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Soleil couchant / Il est 10h10 le 24juin 2024

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Soleil couchant / Il est 10h10 le 24juin 2024
Soleil couchant / Il est 10h10 le 24juin 2024
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Soleil couchant / Il est 10h10 le 24juin 2024

Les couchers de soleil vus du terrain de camping : vous ouvrez la porte qui mène au sentier de bord de mer et vous avez le spectacle pour vous seul. Ensuite, le choix de l'image à garder devient un casse-tête et je ne n'ai plus envie de me la prendre (la tête), donc voici la série presque complète. Je ne l'ai fait qu'une fois, les soirs suivants, la météo était moins arrangeante.

Les nuances existent, les filtres sont peu nombreux, juste une variation sur la contraste, la luminosité ou l'atténuation des ombres.

La symbolique serait tentante en ces jours d'élection mais non, les discours entendus sont à cent lieux des enjeux, comme si une échéance comme celle-là était ordinaire.

Le soleil se couche sur la démocratie, paré de tout le flamboiement dont il est capable.

La nuit va tomber, nous sommes à la pointe Ouest de la Bretagne, l'océan engloutira bientôt l'astre céleste.

Demain, une expo d'un maître photographe, Henri Cartier-Bresson, quelques clichés choisis. Prendre en photo une image a quelque chose d'absurde, l'interprétation n'en est que plus confuse.

Nous verrons demain.

La bande-son a plusieurs années, plus que jamais d'actualité, totalement absente d'une campagne électorale totalement schizophrénique !

Sur quelle planète vivent ces politiques, eux et leur petite cuisine électorale ?

Bonne journée

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Somnanbules / Il est 7h47 le 19 juin 2024

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Somnanbules / Il est 7h47 le 19 juin 2024
Somnanbules / Il est 7h47 le 19 juin 2024
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Somnanbules / Il est 7h47 le 19 juin 2024
Somnanbules / Il est 7h47 le 19 juin 2024

Pas grand chose à raconter ce matin.

La campagne électorale bat son plein avec tous les scénarios possibles.

Comme les promesses faites n'engagent que ceux qui les écoutent, il peut être intéressant de couper le son, de regarder un bon film, un de ceux que l'on se promettait de regarder depuis longtemps, ou de jeter un oeil sur une compétition de football, à raison de trois matchs par jour.

Ou de lire le journal, de voir chaque jour que le sieur Bardella revient sur les promesses inscrites dans le programme du RN, pour des raisons non précisées, avec des formules apprises avec son coach. Et des commentateurs de souligner que d'autres mesures sont juste impossibles à mettre en place, pour des raisons techniques.

Du vent, de l’esbroufe, et de l'incompétence à revendre, c'est impressionnant de constater l'hypnose collective mise en place.

On a envie de claquer du doigt et de réveiller les somnambules que sont devenus les électeurs(rices).

La gauche ne se déchire pas trop, l'équipe à Macron a peur et y va à reculons, la droite classique est en sursis, dissoute en une lente agonie.

Le personnel politique ne donne pas envie que l'on se déplace et pourtant, il le faut, il faut voter.

Avec les somnambules, le problème est qu'il ne faut pas les réveiller, c'est dangereux, donc, laissez-les se réveiller naturellement. La gueule de bois révèle des lendemains compliqués. 

Les autres, bougez-vous, votez !

En bande-son, un extrait du concert vu samedi soir à Lyon, Rammstein, découverte pour moi d'un spectacle hors- norme, que je n'aurais pas vu si l'on ne m'y avait pas entraîné.

Merci.

Images de Londres de 2019

 

 

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Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024

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Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024
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Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024
Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024
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Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024
Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024
Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024
Sans titre / Il est 9h19 le 15 juin 2024

Pas de politique sur ce blog bien que je serais tenté, en lisant la presse ce matin.

Les candidatures sont actées pour les législatives et je vois un candidat pour la gauche, celui condamné pour violences conjugales et j'entends la non-investiture de deux députés insoumis de Seine-Saint-Denis, de ceux qui font le boulot, mais en désaccord avec le chef. C'est mal barré, une fois de plus.

Quelques milliers de voix supplémentaires pour ceux d'en face par simple sujétion à sa majesté. Et il se voit déjà (lui aussi) premier ministre !

Je suis très agacé par cette appropriation de la lutte.

Cela me navre mais je relativise. Vieillir n'est pas une sinécure, à fortiori quand on a battu l'estrade toute sa vie et que l'on doit quitter la scène. La suite s 'écrira sans lui, ce serait sympa s'il s'effaçait sans éclat.

Ce n'est pas gagné.

La couverture nous montre l'état de la gauche aujourd'hui.

Un classique en bande-son.

Et la mer pour changer...

Bonne journée

 

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La langue des choses cachées de CECILE COULON aux Ed L'iconoclaste

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Avis paru dans BABELIO

Je ne sais par quoi commencer, quel avis donner sur ce texte. J'y ai vu une métaphore quasi politique, sociétale pour être plus juste.
Le conte quasi fantastique n'est pas très clair. Ceci dit, mon interprétation est dans un registre dans lequel des êtres supérieurs comprennent la marche du monde et guérisse les maux de ceux "d'en bas", sous-entendu, le peuple ignorant et bestial. Un prêtre nous donne la clé, guide quotidien d'âmes perdues vivant dans la fange et le stupre. Les pouvoirs surnaturels de la mère et du fils ont été acquis de manière peu charitables, dans une vie antérieure dont nous ne saurons rien. L’ambiguïté de ces guérisseurs est totale. Leurs facultés dépendent de celles et de ceux dont ils ont la charge. Ils ne tirent leur puissance que de l'état pitoyable d'êtres tirés d'un conte moyenâgeux, serviles et dégénérés.
Le pouvoir est transmis de la mère à son fils, dont on ne sait d'où vient cette transmission. Avant, la mère fréquentait des guerriers dont on soupçonne la cruauté.
Ceci paraît confus.
Avec le recul, il manque quelques développements et nous restons sur notre faim, sur le devenir de tous ces personnages.
La puissance d'évocation est réelle, les images sont fortes, succession d'eaux fortes à la Gustave Moreau.
Frustrant.

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Ado-Vidéo-bobo(aïe) / il est 8h48 le 12 juin 2024

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Ado-Vidéo-bobo(aïe) / il est 8h48 le 12 juin 2024
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Ado-Vidéo-bobo(aïe) / il est 8h48 le 12 juin 2024
Ado-Vidéo-bobo(aïe) / il est 8h48 le 12 juin 2024

Un hommage à une chanteuse qui vient de nous quitter.

J'ai toujours du mal à écouter cette chanson, souvenir d'une période dont je n'ai sans doute pas su apprécier la juste valeur, mille excuses à la personne concernée.

Passons à autre chose, les temps sont troublés par des comportements électoraux erratiques. Il est temps de retrouver la raison et tourner la page, fermer la porte, que dis-je, changer tout.

La société a un fonctionnement complexe, un peu trop il me semble pour confier les clés à des incapables notoires. Une fois que nous énonçons cela, nous n'avons guère avancé.

Les analystes politiques font tous le même constat : l'irresponsable a surréagi, sans mesurer les conséquences en cascade que ce genre de décision unilatérale peut provoquer.

Mettre un post-ado à Matignon, tout juste sorti des jeux vidéo, qui ânonne des discours écrits par d'autres, droit derrière la blonde lors des interventions télévisées. Cette image m'a frappé, droit comme un I, inexpressif comme seuls sont ceux qui attendent qu'on leur dise où ils doivent aller.

Derrière la façade, nous verrons ce que leurs candidats aurons à dire. C'est un des paris fous, que la piétaille bas du front décrédibilise et montre l'intérieur de la bête.

Aucune illusion à avoir, la dynamique est de ce côté mais peut-être devons-nous espérer qu'à gauche, les querelles d'égo d'une armée mexicaine n’éteignent pas la faible lueur d'espoir que l'on entrevoit après la signature d'un accord électoral. A chaque circonscription correspond une querelle pour le droit à représenter une mosaïque d'organisations qui par ailleurs se haïssent cordialement.

Nous verrons ce qu'il en est, le pire est toujours prévisible, il est souvent dépassé.

Nous y sommes

Plein d'images italiennes, histoire de noyer la médiocrité sous un flot de splendeurs immuables.

Images prises en 2017

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Dystopie ? / Il est 8h42 le 11 juin 2024

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Dystopie ? / Il est 8h42 le 11 juin 2024
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Dystopie ? / Il est 8h42 le 11 juin 2024

Un âne dans le brouillard symbolise assez bien le peuple de France cette semaine. C'est gentil un âne, têtu mais si on lui donne une carotte, il avance. 

Le premier ministre a disparu. C'est ce que je lis sur la première page du Monde de ce matin.

Jordan Bardella n'a pas fait d'études supérieures et n'a jamais travaillé en entreprise, juste un homme d'appareil. Pour celles et ceux qui pensent qu'il faut un peu d'expérience, qui éructent contre les fainéants profiteurs du système, en voilà un qui sait s'y prendre. C'est vous qui voyez. 

Hier soir, il y a eu un accord à gauche. La question est de savoir combien de temps ça va durer... Ils ont trois semaines pour rester calme, pour ne pas distiller de petites phrases dévastatrices. 

Je regarde une émission sur ARTE hier en fin de journée avec pour thème l'élection et la dissolution. Le sort de la gauche est réglé en deux images, une de R.Glucksmann s'étonnant de la dissolution et une autre de JL Mélenchon disant le contraire, avec un extrait, hors contexte de sa réaction face à ladite dissolution. 

Circulez, la gauche n'existe pas. 

Le traitement des médias généralistes sera pire encore, même si aucun cadeau n'est fait au sieur Macron. Les spécialistes sont désarçonnés, cherchent le calcul politique là où il faudrait essayer de comprendre le pourquoi de ce vote. Seule Natacha POLONY, directrice de Marianne, semble réaliser qu'elle n'aurait jamais dû venir là, essayant de recentrer le débat sur ces causes de ce vote, et non sur les magouilles cyniques d'un président aux abois. 

Décidément, le traitement à chaud de l'info est révélateur d'une forme d'impossibilité organique de prendre un minimum de recul face aux évènements. Les conversations que l'on peut avoir aboutissent à des haussements d'épaules ou à des manifs contre le RN, contre quoi au juste ?

Les gens ont voté, ce n'est pas un coup d'état, nous ne sommes pas au Chili en 1973, je pense qu'il y aurait moins de monde. 

Je ne suis pas content, je défile contre celles et ceux qui ne votent pas comme il faut. Montrer qu'on existe quand on est minoritaire est stérile et pathétique ou alors, prenez les armes (c'est une image). Un entre soi que la gauche pratique depuis plusieurs décennies déjà, il y a longtemps que le peuple, celui qui va chez LIDL est plus préoccupé par le prix des pâtes que par le dernier prix Goncourt. 

Les grandes villes, avec les CSP +, votent encore à gauche, les petites villes et les villages votent RN.

Et forcément, les pauvres sont plus nombreux que les riches. 

Ce n'est pas si simple, bien sûr, mais c'est une des multiples causes de ce désastre collectif. 

Bonne journée

Bises

Un tableau de CARAVAGE en couverture me va bien et la bande-son de BLADE RUNNER distille son angoisse sur des décors de mégapole du futur. Regardez la vidéo, décors datant de 1982.

 

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Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024

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Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024
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Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024
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Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024
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Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024
Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024
Les loups / Il est 8h06 le 10 Juin 2024

La chanson de Reggiani est d'actualité.

Filer la métaphore ne résoudra rien. Elle sera comprise par celles et ceux qui ne sont en rien responsables de la honte qui se répète à intervalles réguliers dans le pays des droits de l'homme.

J'ai regardé une finale de tennis hier après-midi, je pourrais y trouver de quoi alimenter une chronique. Le sport est une activité qui génère des envolées lyriques, des écrivains en avaient fait un dérivatif.

Un match de football se déroulait hier soir, amical. Le résultat fut nul, comme le match, pantomine de gamins jouant à la baballe, 22 types qui courent après un ballon, tirent aux buts sans conviction, histoire de se débarrasser de la patate chaude. Je commence à y voir une image de la future fuite de responsabilités dans ce qui va nous tomber dessus en début d'été.

La plage était ensoleillée, le vent un peu frais. Les enfants jouent dans le sable, nous devisons sur le temps qui passe. Un ami vient se ressourcer sur la côte bretonne, il respire le grand air.

Je lis "La langue des choses cachées", terrifiante métaphore, concentré de ce que nous sommes capables de faire. La littérature illustre à merveille, enjolive des actes par ailleurs totalement insupportables. L'esthétique des mots codifie l'horreur, la distancie. Nous pouvons toucher du doigt l'indicible sans nous salir les mains, l'âme peut-être en souffrira-t-elle ?

A cet instant, nul ne sait si les loups s'installeront de nouveau dans Paris, ils y campent de temps à autre.

Bonne semaine à toutes et à tous.

Bises

Les images montrent un monde disparu, musée improbable jonché d'objets hétéroclites et obsolètes.

Ceci est une autre métaphore sur la fragilité de ce qui nous entoure, tout comme la couverture avec deux électeurs allant voter.

 

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La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024

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La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
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La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
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La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024
La maison / Il est 10h15 le 9 juin 2024

Une maison à la campagne, je sais ce que c'est.

Un appartement en ville aussi.

Une maison en ville, non et un appartement à la campagne  encore moins.

Le lotissement, c'est un peu le mélange de tout ça, le beurre et l'argent du beurre. L'illusion de posséder un chez soi, un "sam'suffit" comme on disait, avec l'odeur du barbecue du voisin les jours de fête et de grand vent et la nécessité de prendre la voiture pour aller faire ses courses, sachant que le plus proche commerce se trouve dans le centre commercial à trois kilomètres.

Tous les inconvénients de la ville et de la campagne réunis dans le même instinct de propriété ont prospéré à mon grand étonnement. Le temps venant, les parcelles se sont réduites, on appelle ça la "densification". De 7/800 m2, nous sommes passés à 3/400, y compris dans les communes rurales. Un comble de proposer ce genre de mouchoir de poche dans un lieu où la place ne manque pas, a priori, où les commerces ont disparu. On vous propose une densité digne d'une ville, un désert commercial et de services. Le seul avantage est le prix.

Un thème ce matin sur l'espace de vie qui nous est alloué.

Je souhaitais habiter dans l'hyper-centre historique d'une grande ville, je l'ai fait. Y acheter un bien est hors de portée de la majorité, j'y louais un appartement. Tout à portée de main et de pied et un cadre historique plaisant.

J'habite aujourd'hui un appartement dans un immeuble fonctionnel, confortable, non loin d'un centre ville, d'une petite cité.

Je le vends car l'espace me manque, et le cadre historique actuel est pour le moins absent.

Petit texte sur les aléas de nos insatisfactions et compromis.

La bande-son date d'une époque un tantinet rêveuse et les images datent de 2022, lors d'une promenade quelque part en France

 

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Déterminisme / Il est 7h49 le 8 Juin 2024

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Déterminisme / Il est 7h49 le 8 Juin 2024

Deux promenades en bord de mer par beau temps, est-ce possible ? A Port-Morvan, joli plage et à Saint-Quay Portrieux, joli station balnéaire.

Il suffit d'être patient, la Bretagne n'est pas une terre de gens pressés.

Cinq jours de régime alimentaire sec pour cause d'examen médical me rappellent d'autres moments plus désagréables encore. C'est pour la bonne cause, je l'espère.

Dans le registre de l'attente, il semblerait que mon appartement n'attire pas les foules. Si vous avez une envie de bord de mer, un logement spacieux et pas cher, c'est ici, vous pouvez me joindre via le blog.

Je dis ça car j'ai trouvé (à confirmer) une jolie maison pas chère à la campagne.

Le tennis se termine bientôt, demain, on plie les filets, on bâche les courts et on regarde ailleurs.

Le "je" est un autre continue sa marche solitaire. Il a été imprudent, il a parlé trop fort, on l'a puni.

Je parle de ma nouvelle prose.

A suivre.

Autre lecture :

" La langue des choses cachées" me semble particulièrement redoutable.

J'en reparle après lecture assidue.

Dans ce blog pacifique et serein, je visualise un autre monde, je projette quelques éléments de bonheur à venir, serait-ce dans mes capacités que de réussir à me délivrer de pesanteurs ancestrales ?

Wouah !!!

La sagesse vient avec l'âge, paraît-il, la vieillesse aussi, et la fin qui délivre de ces questions sans réponse.

La bande-son est une chanson que j'ai écouté maintes fois dans ma période estudiantine, leurre idéaliste avec lequel il est nécessaire de composer, il en reste si peu quand le déterminisme frappe à votre porte et vous somme de faire vos valises :

C'est l'heure.

 

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Paisible / Il est 8h22 le 7 juin 2024

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Paisible / Il est 8h22 le 7 juin 2024

Ce blog a une connotation différente du précédent, aucune vocation cependant, mais une tonalité plus tranquille.

J'ai démarré une autre fiction, dans laquelle j'emploie le pronom "je". Il est évident que ma personne n'a que peu d'importance dans ce récit, l'intérêt réside dans une plus grande facilité à situer l'action, à positionner le personnage principal. L'identification permet une réactivité immédiate dans le déroulé, accentuant la spontanéité  "voulue" par le narrateur. Énoncé de cette manière, le lecteur se dit que le rythme sera endiablé. Il est hélas plus difficile de se couler dans une action fictive, sans recul, que de créer un personnage totalement virtuel.

Acteur-spectateur-créateur est plus compliqué à gérer que narrateur omniscient.

Nous verrons bien ce qu'il en est, j'en suis à quelques pages écrites d'une sombre histoire dont l'action se déroule ici même, là où, aujourd'hui, il ne se passe strictement rien qui ne vaille la peine d'être évoqué.

Lecture d'un livre intitulé ZAMIR, fiction d'anticipation ayant de fortes ressemblances avec le monde réel. J'en reparlerai, le livre est conséquent.

La bande-son du jour est un bijou musical né d'une alliance entre musique sacrée, traditionnelle et populaire d'aujourd'hui portée par le talent de Sting.

Merci à lui.

Les images nous viennent d’Écosse, prises en 2011, sauf deux, prises à Salisbury.

Bonne journée

 

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