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Un dimanche à la campagne / Il est 7h00 le 12 octobre 2025

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Un dimanche à la campagne / Il est 7h00 le 12 octobre 2025
Un dimanche à la campagne / Il est 7h00 le 12 octobre 2025
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Un dimanche à la campagne / Il est 7h00 le 12 octobre 2025
Un dimanche à la campagne / Il est 7h00 le 12 octobre 2025

Partout où il y a des vaches, il y a des mouches, proverbe charolais. Ca tombe bien, j'y suis, elles viennent me dire bonjour chaque matin, le chien répond à sa manière, me regarde, et reprend sa conversation avec les bovidés qui s'éloignent dédaigneusement face à une telle goujaterie. Il est tôt, coucher et lever campagnards, pas avec les poules, ni avec le coq, il n'est pas levé celui du voisin. Les légendes d'Hollywood ne meurent jamais, un peu quand même, Diane Keaton, femme éminemment libre et rayonnante, nous a quitté hier. J'attends la suite, Monsieur Woody Allen n'est plus très jeune, ne tourne plus, faute d'argent et...d'inspiration peut-être. J'avais lu son autobiographie, plongée rafraîchissante chez les juifs de Brooklyn, les autres, ceux qui ont de l'humour, comme Philip Roth. Son contentieux avec une autre actrice, Mia Farrow, avait été évoqué dans le livre, plusieurs dizaines de pages parlaient avec calme et pondération, intelligence aussi, de l'hystérisation médiatique mélangeant tout et son contraire. Je l'imagine haussant les épaules, impuissant : que voulez-vous rajouter face à la mauvaise foi et l'exploitation éhontée du mouvement METOO. 

Woody est toujours vivant aux dernières nouvelles et comme dit le prophète :

L'éternité, c'est long, surtout vers la fin. 

L'on se construit un récit de vie, c'est une amie qui surlignait avec insistance ce qui, pour elle, me caractérisait. Pas de jugement de valeur, non, un constat sur une suite ininterrompue de changements de cap qui, vue d'ailleurs, semblait illisible mais, une fois décryptée, me rendait plus facile à appréhender. 

Petit paragraphe sur mon égo, chapitre clos, passons à un autre égo, beaucoup plus in-conséquent. Le monsieur va faire un tour au Caire, pour donner un coup de main, laissant son valet finir le travail. L'Histoire s'écrit (il le pense), il faut être sur la photo, le grand blond arrive en même temps. Ecrire avec le sang des innocents ne gêne pas ces personnages nauséabonds. Les images qui inondent les écrans en ce moment choquent même les lecteurs du Figaro, c'est vous dire. Les colonnes de réfugiés traversent des champs de ruines d'une ampleur rarement vue depuis la seconde guerre mondiale. Combien de tonnes ont-ils déversé sur ce territoire ? La reconstruction est difficile à concevoir. Certains s'y attellent, il y a de l'argent à se faire. Après la guerre en Iraq, les chantiers n'étaient pas mal non plus, le vice-président américain de l'époque, Dick Cheney avait quelques actions d'une entreprise de bâtiment, la suite est connue. 

Israël continue, il ne fait pas perdre la main, bombarde le sud-Liban... 

On me dit qu'il y a des juifs...

Il faut que je fasse attention, je parle du peuple élu, non mais.

Bonne journée

Le titre du billet évoque un film de Tavernier, 1983, nostalgique évocation familiale début de siècle (le précédent). 

Bande-son facile, images d'ailleurs. 

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La nuit au coeur de NATACHA APPANAH aux Ed Gallimard

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Le thème est récurrent aujourd'hui dans le paysage éditorial. Une enquête journalistique rehaussé d'un style littéraire de bonne facture ne fait pas un roman, ni un récit proprement dit. le besoin de l'autrice de se confier sur son vécu personnel est respectable mais était-ce nécessaire de le mettre en parallèle avec deux faits divers dramatiques ? Je ne ne suis pas sûr, après réflexion, que la démarche soit très heureuse. Elle est vivante, elles sont mortes dans d'atroces circonstances. le souci du détail, reconstitution à l'appui, met mal à l'aise, car elle, elle vient chercher ce qui lui manque à elle, peut-être, non le pourquoi, nous avons saisi que la jalousie est la mère de toutes les dérives, transforme l'individu, homme au femme, en une bête malfaisante.
Les milieux sociaux ont engendré l'acte fatal, son histoire personnelle dans un environnement culturel, son compagnon et bourreau ne pouvait, de par sa souffrance personnelle, l'intellectualisation de sa jalousie, passer à l'acte, il maîtrisait chaque jour, jouait avec sa victime. Si elle en sort, c'est une porte entr'ouverte qui le permet. Les deux autres femmes n'ont aucun échappatoire, la fuite, physique, les poursuites et le meurtre sont dans ces cas quasi inéluctables.
Nous avons dans ce livre un témoignage sur les divers manquements des instances, sur la grande solitude de ces femmes martyrisées, sur le syndrome de Stokholm, grand mystère de l'amour-répulsion, on ne sait comment l'appeler. Je souffre, je reste malgré tout, pourquoi ? Ma relation est toxique, c'est une drogue, une addiction qui focalise toute l'énergie, laissant la personne vide d'énergie et de lucidité pour une éventuelle analyse.
Là aussi, il manque la main tendue, quelques effleurements tout au plus, comme si la contagion du malheur pouvait affecter l'entourage.
Pas de conseil à donner sur la lecture, curieusement sélectionné pour le Goncourt.

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Apartheid politicien / Il est 8h11 le 10 octobre 2025

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Apartheid politicien / Il est 8h11 le 10 octobre 2025
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Apartheid politicien / Il est 8h11 le 10 octobre 2025

Le début de la fin de la douleur pour les familles des otages ( celles et ceux qui restent) et, si on ose, le début de la fin des bombardements sur les populations civiles, des enfants qui meurent et je peux continuer la litanie des souffrances. Mais la la douleur des familles des otages passe en premier, c'est normal. Ca l'est pour les médias, l'individualisation du malheur est plus simple à montrer que la "masse de victimes", chiffres imprécis, soumis au doute parce que le Hamas, encore lui, donne ces nombres ahurissants, donc, la crédibilité, quelques milliers de morts, à quelques unités près, quelle importance ! La martyrologie demande une précison dans la démarche de mise en avant, nulle mise en scène, non, juste donner un visage, de la mère, de la fille, du père ou du frère, de celui qui est mort, de celle qui pleure, qui espère. Les foules qui marchent dans la poussière au milieu des ruines ne génèrent rien d'autre que la sidération, l'impuissance, la compassion est difficile à cibler envers des miséreux, il faut un nom, identifier la victime, un visage sur un écran de télévision vous parle à vous directement, une silhouette parmi d'autres dans un cortège, peut-être une image de synthèse, qui sait, avec l'IA, celle-là est noyée dans la foule.  Monstrueuse affirmation lue ici et là, sur l'exagération du nombre de morts et de blessés. 

Nous n'avons pas fini de voir et d'entendre ce doute. Je rappelle que les journalistes étaient interdits de séjour à Gaza, ce qui autorise toutes les remises en question. Peu se disent qu'une armée qui interdit les images a forcément quelque chose à cacher, et autorise ainsi toutes les interprétations. 

L'Histoire est toujours écrite par les vainqueurs. 

Dans notre microcosme national, un autre premier ministre sera nommé, aujourd'hui semble-t-il, des accords entre droite et extrême-droite se profilent, peut-être entre Macron, droite et...extrême-droite, encore un effort, monsieur le président, vous y êtes presque. 

Qui gouverne en ce moment, qui est responsable ? 

Les hauts fonctionnaires des ministères ne doivent pas chômer !

Les petits partis sont invités au palais. Dépêchez-vous d'y aller, bientôt, ce sera terminé pour vous. Curieuse conception que la séparation entre les "gentils" et les "méchants". 

Chacun appréciera la place qui lui est réservé, une sorte d'apartheid politicien, si j'ose employer ce mot lourd de sens, le lendemain de la Panthéonisation de Robert Badinter, qui appréciera les distinguos. 

Pathétique ou pitoyable que ces allers-retours entre gens de bonne compagnie..

A bientôt pour la suite. 

Bonne journée

Tug of war signifie " tir à la corde ", jeu en vogue dans nos kermesses, sir Paul en a fait une chanson, l'inspiration parfois...

Images en vrac, trois continents.

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La chronique des subalternes / il est 8h17 le 9 octobre 2025

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La chronique des subalternes / il est 8h17 le 9 octobre 2025
La chronique des subalternes / il est 8h17 le 9 octobre 2025
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La chronique des subalternes / il est 8h17 le 9 octobre 2025
La chronique des subalternes / il est 8h17 le 9 octobre 2025
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La chronique des subalternes / il est 8h17 le 9 octobre 2025
La chronique des subalternes / il est 8h17 le 9 octobre 2025

Je ne dirai pas que le prix Nobel de la paix est le summum de la sagesse faite homme mais il a consacré quelques personnes ou organisations méritantes. J'emploie ce mot car c'est un prix, une récompense et l'on doit avoir eu un quelconque mérite, un esprit ayant participé de cette notion de justice par delà les intérêts divergents, les conflits ou les sujets de contentieux qui jonchent le pavé de nos mondes inachevés. Il y eut des erreurs, des controverses, c'est normal, la paix fâche les belliqueux, les forts en gueule et les autres qui jugent que la force est la seule manière d'avoir raison. 

Je lis qu'un "faiseur de paix" est né, un ange tombé du ciel, blonde représentation d'une parole apaisante, laissant les armes de côté...

C'est raté, les bombes continuent de pleuvoir sur Gaza, l'accord est un chiffon de papier, un torchon dont Israël n'a que faire. Curieusement, naïvement, nous pensions que cette fois était la bonne, le bateleur de la Maison Blanche a failli nous berner. Que nenni, c'est du flan, de l'esbrouffe, comme d'habitude et il ose se pavaner, réclamant un prix dont il ne connaît pas le sens ! 

Etre de la même sous-espèce que cette engeance me fait honte, vraiment, et quand je regarde mon chien, je me dis que lui au moins, ne ment pas. 

" Il y a plus d'humanité dans l'oeil de mon chien quand il remue la queue que dans celui de Le Pen quand il remue la sienne". dixit Desproges, on peut changer de figurine et mettre qui vous voulez à la place, vous avez l'embarras du choix !

Pas de dissolution chez nous, la fête continue, pourquoi se gêner ? L'élection présidentielle est dans 18 mois. Il compte nous emmerder longtemps "le prince qui a le melon", on t'a dit de partir, même tes potes te le disent. Il va choisir un autre gugusse, avec d'autres ministres, les mêmes ? Et une censure, un vote de défiance, quelques combines, des consultations, rien que le mot me fait sourire. 

Ils se consultent entre eux, ils s'auscultent sans doute, le mot serait plus juste, l'épidémie se propage, la lâcheté, l'indignité et ce qui va avec. 

Mr Robert Badinter rentre au Panthéon ce jour, avec le prince comme intronisateur, mot inventé pour l'occasion. Entre les deux, il y a comme un fossé, un gouffre de valeurs d'où le ton un brin sentencieux que le Rastignac ne manquera pas d'utiliser. 

La tâche sur le tableau, Badinter méritait mieux. 

Nous sommes dans le même décalage que celui situé précédemment, des symboles peuvent être salis, seuls restent ceux qui les incarnent, les autres seront dissous dans la chronique des subalternes. 

Bonne journée

Une chanson fétiche comme bande-son ce matin et un bon moment maritime en 2016, bol d'air venant du large. 

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Pas plus, ni moins / Il est 7h20 le 8 octobre 2025

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Pas plus, ni moins / Il est 7h20 le 8 octobre 2025
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Pas plus, ni moins / Il est 7h20 le 8 octobre 2025
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Pas plus, ni moins / Il est 7h20 le 8 octobre 2025
Pas plus, ni moins / Il est 7h20 le 8 octobre 2025

Chaque jour à la campagne laisse du temps à l'appréciation. Pas de course inutile, ni d'effervescence artificielle, le soleil se lève peu après sept heures, se couche peu avant huit heures (vingt heures), ce qui laisse une grosse douzaine d'heures de clarté, de douceur automnale, sauf là où les derniers rayons du soleil peinent, la saison fait sentir son calendrier. Hier, 7 octobre, comme prévu, nous eûmes droit à l'anniversaire de l'attaque du Hamas, toutes chaînes et journaux confondus, comme si Israël découvrait qu'ils avaient un ennemi, créé de toutes pièces par leur omnipotente présence, leur agressivité permanente et leur morgue séculaire. Nous sommes les victimes, n'oubliez pas, nous avons de tous temps sous le joug des pouvoirs totalitaires, le summum fut atteint par la volonté d'extermination de notre peuple, nous avons un statut à part, ne l'oubliez pas. Le racisme est le mot qui désigne le rejet, la violence de tous ceux qui n'ont pas la même couleur de peau. Il y a un mot spécial pour les juifs, c'est l'antisémistisme, qui signifie la même chose, le rejet et la violence, mais rien que pour eux, histoire de faire le distinguo entre eux et les autres ostracisés de la planète. Je ne vois pas trop la différence, l'esclavage fut une apogée dans le rejet de l'autre, l'être considéré comme une marchandise. En quoi "l'antisémitisme" est-il différent dans l'expression de l'oppression d'êtres humains par d'autres êtres humains, pour des faits de religion, de moeurs, . Le racisme anti-juif a-t-il une portée si grande, supérieure aux autres, qu'ils puissent autoriser ceux-ci à justifier leurs actes par l'appartenance à un peuple qui a souffert ? 

Je ne suis pas raciste, je n'ai pas à rajouter antisémite non plus, cela va de soi. 

Par contre, qualifier le comportement israélien d'aujourd'hui de "non-humain", d'a-moral, de chantage compassionnel insupportable ne me rend pas raciste anti-juif. Ces gens seraient jaunes, rouges ou bleus que ce serait la même réaction. 

Il y eut plus de 1200 victimes le 7 octobre 2023, il y a eu plus de cinquante fois ce chiffre depuis, morts de vengeance et il est bon de préciser, une fois de plus, que rien n'a commencé ce jour-là, que l'humiliation permanente d'un peuple, l'instrumentalisation de cette souffrance a enfanté ce massacre, Le terrorisme est en train de changer de camp, il est juste le fait d'un état ivre de sa propre puissance, faite de haine et de fanatisme religieux. 

Le traitement médiatique de cet anniversaire fut comme prévu très orienté, rien ne change. 

Bonne journée

Chopin et l'Ouest américain n'ont aucun rapport avec ce que j'ai pu écrire, histoire d'établir des passerelles improbables. 

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L'autruche / Il est 7h43 le 7 octobre 2025

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L'autruche / Il est 7h43 le 7 octobre 2025
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L'autruche / Il est 7h43 le 7 octobre 2025
L'autruche / Il est 7h43 le 7 octobre 2025
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L'autruche / Il est 7h43 le 7 octobre 2025
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L'autruche / Il est 7h43 le 7 octobre 2025
L'autruche / Il est 7h43 le 7 octobre 2025

Ô temps, suspends ton vol, devise du jour dans le paysage politique français. 48 heures pour tenter d'amadouer les chefs de parti, on se demande pour faire quoi. Il semblerait que le président ne peut plus se déguiser en autruche et faire semblant de regarder ailleurs, de faire le beau dans les réunions internationales. La crédibilité à l'extérieur dépend beaucoup de la capacité d'un gouvernant à piloter sa propre boutique. Nous atteignons les limites du genre. Remettre le couvert dans une dissolution hasardeuse dont personne ne sait ce qu'elle peut donner. Les analyses sont très divergentes à ce sujet. Les casseroles du RN font désordre dans l'image qu'il veut donner de probité. Il devient un parti comme les autres, avec en plus, des votes en assemblée... de droite, guère préoccupé du sort des français. Les discours outranciers entretenus par certains médias, la haine propagée sur les réseaux sociaux ne font pas une élection. La tentation d'essayer le RN parce que c'est le seul à n'avoir pas encore gouverné peut prendre chez certains esprits faibles, mais il me semble que c'est insuffisant pour qu'un raz de marée envahisse l'Assemblée nationale. 

Quant à la gauche, que dire, sinon de désespérer y compris ses partisans les plus fervents. Un puzzle qui cette fois ne concluera aucun accord électoral, le front anti-LFI du PS et des Ecologistes pourrait se mordre les doigts de se tromper d'ennemi. Le jusqu'au boutisme de Mélenchon est à la mesure des évènements dans le sens où la situation politique est bloquée par un président qui s'obstine à n'écouter personne. La volonté de discuter avec un pouvoir en fin de règne n'a aucun sens, l'Histoire nous a montré que c'est stérile. Macron n'a rien à proposer jusqu'à la fin de son mandat actuel, il le sait, pourquoi gouverner avec lui ? Pour quelle politique ? Un premier ministre de "gauche" ne tiendrait pas plus longtemps que le dernier, et avec quelles personnalités au gouvernement ? 

Il faut de nouvelles élections, spirale infernale, coup de dés, appelons-les comme bon vous semble où, comme en Belgique, la chaise vide sans gouvernance autre que celles des affaires courantes. 

Des élu(e)s travaillent en ce moment-même, à d'autres échelons, locaux, régionaux, les petites mains de la vie démocratiques utilisent leurs compétences, loin des ors parisiens. Il convient de s'en souvenir, le pays continue de tourner, affligé par l'incompétence et la lâcheté politique de ses représentants nationaux. 

J'ai passé l'âge de m'enflammer et nous sommes loin des errements américains, celles et ceux qui jouent avec le feu, dans les médias notamment, inspirés par les mouvements nationalistes divers, seraient bien avisés de regarder le résultat d'un trop plein d'intolérance, y compris pour eux-mêmes. 

Votons. 

P.S / Deux ans après l'attaque du Hamas, 1200 victimes ce jour-là et quelques otages. Les date-anniversaires échauffent les esprits. Plusieurs dizaines de milliers de morts plus tard, pas d'anniversaire pour ceux-là, car avant c'était déjà l'enfer et demain, ce sera toujours pareil. Israël a armé le Hamas, nous le savons tous aujourd'hui pour justifier une politique jusqu'au boutiste et fanatique. La suite ne me paraît pas très claire. 

La bande-son est d'une grande douceur.

Les images nous parlent de la vie des animaux, loin des êtres humains...

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Chassé-croisé / Il est 8h06 le 6 octobre 2025

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Chassé-croisé / Il est 8h06 le 6 octobre 2025
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Chassé-croisé / Il est 8h06 le 6 octobre 2025

Le non-évènement a eu lieu : un gouvernement a été formé par le dernier premier (notez l'oxymore) ministre, le côté biblique, renforcé par un Judas de l'intérieur, dont on se demande ce qu'il peut bien faire là. Ce type ne représente rien, qu'un groupuscule en fin de vie, sinistre farce, pas content de rester là où il est, eh bien, mon gars, comme disait ton pote le truand : "Casse-toi, pov'con ! " 

On prend les mêmes et on continue. Je me dis qu'ils doivent être lucides un peu, de temps en temps, entre deux fumettes. C'est un peu celui qui achète une maison, se marie, revend la maison et répudie son épouse, puis change d'avis, prend une maîtresse, puis deux, se ravise, achète un chien, divorce de son chien, rachète la maison, et se retrouve à parler tout seul dans son jardin, en pyjama à rayures, à deux heures du matin, le chien à ses pieds qui hurle devant la déchéance de son maître. L'ambulance arrive, appelé par les voisins, fatigués de tant de remue-ménage : "Ca va aller, Mr Retailleau, ça va aller, allez, Marcel, tu lui fais sa piqûre, qu'on en finisse..." On ne le tue pas, bien sûr, nous ne sommes pas des sauvages, on le neutralise, il y a des établissements pour ce genre de cas, désespérés. Nous avions prévenu la famille mais un instant d'inattention et voilà le résultat, il est revenu là où il ne voulait plus être, une forme de schizophrénie paranoïde, qui veut être là et ailleurs, avec une fixation sur les gens foncés, un traumatisme dans l'enfance sans doute. 

Il y en a de plus en plus de ces personnes qui aimeraient être ailleurs tout en restant là où ils sont, une distorsion de la personnalité liée au changement climatique, comme l'autre, le perruqué à la caquette rouge, susceptible, une vraie teigne. On n'a pas réussi à lui faire sa piqûre, avec son copain, celui qui a un calot sur la tête les jours de fête. Les deux ensemble, on y travaille...

Non, mais, je rigole, mais ils sont graves, l'ancien ministre de l'économie revient...à l'armée, là où se trouvait le dernier premier (sic), un espoir, le prochain sera celui-ci, qui en rêve le matin en se rasant, comme Joe Dalton. 

Et pendant ce temps, certains se lèvent le matin pour travailler, d'autres non, comme moi, la force de l'habitude instaure sa dictature sur un métabolisme fataliste : A quoi bon ? 

En effet, à quoi bon, si ça les amuse.

" Dis Marcel, on a qui aujourd'hui ? 

- Je regarde, Glucksmann... Il manque de tonus, un cocktail à lui injecter.

- C'est parti... "

Bonne journée

Une bande-son qui nous délivrerait de ces clowns. Et quelques images en vrac.

 

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De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025

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De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025
De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025
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De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025
De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025
De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025
De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025
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De l'air ! / il est 8h28 le 5 octobre 2025
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La presse internationale n'est pas tendre avec le président français condamné. Dans ce cas, on ne peut décemment pas soupçonner les journalistes de collusion ou d'intérêts particuliers. Même la presse conservatrice s'y met (Daily telegraph) et d'autres supports, espagnols, allemands ou canadiens, voire américains n'ont pas de mots assez durs sur l'ex-président. Le personnage n'a que peu d'intérêt, ce qui frappe, c'est que ce résultat (une condamnation ferme) puisse surprendre dans un pays où la classe politique n'a toujours pas compris que leur pouvoir ne leur donnait pas le droit de passer outre les lois, celles-là même qu'ils votent. La fonction présidentielle s'en trouve salie, le pays et sa représentation suspectés des pires avanies, entraînant une perte de crédibilité de l'Etat français. Nous ne sommes pas seuls dans ce cas mais comme le dit la presse d'ailleurs, nous donnons facilement des leçons alors il serait bon de balayer devant notre porte et de nettoyer les écuries. Il ira en taule, le petit nerveux, ça le calmera peut-être. Une autre, du même bord, attend son heure, elle qui vilipendait les voyous, à mettre en prison en comparution immédiate, ne trouve pas juste qu'elle doive rendre des comptes. 

Dans ce cas, la culpabilité est établie, à savoir si les juges tiendront face à une charge, très choquante là aussi pour nos voisins, dans le pays qui à donner naissance au concept de séparation des pouvoirs. Montesquieu, comme Voltaire, doivent se retourner dans leurs tombes. Pour une fois, la justice semble être aveugle, la suite à venir. 

Toujours pas de gouvernement, tout le monde s'en fout apparemment. J'emploie ce verbe tant il semble que la préoccupation est dans l'attribution des sièges du bureau de l'Assemblée, qui ne sera sans doute plus la même d'ici peu, c'est possible. Les multiples arguties constitutionnelles finissent par lasser, tripatouillages divers d'une assemblée qui risque de voter une censure d'un gouvernement non encore formé. 

La question est :

Y a-t-il un pilote dans l'avion ? 

Le budget tant décrié du premier ministre d'avant ne semble pas devoir changer de cap, ce qui revient à ...se faire censurer de nouveau, je me répète mais qui gouverne ? Et pour faire quoi ? 

Ce sont les Belges qui détiennent le record d'un pays sans gouvernance, ce qui plonge tout citoyen dans un abime de perplexité sur l'utilité de certains personnages. Le coût importe peu mais au moins, essayez d'être cohérent, messieurs-dames. 

Une bonne dissolution ou la démission du prince nous donnerait de l'air...

Bonne journée

Bande-son d'un duo magnifique en visionnant quelques images d'Italie et d'ailleur

 

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Espoir / Il est 8h23 le 4 octobre 2025

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Ballade simple et rafraîchissante, comme souvent chez Sir Paul, en un jour d'espoir pour quelques personnes en souffrance extrême. Ne soyons pas angélique, rien n'est fait, et la route est semée d'embûches, la haine est féroce, la mauvaise foi omniprésente et les calculs cyniques toujours cachés derrière une façade dégoulinante de bons sentiments. 

Les images de Cuba prises en 2011 restent d'étranges témoignages d'une actualité qui n'a guère changé depuis. L'envoi prochain d'une armée internationale en Haïti, non loin, après des tergiversations interminables, pourrissement et non-dits ne changera guère le quotidien, comme si la force, nécessaire, était suffisante pour pallier et éliminer les gangs qui ont pris le pouvoir. Cuba en 1959 était aux mains de la mafia américaine, seule une conscience collective et son relais politique et armée ont pu mettre au pas et expulser les truands. 

La fameuse "résilience", mot à double tranchant, n'habite sans doute plus les habitants de Port au Prince, après de multiples trahisons, seule l'instinct de conservation parle. Pour une conscience collective, il faut une énergie que n'ont plus ces gens. 

Nous verrons si l'actualité s'intéresse à l'avenir à ce bout d'île. L'Amérique est tout près, pour le meilleur et pour le pire et il est à craindre que la perruque blonde ne vienne prodiguer ses bons conseils. 

Toujours pas de nouveau gouvernement chez nous, Macron se promène à l'étranger, il serait bien que quelqu'un lui rappelle qu'il a un pays à gouverner, et que personne ne l'attend ailleurs, même si lui est persuadé du contraire. 

Allez, bonne journée avec la ritournelle ...

Hope of deliverance

 

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Saturation / Il est 6h50 le 3 octobre 2025

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L'arraisonnement prévue a eu lieu sans miracle attendu dont on se demande qui a bien pu croire que les navires militaires espagnols et italiens allaient tenter quoi que ce soit pour empêcher Israël de faire ce qu'ils font de mieux, à savoir s'asseoir sur le droit international qui, de jour en jour, perd toute consistance. Le plus dramatique est la prévisibilité de cette actualité. Le président français ne s'est même pas fendu d'un seul mot sur le sujet, la carpette qui lui sert de ministre des affaires étrangères approuve d'un bref communiqué la mise en sécurité des participants à cette odyssée. Au large du Vénézuela, les Américains ont détruit deux bateaux soupçonnés de transporter de la drogue, sans injonction ni preuves formelles. Des manoeuvres de grande ampleur non loin laissent augurer de fâcheuses réminiscences, Panama ou Grenade pour mémoire. Il s'agit là du Vénézuela, qui possède des réserves d'hydrocarbures parmi les plus importantes (2 ou 3) de la planète. Je reviens sur le rôle de l'ONU dont il serait temps de s'occuper, littéralement bafoué par Trump et sa clique. Symboliquement, il faudrait tranférer le siège de l'organisation ailleurs, cela a déjà été fait, montrer que les USA ne sont pas seuls maîtres à bord.

Je sens comme une lassitude face à une telle demande. 

Les élections américaines ont lieu dans un an (mid-term), souhaitons que celles-ci se déroulent dans des conditions normales. Le déni de droit dans la politique anti-migrants de ce pays est peut-être le signe que les fondamentaux se lézardent, rien n'est impossible. 

Chez nous, toujours pas de gouvernement, une dissolution est dans l'air, je doute fort mais là aussi, les règles élémentaires ont été bafouées depuis longtemps, nous ne pouvons deviner ce que le Rastignac de l'Elysée a dans la tête. 

Manifestations hier, rien vu dans ma campagne, les fourches ne se sont pas levées contre le pouvoir en place. 

Je lis que le livre d'Emmanuel Carrère, Kolkhoze, est sélectionné pour le prix de l'Académie française, ce que je ne trouve pas très malin, eu égard à ce qui nous est conté dans ce récit. 

Poutine menace, rien n'est impossible. Il ne devait pas tenter d'envahir l'Ukraine, il l'a fait, que peut-il ne pas envisager ? 

Nous vivons une époque formidable...

Bonne journée

Zazie pour les paroles et je sature par images interposées, New-York en 2012

 

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