à...elle ne se souvient plus.

Le sieur Sarkozy se retrouve devant les juges pour des faits remontant à ...2007. 18 ans plus tard, Ségolène, son adversaire du moment, sourit, qui n'a pas à répondre de ses financements d'alors, campagne présidentielle sabotée par les mâles du PS d'alors.

La première semaine de l'année débute avec la lecture de "Boucher", le dernier roman de Joyce Carol Oates, après avoir terminé péniblement le troisième tome de la trilogie écossaise, je n'oserai dire, celui de trop, mais que ce fut laborieux. A lire sur le prochain avis de lecture.

Bonne semaine

 

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Dimanche / Il est 7h47 le 5 décembre 2025

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Dimanche / Il est 7h47 le 5 décembre 2025

Clarisse se lève, chiffonnée par une mauvaise nuit, peuplée de mensonges.

Mylène traîne des pieds, blague dans un demi-sommeil, se parle puis se tait, regarde la pendule : le devoir l'appelle.

Esther, assise au bord de son lit, voit le psyché et ce qu'elle y voit la désole, elle soupire puis se lève.

Sylphide, à cette heure, ne se lève pas, elle dort encore. L'heure tardive du coucher n'est pas loin, nous reviendrons dans quelques heures.

Il pleut en ce dimanche, après avoir gelé quelques heures plus tôt. Plus dix degrés entre 19 et 22 heures hier soir.

La une du "Monde" numérique sur les otages à Gaza. Après 14 mois de déluge de feu, il y a toujours des guerriers du Hamas retenant des otages ! Il y a loin de ce que nous voyons, au compte-gouttes, à ce qui est. Comment peut-il rester des combattants islamistes ?

L'armée pilonne des civils et n'a toujours pas réussi à éradiquer ce qui était son premier objectif, à savoir les responsables du massacre du 7 octobre 2023. En lieu et place, elle massacre à son tour, sans efficacité militaire probante, mais est-ce son but ? Nous avons compris que non...

8 Milliards de dollars de matériel militaire viennent d'être octroyés par Biden à Israël, histoire de parfaire la destruction systématique de l'enclave palestinienne. 2025 s'annonce sous les mêmes auspices que l'année précedente.

Piano magnétique comme bande-son et images d'ailleurs.

Bonne journée

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Muses / Il est 9h52 le 4 janvier 2025

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Muses / Il est 9h52 le 4 janvier 2025
Muses / Il est 9h52 le 4 janvier 2025

Clarisse, Sylphide, Mylène et Esther sont quatre femmes d'aujourd'hui, d'âge divers et de milieux fort éloignés les unes des autres. Elles n'ont, à ce stade, que de faibles probabilités de se rencontrer, voire aucune. Les prénoms trahissent leur origine, le choix est dicté par une culture, une mode du moment, ou une volonté de se différencier du commun. L'important ne se situe pas dans ce détail patronymique, leur nom de famille interviendra plus tard, beaucoup plus tard. Elles vivent aujourd'hui, dans ce monde un peu fou, dans notre pays, qui l'est un peu moins que les autres. Elles devraient, j'emploie le conditionnel, être heureuses, elles ne le sont pas, malgré les sourires de façade, composante majeure de la féminité, premier contact rompant la glace. Le bien-être matériel évite de triviales préoccupations, elles laissent ces contingences à d'autres, à part Sylphide en proie à d'incessants besoins que nous nommerons sous le vocable de "diableries", de ces folies de son corps. Elle s'en dégage avec aisance, le regard enjôleur.

Clarisse n'a pas de ces élans, elle semble en totale maîtrise, pas de certitude, la commissure des lèvres trahit le doute. La mise de la dame ne prête pas à la gaudriole, elle jauge toutefois la possible proie, prédatrice ? Rien n'est moins sûr.

Mylène, au port altier, ne s'en laisse pas conter, décourage d'éventuels prétendants, à quoi ? Tous les mêmes dit-elle dans un rire, pas dupe de la galanterie de l'homme.

Esther a d'autres soucis. Fort occupée, elle n'a de cesse de remplir son agenda, de peur qu'une quelconque vacance anxiogène, prenant son plaisir deci-delà, au hasard des rencontres, stériles aventures sans lendemain.

Le fil se tisse entre ces muses.

A demain

Bonne journée

La bande-son est une de mes préférées.

Images du vaste monde.

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"Ternitude" / Il est 8h41 le 3 janvier 2025

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"Ternitude" / Il est 8h41 le 3 janvier 2025
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"Ternitude" / Il est 8h41 le 3 janvier 2025
"Ternitude" / Il est 8h41 le 3 janvier 2025

Revu hier "Lawrence d'Arabie", grand spectacle, mythe et histoire au rendez-vous ainsi qu'une musique...

J'ai une version en deux dvd, entracte au milieu et une curiosité voulue par le metteur en scène David Lean, la musique du générique des dvd s'écoute sans les images, écran noir. La démesure non numérique donne une amplitude et un souffle d'une grande authenticité, les chevaux sont vrais, le désert est là, pas d'écran vert, les acteurs jouent dans le sable tourbillonnant. Je reste toujours scotché par ce cinéma-là.

Il n'empêche qu'un autre film a retenu mon attention hier, en salle : "Bird", peinture sociale anglaise d'aujourd'hui, musique d'aujourd'hui et beaucoup, beaucoup d'amour...

C'est à voir, sincère, brut, authentique et foutraque parfois mais terriblement bien joué.

Deux films en partage donc sans aucun rapport, 62 années entre les deux, la magie opère toujours, merci de ces évasions loin de la "ternitude"d'une météo grise et sale.

Je pense à l'instant aux coupes bugétaires régionales occasionnées par les "économies"engendrées par une gouvernance irresponsable. Le choix peut être révélateur des priorités et des valeurs, à savoir 100 millions d'euros sur le dos de la culture en Pays de Loire, avec des conséquences létales pour moults associations, non "essentielles" on le suppose pour la présidente de cette région, d'obédience droitière. La Bretagne a choisi de ne pas toucher à ce budget, autre couleur politique, tendance sociale-démocrate. Les valeurs restent, y compris et surtout dans le quotidien politique.

Pour certains, c'est plus de flics et de prisons, pour d'autres, plus d'écoles et de bibliothèques. Victor Hugo eût une phrase célèbre sur les bâtisseurs de geôles.

Un standard remuant pour commencer ce jour blafard et des images lointaines dont vous devinerez aisément la provenance.

Bonne journée

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Et de deux / Il est 8h51 le 2 janvier 2025

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Et de deux / Il est 8h51 le 2 janvier 2025
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Et de deux / Il est 8h51 le 2 janvier 2025

Le jour d'après, le deux du mois, rien de plus que le premier, la vie reprend ses droits, ou la mort, selon l'endroit où vous habitez, où vous tentez de vivre.

L'année 2024 fut la plus chaude enregistrée depuis que les mesures existent.

Un ancien militaire américain fonce dans la foule la nuit du nouvel an, bilan 15 morts.

Comment un type du Texas peut-il deveir un disciple de l'état islamique ? L'american way of life n'a pas dû le satisfaire, il fut militaire, a pris ses marques en Afghanistan et en est revenu transformé, apparemment.

Rien de très emblématique dans ce drame, juste un pauvre type qui en tue une quinzaine, au mauvais endroit au mauvais moment, Bourbon street, à jamais marquée aujourd'hui par l'équipée sauvage d'un bas du front.

Combien de cinglés se baladent avec un arsenal ?

Ici à Saint-Brieuc, rien de tout cela n'arrive, quelques vélos ou trottinettes roulent à tombeau ouvert dans la seule rue animée, peur sur la ville...

La seule angoisse ici, c'est la date de fermeture du prochain magasin, appréhension de quelques clients égarés qui ne connaissent pas l'existence du centre commercial d'à côté, mais ça ne saurait tarder.

Un appartement à vendre, toujours et encore, si vous voyez quelqu'un, faites-moi signe.

 

La bande-son est une jolie bluette, une de mes préférées, accompagnée d'images californiennes de 2017, de Steinbeck à Hearst.

Bonne journée

Bises

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Peace and love / Il est 8h47 le 1er janvier 2025

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Peace and love / Il est 8h47 le 1er janvier 2025

What else ?

Dit en anglais, et en français, ça donne quoi ?

L'amour est tout ce dont vous avez besoin...

En ce premier jour de 2025, nous avons tous besoin d'amour, et quelque soit la forme qu'il puisse prendre, visible ou non, démonstratif ou platonique, aimez les gens...

Je sais que le sourire vient aux lèvres quand on lit de genre de prose idéaliste, quand on écoute "peace and love" tout en râlant contre le voisin qui manie la perceuse au beau milieu de votre sieste salvatrice, de pester au volant derrière la voiture qui vous précède, et ainsi de suite et de regarder les informations guerrières sans broncher...

Et en images, une ville qui fut le symbole de cette fièvre, aujourd'hui aux prises avec une autre pandémie, celle de la cupidité et de l'indifférence.

Beaucoup de travail en perspective.

Bonne et heureuse année.

Bises

 

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Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024

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Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024
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Poum pou pi dou !!! wouh !! / Il est 8h24 le 31décembre 2024

Je ne résiste pas à l'extrait du film vu hier soir, irrésistible Marilyn.

Les prestations de Jack Lemmon et Tony Curtis sont hilarantes et le rythme endiablé. Je me disais que terminer l'année avec une comédie autre qu'une franchouillardise pouvait être recommandé, remboursé par la sécu (difficile).

Images de décembre 2017, en accord avec le film.

Tout ceci est futile et suscite des haussements de sourcils et d'épaules de la part de certains, le modèle proposé ici n'a rien de pérenne, nous le savons toutes et tous.

Je signale que Norma Jean Baker avait un QI fort conséquent, si tant est que l'on accorde de l'importance à ce test, que le mouvement METOO, elle l'a en quelque sorte inventé, se servant de la lubricité des hommes tout en payant le prix fort. Les rapports hommes-femmes sont ici porté à un paroxysme tel que le mélange sexe-pouvoir n'a jamais été aussi évident, la faiblesse de l'homme tout puissant ayant été révélé au grand jour. Elle en est morte.

Kennedy assassiné, Marilyn ?

Nous sommes le 31 décembre, un jour comme les autres me disait mon père, ainsi que le 1er, le calendrier grégorien n'a de valeur que pour celles et ceux qui y croient.

Le calendrier révolutionnaire avait mis à bas ce symbole de la domination religieuse, il est revenu ensuite, personne n'y prend garde.

Pas grave...

Bonne journée à toutes et tous et...à l'année prochaine.

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Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024

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Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
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Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024
Oubli / Il est 7h11 le 30 décembre 2024

Mal dormi et mal de tête.

Jimmy Carter est mort à l'âge de cent ans. Qui se souvient de lui ?

Il fut président des Etats-Unis entre 1977 et 1981, fit signer un accord entre l'Egypte et Israël, prix Nobel de la Paix pour cet entregent.  Très croyant, il vivait en Géorgie, très actif dans le domaine caritatif. C'était, si j'ose, l'exact opposé de celui qui vient d'être élu. Il fut battu par Reagan, clown médiatique, début d'une ère de sévices libéraux.

Je vois que le gouvernement se déplace à Mayotte, 24 heures sur place avant une escale à la Réunion. Quand le cyclone a tout dévasté, ces gens étaient hors service, ils viennent voir, soudain importants, voire importuns. Le côté colonial n'aura échappé à personne, même si le silence radio est assourdissant.

Avant-dernier jour de l'année 2024, encore un effort...

Quelques images de 2014, New-York et Washington.

Et Nabucco, son choeur des esclaves mondialement connu.

Vu hier un concert à Venise, extraits d'opéras de Puccini et de Verdi, sur la place Saint-Marc, écrin prestigieux, de belles images, une musique et des voix divines.

Merci.

Le pire et le meilleur se côtoient souvent dans le torrent ininterrompu de l'information, à nous de faire le tri, de voir ou ne pas voir.

Rien de plus à ajouter ce jour que ces banalités, la migraine ne facilite pas le transit neuronal.

Bonne journée.

 

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Et vous passerez comme des vents fous de CLARA ARNAUD aux Ed Actes Sud

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Avis paru dans BABELIO

Pas trop surpris par ce roman. J'ai eu ce livre dédicacé par son auteure et quelque chose me disait que j'allais avoir droit à une rubrique très "terroir", mix entre l'élevage des moutons en Pyrénées et l'étude des ours dans le même milieu, avec l'inévitable cortège d'images et de clichés sur la confrontation inévitable entre le gars du coin qui défend son identité, et la scientifique qui a une vue plus "large" du vivant. Les profils psychologiques sont campés, les interrogations sont justes, il manque un équilibre entre les personnages, leur structure affective, et le boulot qu'ils effectuent dont les détails au quotidien tiennent du documentaire. Nous sommes incollables (ou presque) sur les moeurs ovins en montagne, sur le régime alimentaire de l'ours, ses techniques d'approche, etc, etc...
Le décor est planté, mais les personnes qui vivent là ne nous concernent pas, ne nous émeuvent pas plus que ça.
Il manque peu de choses, un poil d'imprévu, un zeste d'irrationnel.
L'on sait ce qui va se passer, les états d'âme du berger, son devenir après, ce que va faire l'ourse, plusieurs dizaines de pages avant et l'éthologue, dont on se doute qu'elle ne lâchera pas l'affaire.
En résumé, on s'ennuie un peu à les voir évoluer, s'ajoutent à cela pas mal de stéréotypes sur l'opposition ville-campagne.
J'ai eu du mal à aller au bout.
Le clin d'oeil au passé via le montreur d'ours donne une touche d'humanité non factice, seul élément qui paradoxalement sonne juste.
A lire si vous voulez, sans plus.

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Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024

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Butinez ! / Il est 8h38 le 28 décembre 2024
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Ecosse 2011

Moody blues 1967

Et nous sommes le 28 décembre 2024.

Stonehenge quasi inaccessible en page de couverture,

Le parking à 12 euros environ, et vous rajoutez dix de plus pour accéder au site, sur des sentiers balisés, caillebottis en bois, les mégalithes vous toisent d'un air entendu sur le grand mystère de leur érection il y a quelques milliers d'années, pierres dont certaines ont fait plus de 700 kilomètres, exemple unique, là où les autres pierres debout ou couchées sont généralement issues de carrières toutes proches.

Les méthodes de recherche évoluent chaque jour, la prise en compte d'angles d'analyse considérées jusqu'ici comme farfelues permettra peut-être d'aboutir à des hypothèses interdites aux grilles de lecture trop pointues. Une vision globale donne le recul, je me doute que les scientifiques de toutes spécialités ne m'ont pas attendu pour croiser leurs compétences.

Il reste des mystères et c'est heureux, de rabattre le caquet de l'homme supposé moderne, de sa suffisance et de ses certitudes porteuses de vérités.

En une d'un quotidien dit "sérieux", la protection des câbles sous-marins devient une priorité. Je me suis souvent posé la question de la vulnérabilité de ces tuyaux sans lesquelles la vie d'aujourd'hui serait impossible, je dis impossible car c'est le cas tant les actes autrefois basiques et limités dans l'espace deviennent volatils et franchissent les frontières.

A méditer, cet en-tête de journal à relier avec d'autres données :

Les data-centers, lieux de transit et de stockage de nos vies numérisées et de nos transactions, consomment autant d'énergie que le transport aérien, soit 3% de l'électricité mondiale. Il en faudra des éoliennes et des centrales solaires pour produire l'accroissement prévu de ces monstres énergivores !

J'y suis, j'y reste, j'y passe dans ces assemblages  de tuyaux de refroidissement, de semi-conducteurs et autres processeurs.

Amis de la poésie, bonne journée et continuez de butiner sur internet, prenez l'avion, c'est pareil.

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