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Rue d'à côté / Il est 8h03 le 4 septembre 2025

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Rue d'à côté / Il est 8h03 le 4 septembre 2025
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Rue d'à côté / Il est 8h03 le 4 septembre 2025

Une flotille de bateaux se dirige vers Gaza avec pour mission de rebraquer les projecteurs sur les destructions en cours, sur la famine organisée par Israël. Mais je connais quelques esprits qui vont me dire qu'il y a d'autres misères, qu'il n'y en a que pour les Palestiniens, etc... Un sketch de Desproges dans le texte, second degré a minima pour lui, premier degré pour les sinistres. D'autres priorisent la misère, celles près de chez eux, voire grossissent le trait, histoire de... Des gens se sentent abandonnés dans leur quartier de Saint-Brieuc (le mien), sous prétexte d'une poubelle qui déborde, de motos qui roulent trop vite, etc...

La misère des titres de la presse locale se retrouve dans la vie de ces gens qui ont peur avant d'avoir mal, qui s'ennuient tellement, qu'ils s'inventent des bobos, le localier du journal se promène et recueille des témoignages. Le micro-trottoir, le degré zéro du journalisme, vu à la télé aussi. 

Bref, j'attends l'arrivée de ces embarcations près de Gaza, à savoir ce que l'armée israélienne leur réserve. 

Réunion à Paris pour l'Ukraine, histoire de demander à Trump l'autorisation de...je ne sais plus quoi exactement mais c'est l'idée de continuer à se prosterner devant la lie de l'humanité. 

Un conseil de lecture, ce n'est pas la première fois que je recommande cet ouvrage :

L'infinie comédie, de Davis FOSTER WALLACE. 

Livre-monde paru en 1996, dans lequel les ingrédients de la réalité d'aujourd'hui suscitent l'intérêt, fiction dystopique furieusement visionnaire. A sa lecture, il y a 25 ans, j'avais trouvé le propos outrancier bien que contenant quelques éléments déjà présents à l'époque. Aujourd'hui, tout est en place pour un grand raout. 

La dé-vaccination est en route dans certains états américains...en Floride. Je souris que ce soit cet Etat, vu l'âge moyen de ses habitants, cela fera de la place pour les autres. Allez savoir si ce n'est pas un complot secret, une euthanasie à grande échelle. 

Je touille l'actualité, la sauce n'est pas très bonne. 

Bonne journée

En bande-son, Goldman et ses chansons qui racontent une histoire, un peu comme Aznavour en son temps. Je sais, la comparaison...

Images de Londres en vrac

 

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Boire / Il est 8h36 le 3 septembre 2025

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Boire / Il est 8h36 le 3 septembre 2025
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Boire / Il est 8h36 le 3 septembre 2025

Interdiction de l'alcool en public à Saint-Brieuc. Dit comme ça, on se trouve au petit séminaire à réciter des psaumes. Le jour de la fête de la musique, le soir de ce jour-là, ce fut la fête de la bibine, non de la musique, rien de très folichon mais on peut comprendre au vu du son proposé. 

Boire pour oublier, ne pas boire pour rester lucide, raisonnable, utile. 

Boire est inutile sauf pour les débits de boissons et leurs fournisseurs, ce qui fait du monde, pas mal d'argent et quelques éclats de voix, de vie aussi, l'alcool est un désinhibiteur, trop parfois, mais sympa quand on s'en tient à la bonne dose. 

Après lecture de l'article, cela concerne certains quartiers en plus du centre ville. Cela sent la fermeture pour certains bars de quartier, trop bruyants. Je vois bien le tâleur de service envoyer son petit courrier à la mairie, se plaignant du désagrément causé par le bistrot d'à côté. La rue des trois frères Le Goff, jadis animée, n'est plus qu'un cimetière d'anciens estaminets que la morale réprouvait...et des voisins couche-tôt. 

J'oubliais un truc, l'extinction des feux, là où je suis pour quelques jours encore, 22 heures, il fait nuit noire sur la place. Pour rappel, les lumières de la ville furent créées pour faciliter la circulation et surtout assurer la sécurité des passants à une époque où les rues sombres regorgeaient de malandrins. 

Nous parlons d'un couvre-feu, méthode radicale pour assurer la tranquillité publique, vu à d'autres époques, pour d'autres raisons. Dormez, braves gens, on veille sur vous, votre tv ou votre ordinateur sont allumés, c'est bien...

En gros, n'allez pas au cinéma après la séance de 18 heures, ne dîner pas trop tard en ville, restez sobre...

La caricature n'est pas loin, un peu comme ce photographe qui inonde fbk d'images de sa ville, comme si Saint-Brieuc était la plus belle ville du monde. 

On se calme, nous ne sommes pas à Rome ou à Florence. 

Il est 8h29, je peux sortir, il fait jour. 

Bonne journée

La bande-son s'imposait.

Images de bouts du monde

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No pasaran / il est 8h40 le 2 septembre 2025

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No pasaran / il est 8h40 le 2 septembre 2025
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No pasaran / il est 8h40 le 2 septembre 2025

Tremblement de terre en Afgnanistan, glissement de terrain au Soudan, et destruction systématique des immeubles à Gaza-city. Le plan pour l'après de Trump a été dévoilé avec plus de détails et l'effarement devant tant de cynisme me rappelle à la lecture du dernier roman lu, une dystopie non datée, sur l'exploitation de minerais rares en Crète, découpage en zones de production, villages rasés et esclavage pour faire bonne mesure. La réalité rejoint la fiction. 

Avec le rapport de forces actuellement à l'oeuvre, je ne vois pas qui peut empêcher la réalisation d'une telle monstruosité. L'espoir d'un état palestinien s'éloigne de jour en jour. Seuls comptent le partage des richesses, les peuples deviennent un concept du temps passé, une vague notion d'appartenance à la caste des oubliés. 

Il pleut ce matin, seule concession à la morosité, rien de très important. 

La semaine politique française sera marquée par des "consultations"" du sieur du Béarn, indécentes rencontres, lamentables palinodies, stériles ripailles d'une ribambelle de tractations indignes. Un pays mérite mieux que ces tractations de couloir, sourires devant les caméras alimentant les chaînes d'info en continu et les autres. Certains n'iront pas et c'est tout à leur honneur et je vais faire du "cochet", à savoir que gouverner n'est pas une fin en soi si c'est pour manger son chapeau. Le glissement du quinquennat de François Hollande en est un parfait exemple, du " mon ennemi, c'est la finance" à Manuel Valls et la candidature de Macron. Elu à gauche, la succession de compromis, de replatrages symboliques a laissé un goût amer à celles et ceux qui l'ont cru, grands naïfs qui ont définitivement perdu leurs illusions sur une gauche de "pouvoir", gouvernant à droite, selon le vieil adage que la gestion de gauche n'existe pas. C'est assez drôle de constater que les vieux discours fonctionnent toujours, qu'une gauche de rupture ne peut gouverner car elle ne le veut pas vraiment, comment le pourrait-elle en proposant des mesures socialement inapplicables en l'état actuel des rapports de force entre les acteurs du débat social. Vu comme cela, il serait donc indispensable de laisser de côté toute mesure trop clivante, avec l'espoir que l'on puisse reconquérir le pouvoir par de vaines concessions. 

Nous avons le résultat aujourd'hui, après 8 ans de macronisme, version dénaturée d'une social-démocratie phacocytée par un libéralisme décomplexé. 

Macron n'est que le fils putatif de ce glissement idéologique, arrivé à son terme.

Il ne me semble pas, à moi, tête de mule de gauche, que trois pas en avant, deux pas en arrière soient une bonne manière d'avancer. Les acquis sociaux de ce pays se sont construits sur un vrai positionnement, clairement défini, un programme de gauche affirmé, face à un patronat de combat. 

Nous n'y sommes pas...

Bonne journée

En bande-son, un air emblématique et quelques images deci-delà. 

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Zem de LAURENT GAUDE aux Ed Actes sud

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Après "Chien 51", voici Zem, personnage déjà rencontré, en quête de sens pour rester en vie mais le souhaite-t-il vraiment ? La dystopie poursuit ici la description d'une désagrégation de la planète et de ses habitants. La guerre entre transnationales fait rage, par des coups fourrés, pour l'exploitation de minéraux censés sauver le monde. Personne n'y croit vraiment, les manipulateurs s'auto-congratulent, s'accrochent à leur pouvoir, fragile quand tout est permis, la trahison, l'esclavage chimique, l'ordre moral ne sert même plus de prétexte, un mot seul compte : la survie. Poussés dans leurs retranchements, les chiens de garde que sont Zem et Saila n'ont d'autres palliatifs qu'une course en avant, dans l'action immédiate, drogue dure, leur admiration réciproque les sauve de la folie, une lueur d'espoir apparaît dans la noirceur la plus opaque, là où réside la résistance, dont le mot même avait disparu de leur vocabulaire.
Noir, c'esr noir, Laurent Gaudé plonge le lecteur dans un futur dont on n'aperçoit plus guère de liens avec le monde d'aujoud'hui, mis à part l'exacerbation habituelle à toute dystopie, violence, cupidité et cruauté.
Accrochez-vous, ça tangue.
La fin ouverte laisse entrevoir une suite possible.
A lire après les infos en se disant que ça pourrait être pire.

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Avec le temps / il est 7h52 le 1er septembre 2025

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Avec le temps / il est 7h52 le 1er septembre 2025
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Avec le temps / il est 7h52 le 1er septembre 2025
Avec le temps / il est 7h52 le 1er septembre 2025

Une bande-son me laisse ce qui me reste de plus précieux, ce qui diminue chaque jour, de plus en plus vite, tel la peau de chagrin, inéluctable rétrécissement dont l'issue est connue de toutes et de tous. Je tourne la tête, je discerne plus que je ne vois des ombres se profiler, silhouettes s'estompant dans le lointain, la fabrique de souvenirs peine à renouveler les moments fugitifs qui justifient tout ce temps qui passe, parenthèses enchantées sur la frise de mon histoire personnelle, dates majeures, mineures, insignifiantes. Une rafale de vent emporte la carte postale, celle de ce jour, d'autres attendent que la porte s'ouvre, le courant d'air facètieux enlève au hasard le choix subtil d'une mémoire sélective. 

C'est ma fête aujourd'hui, sans importance, qui est ce Gilles, saint parmi les autres ? Le prénom à la mode en ces années-là, il y en a peu, je n'en ai qu'un, pas de rajout familial, un oncle ou un grand-père à honorer post-mortem, je me suffis à moi-même. 

La poésie serait dans le conditionnel que j'emploie, multiples incertitudes d'avenirs aux contours indéfinis, à la mosaïque se délitant sous les coups de boutoir de l'horloge assassine. Je freine le passé avant qu'il ne m'engloutisse, appétit féroce pour les images d'un jour, de ces jours disparus, renouvelés sans cesse par la magie du kaléïdoscope infernal. La roue tourne inexorablement, j'appuie sur les pédales d'une bicyclette fictive, la pente est de plus en plus raide, là où jadis, un simple faux-plat jouait à faire semblant, moi, enfant, comme un fou, je franchissais ce col imaginaire, les bras levés, j'ai gagné. 

J'ai gagné, j'ai perdu aussi sur ces routes serpentines, entre les haies du bocage aujourd'hui disparu. J'ai cherché les chemins creux, les sous-bois qui craquent sous vos pas, feuilles mortes ou fragiles brindilles, les champignons sous le chêne, colosse terrassé par les tempêtes décuplées par la bêtise des hommes. 

Le temps va, à son rythme, le mien se ralentit, ce n'est pas grave, tout va très bien...

Bonne journée

Les images intemporelles illustrent le sablier.

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Prêts ? Partez / Il est 7h55 le 31 août 2025

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Prêts ? Partez / Il est 7h55 le 31 août 2025
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Le PS se dit prêt à gouverner ?

Ah bon ?

Avec qui ? Tout seul, avec les écologistes et le PC, sans LFI bien sûr et sans la permission du prince consort (qu'on va sortir). Ils vont faire comment pour appliquer un programme sans faire de compromis, spécialité maison... 

C'est quand même insensé cette manière de se comporter dans une opposition tout en tendant la main, quémandant une parcelle de pouvoir. Je suis désolé mais ça y ressemble, cette insistance à demander d'en être. Il est tellement évident que le sieur Macron n'a rien à leur donner, que Bayrou est du genre infréquentable mais non, ils y retournent. 

L'entrisme peut-être, je cherche quelque part ce vieux concept trotskyste de l'influence que l'on peut avoir une fois aux commandes, dans la place, modifier le cours des choses malgré les apparences trompeuses. Jospin-Chirac, avec les 35 heures, pourquoi pas ?

Là, ça me paraît compliqué. Les libéraux d'aujourd'hui sont des purs et durs, pas de social, le président du MEDEF l'a dit : il y a des gens qui coûtent cher et ne rapportent rien, ben oui, nous en sommes là. 

Allez discuter avec ces gens, avec les anciens du PS comme E. Borne, comme Moscovici. 

Soyons sérieux, l'opposition consiste à ne pas être d'accord avec des mesures et une politique données, à proposer une autre approche, avec des moyens, je veux dire un poids électoral, a minima s'allier avec vos proches cousins, mais non, il semblerait que certains ne peuvent pas au PS continuer à discuter avec la gauche non social-démocrate, celle de rupture. 

Bientôt des élections, municipales, présidentielles, avant peut-être...

La rentrée scolaire, ma fête, c'est le même jour cette année. 

Bonne journée

La bande-son entendue ce matin sur France-culture, un des meilleurs James Bond.

Images connues

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Instinct grégaire / Il est 9h23 le 30 août 2025

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Instinct grégaire / Il est 9h23 le 30 août 2025
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Instinct grégaire / Il est 9h23 le 30 août 2025
Instinct grégaire / Il est 9h23 le 30 août 2025

Le commerce mondial s'effectue par bateau, à 90% en volume et 80% en valeur, représente 3% des émissions de GES, contre 5% pour l'avion. Le transport routier représente 71% de ces émissions. 

C'est un sujet sensible, avec lequel toutes les interprétations fleurissent en fonction de l'âge de celui qui l'énonce, son milieu social, sa nationalité et le besoin personnel de déplacement. Personne ne va être neutre, sauf à se considérer comme non concerné au quotidien. Celui-ci est marqué pour beaucoup par les déplacements dus au travail, l'éloignement de son lieu de résidence, et la disponibilité des différents services. La vie en campagne est considérée comme bonne pour la santé, elle ne l'est pas pour la planète. La vie citadine regroupe les gens au même endroit, avec pour conséquences des économies d'échelle dans les déplacements, transports en commun, lieux de travail regroupés dans un même ensemble urbain. J'habite à la campagne, mon travail est à 10 kms, pas de bus ni de train, je prends ma voiture, des millions de gens se retrouvent dans ce cas de figure. L'image est trompeuse, entre la ville, censée représenter le mauvais côté du monde moderne, et l'image bucolique d'une vie rêvée dans un village blotti dans le bocage. 

L'aspect bucolique disparaît peu à peu dans nos campagnes, les bruits parasites de l'outillage à moteur polluent et empoisonnent l'environnement sonore, gâchant la soi-disant tranquilité de la fermette au bord de la rivière. La nature d'aujourd'hui est une immense propriété privée, dont la fonction principale est la production de nourriture à une échelle industrielle. L'environnement est une donnée considérée comme accessoire, décor pour citadins en mal de verdure. Il est compliqué, hors des sentiers battus, de s'aventurer dans un champ quelconque, violation de la propriété privée et rencontres inopportunes de chasseurs en goguette. Je ne m'éternise pas sur le sujet, je pense à l'instant à une vidéo montrant une jeune femme piquant une tête dans un lac de montagne, décor de rêve, avec une eau, je le suppose, très fraîche. La vidéo est suivie (sur fbk) de commentaires assassins sur ce geste irresponsable (le bain), avec échanges de postes (polis). Un guide de montagne faisait partie des interlocuteurs. Il n'y avait pas de panneau particulier d'interdiction, de ceux qui fleurissent partout aujourd'hui. La randonnée en montagne est à la mode (ailleurs aussi), les règles appartiennent apparemment à ceux qui habitent dans le coin, gardiens du temple, protecteurs exclusifs des lieux. Je construis une passerelle rapide avec l'économie montagnarde et ses stations de ski, dont la pérennité est remise en question. Le guide virulent de fbk travaille-t-il en station une fois l'hiver venu ? 

Je proposerai des mesures radicales de destruction et d'éradication de ces verrues urbanistiques à la fréquentation pour le moins désagréable, très loin de la dame du lac de haute montagne. 

Nous avons les mêmes ayatollahs en campagne, dont la voiture thermique (ou autre) constitue la seconde maison, au vu des déserts commerciaux et médiacaux (entre autres)...

Je souris car j'y cours bientôt, déménageant mes meubles de seconde main, mes livres de papier et quelques appareils électro-ménagers, dans une mosaïque de prairies, épicerie à cinq kilomètres, etc...

La voiture y sera indispensable, l'achat d'un vélo est possible, électrique peut-être (bien que), mon écologie personnelle est comme celle de beaucoup de gens ordinaires, elle s'adapte aux contraintes de mon quotidien, moins simple qu'aujourd'hui, où la supérette est à deux cent mètres, le médecin à 50, et la librairie se rejoint à pied. 

Autre besoin, moins de bitume et de béton dans mon champ visuel, je n'oublie pas que je suis né dans ces paysages d'avant remembrement, grandi dans les champs, sans ayatollah vert-pomme, juste un garde champêtre, j'aime ce nom, monsieur fort sympathique dont le nom m'échappe à cet instant. On en reparle bientôt. 

Bonne journée. 

La bande-son est un retour aux sources, les images aussi, si l'on veut, Nord-Finistère Juillet 2022.

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Allo, Banksy, t'es où ? / Il est 8h09 le 29 août 2025

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Allo, Banksy, t'es où ? / Il est 8h09 le 29 août 2025
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Allo, Banksy, t'es où ? / Il est 8h09 le 29 août 2025
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La rentrée des gens en activité, avec enfants en âge scolaire approche, celle des profs, c'est aujourd'hui, 850000 d'après la radio. Des difficultés de recrutement sont à déplorer, métier noble s'il en est, mal payé, déconsidéré par l'atmosphère mercantile qui baigne. C'est fou de constater que certains corps de métier, comme les infirmier(e)s, les profs et autres aides-soignant(e)s suscitent d'un côté l'admiration et de l'autre une répulsion quand il s'agit de postuler. 

C'est banal de le dire mais les crises de vocation se multiplient sur ces métiers à valeur ajoutée "humaine" si je puis me permettre cette expression. 

Qu'est-ce que tu veux faire dans la vie ?

Pompier ou astronaute...

Infirmière ou institutrice...

Ca, c'était il y a longtemps. 

Aujourd'hui, je ne sais pas vraiment... 

Trader ou agent immobilier ? 

Un métier d'avenir dans l'IA, remplacé par les concepts développés dans son activité ou comment creuser sa propre tombe. 

Policier peut-être, à l'heure où la sécurité obsède ? 

Je ne fréquente pas assez de jeunes pour donner des réponses précises. 

Livreur chez Deliveroo, manager chez Macdo, ou libraire à la FNAC ( à éviter). 

Je dirais : un métier dans lequel on peut se nourrir, se vêtir, se loger et se divertir un peu, peu importe. 

Commercial, avec fixe décent et objectifs atteignables, il y a toujours quelque chose à vendre dans notre société.

Bientôt un poste à pourvoir : premier ministre, CDD bien payé, stressant avec retraite assurée. 

Bonne journée

J'avais oublié BANKSY et il nous oublie aussi en ces temps démentiels, une bonne dose aujourd'hui accompagné d'un standard version "live", vu hier soir sur ARTE.TV. 

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Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025

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Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025
Demain peut-être / Il est 9h23 le 28 août 2025

Un bombardement sur Kiev, une avancée dans le Donbass, il semblerait que Poutine, gagne du temps en effritant la résistance ukrainienne. Il sent que le soutien américain est très aléatoire, soumis aux humeurs de Trump. avec la constance dans l'obstination à reprendre ce qu'il considère comme appartenant à la Grande Russie. Les motivations d'en face sont diverses, de la défense acharnée de leur territoire par les Ukrainiens au jeu de Monopoly des Américains en passant par une peur réelle des Allemands sur leur intégrité territoriale ainsi que les Polonais et les Baltes. La France joue sa carte nucléaire en creux, ce qui peut faire sourire, avec un matamore tentant de faire oublier son inexistence politique. Trop d'intérêts divergents existent face à une dictature nationaliste dont l'économie de guerre est financée en sous-main par l'achat de gaz et de pétrole par l'Inde et la Chine. Les sanctions économiques occidentales ont montré la nouvelle répartition du poids économique, le glissement vers l'Asie, ce que Poutine a parfaitement compris. Nous verrons dans les mois à venir le poids réel de l'économie américaine à travers les résultats de ces nouvelles barrières douanières. 15%, tel est le poids économique des USA aujourd'hui, d'autres relations s'instaurent petit à petit entre continents, et les rodomontades trumpiennes se retourneront contre son propre pays. La puissance militaire incontestée risque de devenir un boulet pour ses finances, en lieu et place d'une dissuasion classique basée sur la force d'intervention. L'isolationnisme traditionnel de l'électorat américain s'accommodera mal de ces gesticulations un peu vaines si l'effet prévu de droits de douane se révèle être contre-productif, associé à une baisse drastique des droits sociaux et les tentations dictatoriales. L'ensemble de cette politique est marquée du sceau du court-termisme, avec des effets dévastateurs en terme d'image et de régression sociale. 

Nous avons en France un premier ministre qui ne passera pas l'automne, la suite ne changera rien à la politique menée, libéralisme à tous crins. A ce propos, entendu le président du Medef décomplexé dénonçant celles et ceux qui coûtent plus cher qu'ils ne rapportent, en termes de richesses produites au niveau national. 

On en fait quoi, coco, des vieux, des nourrissons, des handicapés, des malades, on les tue ? Sombre salopard qui nous montre une fois de plus que si certains nous amusent avec des gris-gris nationalistes, d'autres ne changent pas dans leur volonté de casser le systéme social français. Et certains benêts de taper sur les plus pauvres, soi-disant profiteurs du système, en ignorant les vrais vampires, exilés fiscaux et autres tricheurs. 

Une nuit du 4 août ne serait pas de refus...

Bonne journée

Tom Joad n'est pas loin, il peut s'appeler Albert Martin, bien de chez nous. 

En images, la côte bretonne et Munch...

Bonne journée

 

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Semeurs de troubles / Il est 9h14 le 27 août 2025

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Dans le traitement de l'épisode Bayrou, énième premier ministre du prince "consort", qui finira par s'en aller, c'est la forme, l'aspect constitutionnel qui prévaut, spécialité enseignée en fac de droit, que peu de gens appréhende. Un rejet de confiance est basée sur un texte, le budget en l'occurrence, refusé parce que ne correspondant pas à l'opinion d'une majorité de parlementaires, ce qui fut déjà le cas avec Barnier. Les calculs sont légion, si bien que l'on oublie le fonds du texte, son contenu, profondément anti-social, reflétant une tendance lourde de remise en cause de nos acquis, et un choix idéologique très marqué, non de neutralité gestionnaire, mais d'une doxa libérale pure et dure. Le patronat français, proche du pouvoir actuel, doux euphémisme, n'attends qu'une remise en cause de ses obligations, sociales et financières. Celles-ci ont été grandement allégées sous l'ère Macron, les cadeaux fiscaux et autres exonérations plombent le budget dont il est question ces jours-ci. La mauvaise foi et le mensonge habitent Mr Bayrou, prototype du louvoiement en politique, croqué en son temps par Les guignols de l'info, l'homme du "milieu", de nulle part et de partout, en fonction du vent qui souffle. La tempête s'approche du monsieur, qui pourrait voir sa carrière s'arrêter là sur le plan national. Qu'il retourne dans le Béarn, s'occuper de ses ouailles, et des affaires locales, qu'un Chabrol aurait croqué avec humour et délectation, avec  un poil de dégoût sans doute aussi. 

Dans un autre registre, les services secrets israéliens justifient, en creux, les assassinats "ciblés" de journalistes par des enquêtes menés en secret (normal), comme quoi ces journalistes n'en sont pas, manipulés par le Hamas, et outils de propagande de l'organisation. Il est simple de rétorquer à ces messieurs qu'il suffit d'autoriser la presse internationale pour clarifier ce qui se passe dans l'enclave. Toute interdiction de presse est suspecte, par nature. Si Israël peut justifier les massacres par des faits documentés, qu'elle laisse les journalistes faire leur métier.

Nous ne sommes plus à un mensonge près, le Mossad est un état dans l'état hébreu, gangrené par des réglements de compte, des préparatifs de défense quand toute cette horreur se terminera et qu'il faudra déterminer les responsabilités de chacun. Les hyènes se déchirent entre elles au sommet de l'état israelien, comme d'autres en leur temps, jusqu'au dernier soubresaut des manifestations mortifères du cerveau reptilien, seul maître à bord. 

La fin de règne approche, la fin du cauchemar aussi, on l'espère mais derrière se profile la situation en Cisjordanie, autre ignominie.

La rentrée scolaire approche dans notre paisible pays de cocagne, bien loin des champs de ruines. Il est bon de le rappeler quand on entend certains "irresponsables" politiques parler d'un pays en proie à l'envahissement ou à l'ensauvagement de nos jeunes. La parole d'un homme public est entendue, et crue parfois, il serait là aussi plus que temps que les semeurs de troubles sévissant sur les plateaux télé surveillent leur langage, que les hordes de la fachoshère reprennent en choeur sur les réseaux sociaux. 

La France est un pays en paix. 

Merci

Bonne journée

En bande-son, notre ami Sir Paul en 1974 signe la B.O d'un James Bond, l'espion mythique, loin du MOSSAD et autres services secrets aux turpitudes sordides et inavouables. Sale boulot que celui-là. 

Les images reposent, la côte en 2022, la même aujourd'hui, rien ne change. 

 

 

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