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Rien / Il est 8h06 le 16 août 2025

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Rien / Il est 8h06 le 16 août 2025
Rien / Il est 8h06 le 16 août 2025
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Rien / Il est 8h06 le 16 août 2025
Rien / Il est 8h06 le 16 août 2025

Une conversation facebookienne sur l'animation dans les rues d'une ville que je vais quitter dans un mois n'a que peu d'intérêt. Je me suis aperçu que j'avais eu le même type d'échanges peu avant mon départ de mon précédent lieu d'habitation. Une vue négative est forcément le théâtre d'autres préoccupations, rien ne change vraiment dans la démarche. La prochaine fois, il n'y aura pas de prochaine fois, autre temps, autre solution.

Dans l'actualité, les deux malades se sont rencontrés au frais, il n'en ai rien sorti, que la presse internationale se prête à ce numéro montre l'état de déliquescence de nos sociétés. Je ne regarde pas, je lis le titre qui annonce l'échec d'une rencontre. Des manoeuvres militaires ont lieu près de la frontière ukrainienne, préparatifs ?

Des ciels nuageux au dessus d'une plage bretonne...

Vangelis illustrateur sonore du sens de l'effort, film typé au message simple, à revoir aujourd'hui, histoire de vérifier si l'accomplissement s'est bien achevé comme prévu.

Fin de lecture d'un livre décevant, long et dont je ne vois guère la finalité, mise à part le descriptif d'un monde clos et peu ragoutant, confirmation de ce qui nous secoue aujourd'hui, mal endémique et entresoi suffisant et prétentieux.

Avis de lecture à venir

Ce sera tout pour aujourd'hui, un autre café sera le bienvenu

Bonne journée

 

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Echo malsain / Il est 9h04 le 15 août 2025

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Echo malsain / Il est 9h04 le 15 août 2025
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Echo malsain / Il est 9h04 le 15 août 2025

Mon amie la rose s'en est allée ce matin, fragile et incandescente, de mille feux, elle fut la dernière lueur d'espoir dans le ciel étoilé quand le jour se lève, la mort l'a emporté qaund la nuit fit place à l'aube, le premier rayon fut son trépas.

Un arbre en mémoire d'un juif assassiné a été scié à la base par de sombres crétins. Il en est d'autres qui crient à l'antisémitisme galopant qui sévit dans notre pays. Il y a 500000 juifs en France sur 69 millions d'habitants, ce qui représente 0,7% de la population. La vindicte dont ils font l'objet est franchement disproportionnée, tout comme les cris d'orfraie de bonnes âmes prompts à s'indigner à la moindre inscription, comme notre bon ministre Retailleau qui trouve "ignoble" le slogan "free palestine" sur les bureaux de la compagnie El Al mais ne trouve rien à redire quand un rabbin fanatique français appelle à l'exécution de Macron. Je ne vois pas d'entrefilet vengeur sur le sujet condamnant de tels propos, par ailleurs condamnables au regard du droit. Le racisme pourrit la vie de ce pays, en silence souvent, l'antisémitisme n'est qu'une forme d'exclusion comme une autre mais trouve curieusement une chambre d'écho fort conséquente, eu égard au poids de cette communauté. Notre lien si particulier depuis la seconde guerre mondiale donne dans une culpabilité organique, nous, peuple français, qui avons participé à un antisémitisme d'Etat, soit par notre silence, soit par notre participation active, délation et autres confiscations de biens. Les quelques "justes" présenté de temps à autre sont peu nombreux, que la patrie leur en soit reconnaissante, ils ont sauvé l'honneur. Notre SUR-réaction me semble d'une hypocrisie fâcheuse. Les lois existent, qu'elles s'appliquent pour toutes et tous, y compris dans les autres communautés, vilipendés par ailleurs pour des faits autres. Mais il est plus simple pour Mr le ministre de l'intérieur de flatter ce racisme-là, non sujet à une quelconque culpabilité, le temps béni des colonies trouvant encore et toujours un vieux brin de nostalgie traînant dans les malles poussiéreuses de l'Histoire.

Il s'en trouvera toujours pour se gausser de cette ostracisation, la justifiant sous les oripeaux d'une insécurité savamment orchestrée. L'Histoire repasse les plats et trouvera toujours de serviles cuisiniers pour les mettre en bouche...

Nous sommes le 15 août, fête religieuse bien de chez nous...

Bonne journée

La rose n'est plus, d'autres fleurs éclosent

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En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025

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En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025
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En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025
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En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025
En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025
En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025
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En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025
En vert, c'est ici / Il est 8h42 le 14 août 2025

Lu ce matin un entrefilet lié aux fortes chaleurs et à ses conséquences. Les préfets de deux départements ont interdit toute manifestation en extérieur à cause des températures trop élevées, le Rhône et l'Ardèche. Au cas où le peuple se soulèverait au beau milieu de l'été... Une idée intéressante est née, l'interdiction de manifester pour cause météorologique. Les perspectives sont immenses et ouvrent le champ à des interprétations pleines d'imagination, le tout pour notre sécurité, notre santé, pour notre bien : manifester est mauvais pour vous.

Affaire à suivre.

D'autres brèves parsèment les pages de nos feuilles de chou, deux ordures ont eu un comportement immonde sur une femme et ses deux enfants, ils sont toujours libres, et deux cent personnes en attente de logement ont été évacués de la place de l'hotel de ville de Paris, pour aller où ? On ne sait pas. Cela gênait les touristes, pas d'info ?

La météo s'améliore lentement, je note que le seul département français à être resté dans le vert se trouve ici. Les prévisions annoncent que la canicule s'attaque à l'ouest... pour ce week-end.

A l'international, je lis qu'une femme américaine, chroniqueuse féroce de Trump, a été menacée par ce dernier d'être déchue de sa nationalité. Le problème est qu'elle est née sur le sol américain, ses parents aussi. Il perd le fil, le vieux dégoutant. J'ai lu ce qu'elle a écrit ainsi que les photos du gâteux en bonne compagnie. Ce type est à vomir, vraiment, chaque jour qui passe est un appel à l'assainissement de notre planète, élimination de nuisibles en tous genres. Ne cherchez pas, ils sont connus.

Taylor Swift sort un nouvel album, le douzième déjà. Vous avez raté les précédents, moi aussi, je vais manquer celui-là, entendu quelques notes, musique d'ascenseur à consommation immédiate et oubli instantanné.

Hier, vernissage d'une expo à la Chapelle des Rosaires en la commune de Plérin (22), bord de mer dans le seul département encore en vert, ouverture de 15h à 19h jusqu'au 24 août inclus, la plage est à deux pas, culture et rafraîchissement, le rêve en quelque sorte. J'y participe via quelques photos, avec six autres artistes, peintures, sculptures, gravures et calligraphie, de quoi allumer vos pupilles.

Bonne journée.

Bande-son en live de qui vous savez.

Images australiennes de 2019

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Chaud et froid / Il est 7h59 le 13 août 2025

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Chaud et froid / Il est 7h59 le 13 août 2025
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Chaud et froid / Il est 7h59 le 13 août 2025
Chaud et froid / Il est 7h59 le 13 août 2025

Fraîche grisaille ce matin, étonnant non ?

Il existe un coin de France qui résiste encore aux assauts répétés de la fournaise, les vents d'Ouest dominants luttent avec courage contre le souffle mortel d'un feu ravageur. Dans les projections du GIEC, une possibilité est évoquée, celle de la disparition du Gulf stream, complexe combinaison d'un fleuve marin née dans le Golfe du Mexique. Les océans ont un rôle prépondérant dans la régulation thermique de la planète. Ils sont là, leurs courants sont invisibles, peu spectaculaires. Les courants du Pacifique sud, El Nino entre autres, bousculent les masses d'air en surface, inversant les flux aériens, provoquant sécheresses ou précipitations extrêmes.

Si le Gulf stream s'estompe puis disparaît, toute l'Europe du nord et de l'ouest se retrouvera sous l'influence d'un climat polaire, l'Atlantique nord et la mer du même nom se refroidissant, entraînant une modification des températures aériennes, et nous glisserions rapidement vers une glaciation où toute vie serait quasi impossible. Cela paraît fou mais les hypothèses ont été sérieusement étudiées avec un coefficient de réalisation élevé. Le réchauffement est un mot comme un autre, il est communément mentionné pour des commodités de langage.

En gros, si nous continuons sur cette courbe, la planète pourrait devenir invivable, soit à cause de températures trop élevées, soit pour des raisons inverses, le juste milieu, là où où la vie est possible, disparaissant petit à petit. L'étude des planètes montre que la vie repose sur des combinaisons complexes à l'équilibre fragile. La nature opère des corrections...jusqu'à l'impossible alchimie, où les inerties mises en branle s'emballent dans une danse erratique. L'être humain n'est qu'un fétu de paille, les autres êtres vivants s'adaptent ou disparaissent, nous serons, je le crains, dans la deuxième catégorie.

Mais comme le dit si bien Madame Michu, il fait chaud l'été et froid l'hiver...

CNEWS dit ça... dit aussi qu'il y a des marchands de glace à Gaza, meilleures qu'à Paris mais que ne dit-on pas ?

Les guerres sont toujours là, chaud ou pas, les armes ignorent ces contingences.

Bonne journée

Un petit Beatles joyeux et quelques images de l'expo en cours à La Gacilly (56)

 

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Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025

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Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025
Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025
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Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025
Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025
Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025
Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025
Chaud devant / il est 8h38 le 12 août 2025

43 degrés ? Je ne savais même pas que ça pouvait exister ! Eh oui, madame, ça existe depuis un certain temps, ailleurs, là où vous n'irez pas puisque vous l'avez à la maison.

La chaleur dite extrême s'invite chez nous, comme si l'apanage de conditions de vie difficile devait se cantonner à certaines contrées, loin d'ici. Habiter un pays tempéré vous met à l'abri de phénomènes climatiques exceptionnels, enfin nous mettait à l'abri, comme une sécheresse à répétitions, des orages, des tornades, et des stations de ski qui ferment, faute de neige. J'ai entendu parler de randonnées en montagne, dans la poussière des sentiers, herbe rase, et air chargé de particules en suspension, pas un zeste d'humidité en altitude, la nature déshydratée n'en peut plus de nos conneries. Je vois en même temps un type remplir son réservoir ( bassine) en plein cagnard alors que des restrictions de zone rouge sont en cours, pour arroser son maïs, destiné peut-être à une unité de méthanisation, histoire de se faire un peu de sous. Nous vivons une époque formidable.

L'abruti de la blanche maison ordonne de détruire les deux satellites chargés de collecter les données climatiques planétaires, il ordonne aussi le déploiement de la garde nationale à Washington alors que les données policières montrent une baisse régulière de la criminalité dans la capitale américaine. Retailleau, notre Trump à nous, version quaker, a fait condamner un type à trois mois de prison pour avoir oser allumer une cigarette à la flamme du soldat inconnu ce qui n'est pas malin, certes, mais ne justifiait pas d' engorger des prisons déjà surpeuplées. C'est un truc très bête, que j'aurai pu faire il y a longtemps lors de virées nocturnes parisiennes, le défi stupide de jeunes en goguette.

Bref, s'occuper maintenant du gars qui pompe l'eau pour son exploitation, ce serait bien aussi mais je doute fort qu'il soit inquiété, c'est un pote de la FNSEA, cul et chemise avec le sénateur DUPLOMB, enfin, peut-être mais c'est la même engeance.

La dame qui a chaud va s'habituer dans le sud-ouest, c'est prévu à moins de déménager en Bretage, seule épargnée par le coup de chaud.

Et pourtant, elle tourne !

Mon record personnel est de 47 degrés à l'ombre, en Août 2013, dans la Vallée de la mort en Californie, vers 21 heures. La transpiration sèche instantanément, piège absolu, et il faut boire, vraiment, l'intérieur du corps devient une cocotte qu'il faut refroidir. Inutile de préciser que vous ne restez pas pique-niquer...

Et dans l'autre sens, un moins 27 à Saint-Etienne vers 22 heures au cours de l'hiver 86-87, là non plus, vous ne restez pas faire la causette sur le trottoir.

C'était pour rafraîchir, ici, 28 prévu aujourd'hui...

Bonne journée

Bande-son toute en métaphores, et le désert égyptien en mai 2008

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Course de vitesse / Il est 8h18 le 11 aout 2025

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Course de vitesse / Il est 8h18 le 11 aout 2025
Course de vitesse / Il est 8h18 le 11 aout 2025
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Course de vitesse / Il est 8h18 le 11 aout 2025

Le deuxième épisode caniculaire de l'été semble plus spectaculaire que les précédents, les températures atteintes dépassant le seuil psychologique des 40 degrés dans de vastes portions du territoire. Plusieurs journées sont annoncées comme supérieures de plus de 15 degrès aux normales (sic) de nos latitudes. Ici, nous allons frôler les trente aujourd'hui, puis redescendre sous des auspices plus civilisés. Plus que jamais, la Bretagne sera une terre de futur(e)s réfugié(e)s climatiques. Ca tombe bien, je m'en vais bientôt, laissant le champ libre à la foule fuyant ses responsabilités devant une dystopie à venir, qui n'en sera plus une, puisque non-imaginaire. Bah, je goûterais les coups de chaud futurs à la campagne, plus à même d'absorber le trop-plein d'air brûlant. La ville a ceci de terrifiant qu'elle amplifie le phénomène, réverbération durant le jour et restitution en cours de nuit, aucun repos; déshydratation pernicieuse et dangereuse à terme.

C'était le bulletin météo de nos contrées en paix. Je ne me risquerai pas à établir un bulletin pour Gaza, en bord de Méditerrannée, climat sec s'il en est, 34, 35 degrés prévus pour la semaine, c'est dit. Avec quelques explosions de temps à autre, des chars qui se déploient, la mort rôde en permanence, sans beaucoup d'eau ni de nourriture, je laisse à votre sagacité le soin de vous mettre à la place d'êtres humains vivant dans ces conditions. La plage d'Erquy semble de suite plus paisible. Gaza est en bord de mer, ce qui laisserait à imaginer des baignades interminables, pièges mortels sous le feu de snipers hébreux, futur front de mer pour riches américains quand tous ces gens seront évacués, éventualité évoqué par le blond malade de la blanche maison, j'inverse les qualificatifs, codes mentaux pour juifs extrémistes. Au vu des pourcentages approuvant la politique de Netanyahou, je me demande si l'expression "juif extrémiste" n'est pas un pléonasme. Je veux bien excuser le lavage de cerveau du à une bunkerisation du pays, mais certains rescapès de la lobotomisation collective, peu nombreux, donnent de la voix, exigeant la fin de cette folie collective, de cette fabrique d'antisémites qu'est devenu l'Etat d'Israël aujourd'hui.

Le montage diabolique pensé en haut lieu depuis des années arrive dans sa phase finale, l'élimination de l'Autorité palestinienne, le financement indirect du Hamas, et l'annexion accélérée de la Cisjordanie correspondent au rêve initial des sionistes, un grand pays pour les juifs du monde entier, construit sur les ruines et les cadavres de tout un peuple, furieux rappel de l'Histoire qui, décidément, balbutie les pires travers de l'homme. C'est une course de vitesse, qui gagnera, la raison ou la folie ?

Bonne journée

Bande-son sans commentaires et images de paix

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Let the sun...mais pas trop / Il est 8h51 le 10 août 2025

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Let the sun...mais pas trop / Il est 8h51 le 10 août 2025
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Let the sun...mais pas trop / Il est 8h51 le 10 août 2025
Let the sun...mais pas trop / Il est 8h51 le 10 août 2025
Let the sun...mais pas trop / Il est 8h51 le 10 août 2025
Let the sun...mais pas trop / Il est 8h51 le 10 août 2025
Let the sun...mais pas trop / Il est 8h51 le 10 août 2025

Les cartons se multiplient comme jadis les petits pains, sans miracle à la clé, ni trahison d'aucune sorte. Bientôt le quinze août, summum de été caniculaire, date à partir de laquelle on considère que la saison est réussie ou pas, selon les professionnels du farniente, des festivals en tous genres, des pompiers, des gendarmes, toutes professions mises à contribution quand les autres se la coulent douce, comme moi par exemple. Pas vu de pompier par ici, les pandores, je les vois toute l'année, rien de neuf, pas de festivals cette année et je laisse les bouchons à celles et ceux qui les composent. Calme relatif si je tiens compte d'un animal à quatre pattes de presque dix kilos, fort remuant, très affectueux, gambadant un objet à la gueule dont j'ai abandonné l'identification, je crois apercevoir une lanière de sandale, possible. Chaque jour suffit dans la construction d'une muraille de cartons et de caisses, de classements divers,de mises au rebut. Il est coutume de dire, et de faire place nette lors d'un mouvement nomade. Le débarras a eu lieu il y a cinq ans déjà, voire six, peu de déplacements à la déchèterie, une accumulation serait le mot approprié, le cubage du déménageur l'a confirmé.

L'actualité en une consiste en une énième roublardise du sieur Poutine, une énième saloperie de Netanyahou pieds et poings liés à ses alliés sans lesquels il n'existerait plus. Il paraît invraisemblable que ce type ne finisse pas dans un box d'accusé.

Lu un entrefilet, à vérifier, sur Mme Badinter, considérant l'impossibilité de considérer des juifs comme des bourreaux, une phrase de ce genre, philosophiquement parlant, je suppose. Je plonge dans un abîme de perplexité quant à la signification de ce propos : les juifs auraient ils vocation à n'être que des victimes, ce qui serait en totale harmonie avec ce qu'ont pu penser leurs bourreaux au fil des siècles. La posture de la victimisation existentielle nous a déjà été servie, par le même Netanyahou.

Madame, il n'est de bonne compagnie qui ne se quitte...vite.

Je lis trop de comptes-rendus sur ces atrocités, bilans quotidiens de morts innocentes, plans militaires, trahisons politiques, calculs cyniques et gesticulations vaines de leaders impuissants.

J'en perds des repères, je me sens fragile face à ce torrent de haines recuites. Comme me disait quelqu'un, ne te plains pas, tu n'as pas connu la guerre, période de paix la plus longue pour le pays où je suis né, depuis sa création comme entité nationale.

Quelle chance, je peux sortir de chez moi sans risquer de me prendre un drone sur la tête, ni prendre une balle de sniper ou me faire braquer par un camé en manque. Je cite ce dernier exemple en réponse aux multiples bas du front qui se sentent en guerre, acculés par des hordes de gens "pas de chez nous".

Allez, bon dimanche ensoleillé (ici aussi) et bon courage à celles et ceux qui auront trop chaud.

La bande-son vient d'une autre planète.

Les images sont en vrac, aucun lien entre elles.

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Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025

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Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025
Il y a le ciel, le soleil... / Il est 8h21 le 9 août 2025

Les images sont de février 2019 et la chanson de 1966.

J''entends un micro-trottoir sur Internet, un monsieur d'un certain âge interviewé sur les choses de la vie, les regrets, les souvenirs, les passions, le passé, le présent et le futur, rien que des banalités avec lesquelles ce monsieur jongle fort habilement sans fard, sa trop grande fréquentation des femmes, le temps perdu, son travail sans intérêt et surtout ses passions d'aujourd'hui, le patrimoine, le petit précise-t-il, et la photographie, la classification de tout ce matériel historique. Il a arpenté les rues parisiennes, en a fait le tour soupire-t-il, puis s'est rabattu sur la banlieue, plus riche que l'on pourrait croire, de ces lieux préservés, transformés, ou disparus, dont il ne reste que des traces, importantes à ses yeux, qu'il immortalise. L'espace d'un instant un voile passe devant les yeux embués de ce monsieur de 77 ans, je me souviens de son âge. Je n'en suis pas là, la décennie s'approche, chiffre à chaque fois symbole d'une marche supplémentaire  sur la montagne à gravir.

Au Sri Lanka, il existe un lieu saint, devenu touristique, un temple situé en haut d'une montagne d'où la vue est superbe, englobant le sud de l'île. Plusieurs milliers de marches ont été construites, la foule s'y presse, plus de locaux que de voyageurs. Seul(e)s quelques jeunes occidentaux s'y risquent, équipés de pied en cap du dernier cri en matériel de trek. A leurs côtés, des dames d'un certain âge en sandalettes grimpent à leur rythme, et les images de la plateforme terminale montrent des tas de tongs, et quelques paires de chaussures de randonnée perdues au milieu de ces modestes attributs pédestres.

Je ne suis pas monté, ni mon amie non plus, pas un problème physique, non, la motivation n'y était pas. J'ai souvent repensé à la montagne magique sri-lankaise. Aujourd'hui, il est certain que je n'y retournerai pas, ni dans beaucoup d'autres endroits, la motivation et quelques réserves à émettre sur la forme physique.

Le monsieur dont j'ai évoqué le quart d'heure de célébrité semblait déjà ailleurs, la toile de fonds de son existence, il le mentionna, c'était le passé, le présent aussi, mais en aucun cas l'avenir, qu'il n'envisageait tout simplement pas, jour par jour, il avançait encore.

Les images de 2019 sont un passé récent, de retraité déjà, la bande-son me rappelle mon enfance, le 45 tours que ma mère avait acheté et nous fûmes cet été-là sous le soleil d'Espagne, au bord de la mer, périple qui nous conduisit sur la Costa blanca.

Ici, c'est la côte nord de la Bretagne, au soleil dans les jours passés, aujourd'hui encore, un week-end sur le sable.

Bonne journée.

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L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025

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L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
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L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
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L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025
L'heure des braves / il est 8h53 le 8 août 2025

L'été est là et fort présent, dans les températures, dans les bouchons, les départs des uns et des autres. Je ne vais nulle part sur cette période, trop occupé pour le deuxième été consécutif à me dire que la retraite n'est pas faite pour partir en vacances en même temps que celles et ceux qui travaillent. Dans un coin de ma tête, je revis les préparatifs de ces départs, l'énervement relatif, peur d'oublier le petit truc indispensable, l'auto en bon état et l'appréhension sur l'état de la location à l'arrivée ou l'emplacement dans le camping. Mais ça, c'était avant, il y a longtemps. Je suis passé depuis par la période des grands voyages, des sauts de puce, escapades urbaines de quelques jours, hors saison surtout puis le surtourisme est arrivé. Rien de tel que de visiter un lieu à vingt ans d'intervalle et de constater les dégâts d'une fréquentation panurgique ou de regretter de ne pas être aller dans cette ville magnifique quand elle était encore "authentique", mot totalement dénaturé et vidé de son sens. L'invraisemblable galvaudage, "prostitution" est le mot, du moindre tas de cailloux moyennageux, panneau informatif à l'appui, chauvinisme local en discours de fond, que l'on vend comme la boîte de cassoulet sur le marché dit " local ", l'ensemble est cohérent. Une fois la saison terminée, chacun remballe ses attributs, stands artisanaux compris, et retourne à sa diagonale du vide ou à ses aquarelles marines, enfin seuls entend-on sur la digue, un entresoi charmant, jetant un oeil envieux à la maison de pêcheur tant convoitée, vendue en Juin à un prix déraisonnable par des héritiers trop contents de toucher le fruit du labeur de leurs ancêtres.

Un quai noir de monde, le même battu par les vents n'ont pas la même saveur.

Il existe des endroits reculés sans ces oiseaux de passage, les maisons y sont vides, été comme hiver, paysages atones d'open field sans charmes particuliers, juste le silence, ce fichu manque de bruit qui angoisse celui qui ne vit qu'avec un fond sonore, ne serait-ce que le chuintement du souffle d'air sous les fenêtres mal ajustées, ou le croassement d'un corbeau égaré.

Des coins où la seule qualité recherchée est le manque total de sollicitation, où l'on entendrait presque la maison murmurer :

Foutez-moi la paix !

Un personnage de vieux ronchon en sort, rajuste sa casquette, le chien suit, il disparaît derrière la bâtisse, en revient avec un outil de jardin, lève les yeux vers un ciel qui s'annonce clément.

Il se parle, regarde l'animal, qui remue la queue, et s'en va vers le jardin, l'heure des braves a sonné se dit-il en souriant.

Bonne journée

La bande-son parle d'une maison qui n'existe plus, la chanson est de 1972, préocupation déjà à l'époque de la disparition d'un passé auquel on n'accordait que peu d'importance. La culture de la vieille pierre commençait à peine à éclore. Dans la bouche d'un poète, elle avait une saveur particulière, le goût des souvenirs à jamais disparus.

Les images ont d'un pays où les vieilles pierres jadis empilés par l'homme n'existent pas, la minéralité est dans la nature, elle lui appartient, à chacun son domaine de création.

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La nuit ravagée de JEAN-BAPTISTE DEL AMO aux Ed Gallimard

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Une banlieue résidentielle est a priori un endroit tranquille, respirant le bonheur paisible des gens heureux et sans histoires. Le cerveau d'un ado est un bouillonnement permanent, une bande d'ados une confrontation d'expériences et de regards, de miroirs et d'échanges, de secrets, avouables ou non, d'un passé déjà lourd d'une courte vie, bref, un concentré explosif qui ne demande qu'à s'exprimer. Quid du moyen choisi ? A chacun sa souffrance inexprimée, cachée derrière le masque d'une innocence feinte, d'une nonchalance surjouée ou d'une agressivité maladive. Les écrans de fumée peuvent rendre l'atmosphère irrespirable quand elles se focalisent sur un lieu propice à tous les fantasmes, nourris de séries ou de romans, mix imaginaire dont sont friands les êtres en construction, testant leurs limites, jaugeant l'autre dans son rapport à la peur, à l'angoisse des terreurs nocturnes, dans l'obscurité se tapit le double de soi, le côté obscur, inavouable car inavoué, même sans préjuger de la nature d'une innocente turpitude. La lucidité n'a jamais guidé les pas de la bande de copains, les évènements dramatiques vont donner matière, pâte à modeler fantasmatique, de la réalité traumatisante va naître un monde parallèle, réponses au silence des adultes, à des questions jamais posées, toujours ignorées.
Les éléments se déchaînent, puis s'apaisent, tout ceci n'était que chimères, le soleil se lève sur des carrés de pelouse fraîchement tondus, un été s'annonce, c'est la fin du voyage.
L'auteur nous entraîne dans un souvenir de jeunesse fortement remanié dont je ne trahirai pas le motif. Les lectures de l'écrivain sont visibles, dont on devine l'influence
L'intelligence du récit est dans la sérénité du décor, avec juste ce qu'il faut d'inquiétant,

la suite, lisez-la.

En image, un tableau d'Edward Hopper et cette chanson de Françoise Hardy en bande-son.

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