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Voyage / il est 8h01 le 16 juin 2025

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Voyage / il est 8h01 le 16 juin 2025

Je note en lisant les posts des réseaux que l'auto-satisfaction est une donnée fort présente chez les acteurs locaux de la vie culturelle. Installés depuis longtemps sur le territoire briochin, membres des structures municipales, à l'abri du besoin, la moindre manifestation collective prend la proportion d'un woodstock régional. A chaque fois que je m'y suis retrouvé en tant que spectateur, j'ai constaté l'existence d'un noyau dur, toujours les mêmes, autour duquel tournoient quelques associations. Difficile de s'y frayer un passage sans être adouber, rester silencieux, s'astreindre aux besognes de bénévoles, sans trop la ramener, en étant vulgaire. Un poil d'amertume, juste un poil, guère plus, à quelques semaines de mon départ de Saint-Brieuc vers une campagne inconnue, nul risque de froisser les susceptibilités.

Il se passe toujours quelque chose ici. Comme partout, regardez les rubriques locales, d'expos en vide-greniers, de concerts en happening de quartiers. J'ai couru les expos de la baie, les brocantes marines et autres pince-fesses. Je ne pratique pas la randonnée collective, ni le longe-côtes, de même facture que le voyage organisé, matrice du sur-tourisme. Le GR34 par beau temps, c'est l'autoroute du sud. Les paysages marins de coin de Bretagne sont magnifiques, chacun le sait, l'on s'y habitue, arpentant en semaine les mêmes sentiers, la couleur émeraude de la mer n'étonne plus, la clarté de la lumière est un bonheur de photographe, d'aucuns disent : on ne s'en lasse pas...

Ben si, justement, on s'en lasse, d'entendre toujours les mêmes exclamations sur la chance d'habiter là où les autres viennent en vacances, le souci est que les rares jours où la plage est fréquentable, elle est .. fréquentée, bouchons à l'appui. Je chaffouine ce matin, je le sais.

Ce matin, il fait gris, et frais, loin des chaleurs estivales constatées ailleurs.

L'actualité est terrifiante et grotesque à la fois, une république bananière est née ce week-end, sous la présidence d'un personnage d'Hergé dans Tintin chez les Picaros, avec en bruit de fond, un peuple qui manifeste pacifiquement contre la honte qui s'abat sur son pays. Chez nous, rien de tout cela, plus personne ne manifeste en France, les braves gens voteront, un nouveau P.S est né, dans ce parti, il en est qui rêve d'une gauche autour de ce pôle idéologique.

La shizophrénie est une maladie très répandue en politique.

Bonne journée

En bande-son, un classique et les images de la grève briochine.

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California not dreaming / Il est 7h35 le 15 juin 2025

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California not dreaming / Il est 7h35 le 15 juin 2025

Connaissez-vous la date de naissance du président français ?

Non. Moi non plus et cela n'a aucune importance dans une démocratie où l'on élit un individu sur un programme (officiellement) et accessoirement sur son allure générale. Si l'on réfère à ce dernier point, le président américain, dont on connaît maintenant la date de naissance, privilégie le bronzage artificiel, le maquillage orangé qui le fait ressembler de plus en plus à une figure de cire de Madame Tussaud's à Londres, le musée Grévin anglais. Pas de délit de faciès mais la fête anniversaire de ce monsieur aux USA passe mal apparemment, la confusion venant des futures célébrations du 250 ème anniversaire de la déclaration d'indépendance du pays. Les multiples manifestations montrent que le grand blond voit sa cote baisser, le clivage s'agrandir de jour en jour entre sa base et le reste du pays. La militarisation des mesures anti-migrants trouve un écho chez les suprémacistes, avec quelques menaces de milices dans les états du sud. Paradoxalement, les riches soutiens de Trump lui glissent à l'oreille que la main d'oeuvre dite illégale est indispensable dans certains secteurs comme l'agriculture, le bâtiment, la restauration et les services de nettoyage, métiers dits "essentiels" que nous avons découvert lors de la pandémie. Comme l'argent est le moteur interne de ce monsieur, il se peut que l'épreuve de force entamée tourne court. C'est à espérer. Le constat d'une atonie du camp démocrate est déplorable, seul le gouverneur de Californie défend et attaque l'autocratie en marche, il est bien seul. Dans l'ouvrage que je lis en ce moment, Le déluge de Stephen Markley, l'on retrouve ce glissement autocratique accompagné de l'abandon des valeurs fondatrices du pays au seul profit des firmes et autres établissements financiers. La lâcheté des corps législatifs corrobore l'ensemble, tous plus corrompus les uns que les autres.

J'aurais l'occasion d'évoquer cette fiction-fleuve (1000 pages) très bientôt.

L'actualité nous assène une fois de plus le pitoyable positionnement de la France et de l'Europe face à l'escalade israélienne en Iran, attaque dite "préventive", de grande ampleur, on parle de plus de deux cent avions impliqués. Les sunnites d'Arabie saoudite s'indignent, finiront-ils par faire ami-ami avec l'Iran, on ne le souhaite pas à l'Etat hébreu. Quelques missiles ont atteint le sol israélien, le dôme de fer a quelques failles. Les sondages en Israël montrent que le peuple de ce pays approuvent encore en majorité l'intervention à Gaza et ailleurs. L'avenir s'annonce des plus sombres pour les habitants de ces contrées.

Beau temps sur la France et fortes chaleurs sauf ici où les vingt degrés sont dépassés de peu.

Bonne journée

La bande-son est un clin d'oeil ainsi que les images, nous souaitons bon courage au gouverneur de Californie.

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Mémoire 2 / Il est 06h30 le 14 juin 2025

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Mémoire 2 / Il est 06h30 le 14 juin 2025
Mémoire 2 / Il est 06h30 le 14 juin 2025

Hier, j'ai écris un truc sur la mémoire et je voulais initialement parler d'un exemple tiré de ma vie professionnelle. Ne l'ayant pas cité, je répare cet oubli. Dans les années 80, peu de libraires avaient un état de stock informatisé, pas au sens où on l'entend aujourd'hui. Une caisse enregistreuse, une vente, le client paie, le libraire note (ou pas) le titre vendu. Le côté aléatoire de la vente fait tout le charme de ce métier jusqu'alors, toute l'incertitude et l'imprécision aussi. Beaucoup se lancent dans ce métier avec un idéalisme touchant, l'exemple_type est l'enseignant(e) qui aime lire, cela va de soi, pense que s'installer derrière son comptoir, prendre un livre et attendre le chaland qui passe est le quotidien de ce beau métier. Cela semble caricatural, que les enseignants m'excusent mais mon expérience regorgent d'anecdotes et de déceptions.

Ce n'est pas le cas, le métier de libraire est physique et suppose, en sus, une mémoire photographique, la vue d'une jaquette devant suffire à retrouver l'ouvrage demandé au milieu d'une pile instable, dernier arrivage des nouveautés de la veille, non encore disposées sur la table prévue à cet effet. La reconnaissance des colis a eu lieu, il est 19 heures, le magasin ferme, le libraire continue sa journée, lecture des quatrièmes de couverture, du livre en cours, celui dont on parle et le soir venu, quelques heures de sommeil...

Là où je vais réside dans l'apparition de l'ordinateur, un investissement très pratique, simpliste pour tout dire. Des milliers de références remplissent les rayons, la mémoire du libraire n'y suffit plus, le nombre de nouveautés à paraître augmente, comment pallier à cette insuffisance ?

Les titres seront rentrés dans la mémoire de la machine, auteurs, prix, un code (ISBN), et une recherche possible via de multiples occurrences. Le tour est joué, le libraire peut désormais répondre à vos questions sur la disponibilité d'un titre, sa date de parution, son prix et...son contenu ?

Il faut attendre un peu, le résumé apparaîtra plus tard. Le temps libéré sert à cela. Pas tout à fait, en vérité, la paresse (qu'on me pardonne) veut que l'on rentre les livres de manière quasi automatique, lecteur optique oblige, sans même lire le titre, ni l'auteur, un code-barre sert de sésame.

Là où le libraire d'avant avait vu, entraperçu, mémoriser, même imparfaitement, tel ou tel ouvrage, le libraire de "maintenant" est obligé de pianoter, il ne sait pas, et passe le plus clair de son temps les yeux rivés à son écran. La perte de temps d'avant n'en était pas une, elle était le coeur du métier. J'ai vu et vécu cette transformation. La culture mémorielle, foisonnement de neurones interconnectés, a disparu au profit d'un support dématérialisé, caressant dans le sens du poil notre capacité d'adaptation. Loin de moi une nostalgie mal venue, le libraire actuel a modifié son regard, adapté son travail et le nombre de titres a explosé, ce qui rend le support informatique indispensable. Il n'existe plus-ou presque plus- de librairies dont le stock n'est pas sur un ordinateur. J'en connais une et franchement, je ne sais pas comment le patron et son employé s'y retouvent, notant dans d'innombrables grands cahiers les commandes-clients.

La mémoire du libraire est le coeur de son métier.

L'exemple est incomplet. Voir un client demander un titre, le libraire réfléchit deux secondes et va chercher l'ouvrage dans une pile improbable sous le regard admiratif du lecteur.

Il y a bien sûr de multiples variantes à cette scène, c'est juste une image.

En bande-son, un flashback suite au décès du chanteur-compositeur des Beach Boys, les images datent de 2014, vous reconnaîtrez les lieux.

Bonne journée

 

 

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La mémoire qui flanche / Il est 7h00 le 13 juin 2025

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La mémoire qui flanche / Il est 7h00 le 13 juin 2025
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La mémoire qui flanche / Il est 7h00 le 13 juin 2025

Je lis un papier intéressant dans le C.I de cette semaine, concernant les effets de notre addiction à internet sur la mémoire, au sens large. Celle-ci est sollicitée en permanence au quotidien, autant pour des broutilles que pour construire un raisonnement, réfléchir à un sujet d'actualité, cherchant des références étayant telle ou telle démonstration. La mémorisation basique, comme l'apprentissage d'un poème, la "récitation" de mon enfance, permettait à l'enseignant d'établir des repères sur le niveau supposé de l'élève, la capacité de l'enfant à recracher les vers de Victor Hugo "Demain dès l'aube, etc... était une valeur sûre, excluant de facto le manque de mémoire, l'intelligence mesurée, supposée telle, orientait le gamin vers les contrées honteuses de l'apprentissage manuel, l'exécutant des basses besognes. La vision de cette dichotomie fait froid dans le dos, elle reste très présente bien que nous sachions discerner les différences entre capacités mémorielles et intelligence analytique, logique ou simple sensibilité créatrice, toutes porteuses d'avenir. Que de dégâts et de destins gâchées par ces visées simplistes, non dénuées d'une certaine paresse professionnelle de la part des enseignants d'alors, à qui l'on demandait d'apprendre à lire, écrire et compter, base de l'homme civilisé, à la grande masse, les plus doués se manifesteraient d'eux-mêmes pour intégrer l'élite de la République. Aujourd'hui, il semblerait que Google ait remplacé en partie l'enseignant, celui-ci accompagne, tente de canaliser et de sélectionner les informations en continu déversées par nos consultations du moteur de recherche, pour tout ou partie de nos vies. Je reviens donc au début de ce billet : des recherches en cours, fort sérieuses on le suppose, montrent que notre paresse naturelle s'appuie sur un clic, que ce soit pour retrouver notre chemin, via waze ou autre, ou conforter notre supposée connaissance, dans le nom de cet acteur entraperçu, ah, c'est trop bête, je l'avais sur le bout de la langue, et Google fait le lien, je le savais... La substitution mémorielle est un tour de passe-passe, le léger travail de recherche "en soi" aurait permis de retrouver de nom oublié, un simple effort d'association d'idées ou d'images à l'aide de notre "moteur" à nous, mais non, la facilité technologique efface d'un coup les sollicitations d'un cerveau qui, de ce fait, s'atrophie, diminue ses capacités cognitives et s'enfonce dans une dépendance pernicieuse. Les "copié-collé" d'étudiants paresseux sur Wikipédia sont une donnée courante de la vie professorale.

Apprendre et retenir, trier les informations, établir des grilles de lecture, prioriser l'information, et non la chercher à tout prix, analyse et synthèse formelles, méthodologie, tous ces préceptes de construction mentale et intellectuelle demandent une activation des synapses, un échauffement des neurones que Google ou d'autres ne fournissent pas en kit, tout comme les tutoriels ne remplacent pas un mode d'emploi, s'il est bien rédigé, je le sais, moi qui ait deux mains gauches.

L'arrivée de l'IA, dont on se demande en quoi le mot "intelligence" peut avoir à faire avec ce qui nous est proposé, les données de départ sont et restent le fruit de l'activité intellectuelle d'obédience humaine, avec ces mystérieuses interactions, ces imperfections, de celles nées d'expériences malheureuses, d'hypothèses hardies, d'erreurs constructives, par lesquelles sont nées la plupart des inventions qui nous "facilitent" la vie.

L'enfer est pavé de bonnes intentions, l'IA en est une et je me garderai d'établir d'autres liens avec l'actualité du jour, la cour de récréation de l'école de Mr Netanyahou devait être d'une grande cruauté, psychanalyse de bazar, je vous l'accorde mais la mémoire d'une enfance...

Bonne journée

Ritournelle de la bande-son sur fond d'images parisiennes de 2017

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Risque zéro / Il est 7h20 le 11 juin 2025

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Risque zéro / Il est 7h20 le 11 juin 2025
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Risque zéro / Il est 7h20 le 11 juin 2025
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Risque zéro / Il est 7h20 le 11 juin 2025

Onze morts dans un établissement scolaire en Autriche, un ancien élève tire sur tout ce qui bouge et se suicide. Ce pays est un des pays les plus sûrs de la planète, gouverné par une droite décompléxée, traduisez d'extrême-droite, à l'abri des migrants, de tout ce qui fait peur aux braves gens, au taux de chomage quasi nul et pourtant, il se trouve un type solitaire qui tue et se tue. Nous avons eu un gamin de 15 ans qui tue une surveillante dans un collège, au cours d'une vérification policère des contenus de sac de collégiens à la sortie de l'établissement. Je ne connaissais pas ces nouvelles méthodes, les flics à l'entrée d'un collège ? Il paraît que ces opérations sont fréquentes. Ca sert à quoi ? J'ai appris aussi que le nombre de surveillants est très faible dans les collèges, faute de budget suffisant. J'ai été pion et je peux vous dire que nous étions utiles dans la circulation des 600 enfants de ce collège breton a la fin des années 70. Les restrictions budgétaires successives ont eu raison de ce poste, qui aidait pas mal certains étudiants et permettait une fluidité des rapports entre les élèves et le personnel. J'aurais beaucoup à dire sur le sujet.

On préfère la maréchaussée aujourd'hui, plus tendance, on voit ce que ça donne. L'établissement ne souffrait d'aucune menace particulière, maintenant, il va souffrir, c'est certain, les médias-vautours vont alimenter la rumeur, cette peste des temps modernes.

Un léger parallèle avec Los Angeles, grossissant le trait, le blond dégénéré qui officie à la Maison blanche éructe à qui veut l'entendre qu'il est nécessaire d'éviter la guerre civile, oubliant au passage que c'est lui qui la provoque, technique grossière du pompier pyromane.

Nous, on a Retailleau et Elisabeth Borne aux commandes.

L'Autriche a décrété un deuil national et se demande encore comment ce pays si propre sur lui n'a pu éviter une fusillade collective digne d'un lycée américain.

Le risque zéro n'existe pas, c'est le propre de toute société, naître est dangereux, vivre suppose des risques, et mourir est une certitude établie et mettre des légions de robocops dans nos rues ne fait que rajouter à ce climat de méfiance généralisé, d'intolérance et de manipulation médiatique.

La bande-son est des meilleurs souvenirs de cinéma, tout y est, mise en scène, lumières, interprétations, musique, osmose parfaite du maître Wong-Kar-Wai, un bonheur.

Les images sont connues, promenade au cap, temps gris et doux, pas de pluie, l'essentiel est sauf et un goéland cabotin en prime.

Bonne journée

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Temps / Il est 8h06 le 10 juin 2025

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Temps / Il est 8h06 le 10 juin 2025
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Temps / Il est 8h06 le 10 juin 2025

Le temps, inexorable, poursuit sa route, faisant fi de toute adversité, laissant sur le bord de la route les êtres limités dans leur développement biologique, à la perception altérée, sens dessus-dessous, ouïe en bouilie, vue brumeuse, toucher au fourmillement suspect, goût ferrugineux d'aliments artificiels, et paroles incompréhensibles, messages perdus dans le désert. Sur la plage de Saint-Malo, la foule se presse, dans les rues étroites, la cohue entre les remparts piétine, cônes de glace dégoulinant sur les chaussures, poussettes hurlantes, mamies trempées de sueur nauséabonde, le soleil est apparu en forme, il grille la foule empesée en ce week-end de Pentecôte, surtourisme caricatural, consommation culturelle non loin, effervescence intellectuelle, la fin du monde est proche, la dystopie devient un phénomène éditorial, confusion entre réalité trop fictionnelle et roman rattrapé par le temps, celui, sans-gêne, bouscule nos certitudes.

La barrière a cédé, l'écriture, lente et besogneuse, s'inscrit dans la durée, ce dont nos actions n'ont cure, les effets dévastateurs ont franchi la blancheur de la page de garde, inondé les lettres et les mots, froissé et dilué l'encre de nos profondes et perspicaces pensées, de nos grandes et imputrescibles prévisions, réduites en une bouillie de cellulose, s'évacuant vers le trop plein, direction l'océan tout proche.

Un fleuve de pâte à papier s'écoule dans la baie de la ville corsaire, qui en a vu d'autres, jusqu'à la prochaine édition.

Les illusions de cet opus restent en suspension, qu'en restera-t-il l'an prochain, quid de celles de l'an passé ?

Que de questions sans réponses, de vains mots, d'échanges fugitifs, de frustrations lexicales et de conversations inachevées !

La semaine reprend ce mardi en un grand silence propice, les acouphènes ne se font pas plus discrets, hélas pour moi, les livres s'empilent sur la table du salon, ne sachant quel volume embrasser.

Pink Floyd et son aérienne batterie... au dessus de Saint-Malo

Bonne journée

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Parasites / Il est 7h38 le 8 juin 2025

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Parasites / Il est 7h38 le 8 juin 2025
Parasites / Il est 7h38 le 8 juin 2025
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Parasites / Il est 7h38 le 8 juin 2025

Avant-dernier jour du voyage à La Gacilly sur fond sonore lié à l'actualité dans la ville californienne. Il semblerait que Trump franchisse un pas dans sa construction mentale en envoyant la garde nationale et l'armée pour appliquer d'absurdes mesures discriminatoires envers les migrants, éléments indispensables à l'économie de cette région, comme dans beaucoup d'autres, et revanche personnelle envers le gouvernement démocrate de l'Etat et de la mégapole. Ce qui se passe là-bas est toujours amplifié par une couverture médiatique étant, de ce fait, exemplaire pour beaucoup. Le danger est réel d'une explosion sociale dans une ville où les inégalités sont criantes, où la moindre étincelle ravive les tensions raciales et sociétales. Utiliser la force brute militaire en interne dans une démocratie peut donner des idées à d'autres, la radicalité de la méthode peut séduire les esprits simples et les démagogues de tous horizons.

L'actualité est aussi sportive et intellectuelle.

Une étoile du tennis brille de plus en plus, après le gain de la finale de Roland-Garros, match disputé opposant une totale maîtrise émotionnelle à une débauche explosive. La sérénité a gagné.

Le salon Etonnants voyageurs bat son plein à Saint-Malo, autre débauche, multiples rencontres et livres à foison. Art Rock à Saint-Brieuc et ses décibels, affiche de choix, je n'y étais pas, plus de billets six semaines avant l'ouverture.

Les morts s'empilent à Gaza, et le sieur Macron est en visite d'Etat à ...Monaco. Il faudra m'expliquer à quoi sert cette ville, quintessence du bling-bling et refuge de nouveaux riches aux goûts aussi clinquants que vulgaires. On va me dire que je suis jaloux et envieux, que nenni, je trouve juste ça indécent, la seule justification de ce micro-état est dans le paradis fiscal qu'il représente sur le territoire français. C'est marrant comme cela ne choque personne, y compris celles et ceux qui reprochent à des malheureux de venir se réfugier chez nous, simple devoir de protection, sans trouver à s'indigner sur les vrais parasites paradant, bimbos et vieux beaux, sur les quais ou dans les salons de palaces au mauvais goût définitif.

Bonne journée

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Bombes et concerts / Il est 7h14 le 7 juin 2025

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Bombes et concerts / Il est 7h14 le 7 juin 2025
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Bombes et concerts / Il est 7h14 le 7 juin 2025
Bombes et concerts / Il est 7h14 le 7 juin 2025
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Bombes et concerts / Il est 7h14 le 7 juin 2025
Bombes et concerts / Il est 7h14 le 7 juin 2025
Bombes et concerts / Il est 7h14 le 7 juin 2025

Images de l'expo de La Gacilly, photographes britanniques, version rock aujourd'hui, sur fond de musique des sixties. Je n'ai pas entendu ces morceaux à leur sortie, mes parents n'écoutaient pas les Beatles ou les Stones, plutôt Nana Mouskouri, que je vis en concert à cette époque, mon premier concert, en 1966.

Tranquille introduction de ce jour avec en une 400 drones et 60 missiles sur la deuxième ville d'Ukraine. On a l'impression que cela peut durer éternellement, ces nouveaux joujous meurtriers sont bon marché, les soldats s'amusent à viser les gens qui font leurs courses, un jeu vidéo grandeur nature, pourquoi se priver ?

Une autre guerre se déroule au Congo, pour des raisons économiques, qui nous concernent directement, les mines diverses intéressent tout le monde et l'on manipule des groupes armés pour défendre les intérêtes de tel ou tel multinationale. Je la fais courte mais c'est de cela dont il s'agit.

On en reparlera, la priorité, c'est Gaza, dans l'échelle médiatique, pour plein de raisons.

L'Ukraine tient la corde, derrière, nous avons le Soudan, puis vient l'Ethiopie, province du Tigré, etc...et le Congo.

J'arrête pour aujoujourd'hui, j'ai d'autres occupations, c'était juste histoire de raconter que notre terre bruisse de mille bombes, de tennis et de foot, de musique rock, de photos exposées et du petit café sur une terrasse près d'un salon du livre en bord de mer.

Maxime en bande-son, merci pour tout.

Bonne journée

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Amnésie / Il est 7h28 le 6 juin 2025

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Amnésie / Il est 7h28 le 6 juin 2025
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Amnésie / Il est 7h28 le 6 juin 2025
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Amnésie / Il est 7h28 le 6 juin 2025
Amnésie / Il est 7h28 le 6 juin 2025

Les images d'aujourd'hui sont des clichés d'autres, photographes anglais choisis dans le cadre des expos de La Gacilly (56), ouvertes le week-end dernier jusqu'au 1er octobre. Le thème est la Grande-Bretagne avec en complément plusieurs focus sur la nature et les problèmes d'environnement, Yves Rocher finançant une fondation témoignant de son intérêt pour notre belle Terre, le tout enrobé de bons sentiments. Les résultats n'en sont pas moins spectaculaires. Une série de douze aujourd'hui sera suivie d'autres dans les prochains jours.

La une d'aujourd'hui est la reconduction d'Olivier Faure à la tête du Parti Socialiste, ce qui laisse espérer une ouverture vers les autres composantes de ce qui reste de la gauche, les autres candidats n'ayant pas, selon mes informations, une opinion très flatteuse de LFI, pour ne pas les nommer. Dans tous les cas, ça promet quelques conversations animées. Je commence à percevoir (mieux vaut tard) le pourquoi de certains reproches faits à JLM concernant l'engagement très prononcé dans le contexte particulier des quartiers périphériques de nos métropoles. La composante de ces lieux est marquée, chacun le sait, LFI y a une réelle assise, désequilibrée si l'on tient compte de la diversité des territoires du pays. Le discours politique de ce parti s'en trouve orienté par des préoccupations spécifiques, à la connotation mal perçue par les habitants de régions autres, France profonde et autres petites villes. La perfidie des médias appuie sur ce particularisme des Insoumis, lui prêtant des allégeances qui n'existent pas, ouvrant la voie à des caricatures innommables, notamment, les soupçons d'antisémitisme, lors des condamnations des massacres de Gaza. LFI a condamné l'intervention d'Israël dès le début des bombardements, ce qui lui a valu une avalanche de propos diffamatoires, y compris par les caciques du PS, y voyant un soutien indéfectible du Hamas. Il y eût le même discours concernant les positions de LFI sur la guerre en Ukraine, l'analyse prenant en compte les spécificités de ce pays, moins manichéenne que beaucoup d'autres, dédouanant l'Occident de toutes ses responsabilités. Poutine est un dictateur cynique et sans scrupules, personne n'en doute, y compris  à LFI. Laisser de côté le copinage de Mme Le Pen avec le maître du Kremlin a du faire sourire à Moscou.

Tout ce petit laïus pour répéter que les mots prononcés sur les antennes diverses sont toujours déformés, d'où qu'ils viennent, personne ne sort indemne de ce jeu de dupes et, en dernier lieu, ne vous trompez pas d'ennemis, messsieurs les bien-pensants, sous peine d'un réveil douloureux. La montée de l'extrême-droite, dans les têtes et dans les urnes rappelle à la responsabilité de celles et ceux qui se sont succédés au pouvoir depuis quelques années, promesses non tenus, ambiguité non assumée, et l'on pourrait extraire, tout en gardant le contexte, quelques savoureuses sorties médiatiques vite contredites par les faits.

Bonne journée

La bande-son est de passage, comme nous tous.

 

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Puzzle / Il est 7h59 le 5 juin 2025

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Puzzle / Il est 7h59 le 5 juin 2025
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Puzzle / Il est 7h59 le 5 juin 2025
Puzzle / Il est 7h59 le 5 juin 2025
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Puzzle / Il est 7h59 le 5 juin 2025
Puzzle / Il est 7h59 le 5 juin 2025

Je ne prends pas systématiquement les "une" du Monde numérique. C'est une accroche comme d'autres. Philippe Labro est mort à l'âge de 88 ans. Ce journaliste, essayiste, cinéaste et romancier avait une distinction et un talent indéniable. Lors de mon dernier passage à Paris, je l'ai vu qui attendait quelqu'un devant les cinémas en bas de la rue d'Odessa, le regard perdu dans ses pensées. Le quartier est très animé et l'on y croise souvent des gens connus. Montparnasse est une gare, et à ce titre voit passer une foule de gens qui viennent prendre un bain de culture et de sorties diverses. Il se trouve que l'entreprise pour laquelle j'ai travaillé a son siège dans une rue non loin, celle du Montparnasse. Les nombreuses soirées passées dans les restaurants du coin me rappellent quelques bons souvenirs. Je prends souvent une chambre dans un des hôtels, à la sortie du train, pour quelques mois encore, d'autres gares m'attendent.

Dans la presse, les mesures liberticides de Trump font la une, le racisme découvre ses racines en France, enfin, la presse semble en prendre connaissance après les crimes récents d'inspiration ouvertement xénophobe. L'hallucinante mauvaise foi des médias, dans un premier temps, laisse la place à une redécouverte de l'Histoire idéologique de l'extrême-droite, celle qui fonda le RN d'aujourd'hui, en tentative de banalisation. La poissonnière et son apprenti s'indignent faussement de ces crimes, après avoir jeté de l'huile sur le feu. Simultanément, neuf députés de ce parti participent ouvertement à une page Facebook ouvertement raciste, homophobe et j'en passe. J'attends avec gourmandise les réprimandes qui ne manqueront pas de suivre (doute).

Un entrefilet m'informe des élections au sein du parti socialiste, structure qui fut la mienne il y a fort longtemps. Le ton du papier faisait état de grosses difficultés d'organisation de ces élections. L'appareil de ce parti souffre d'un manque de cadres et de militants, suite aux différends revers électoraux. Il est à souhaiter que les prochaines échéances clarifient le message et éradiquent une fois pour toutes la maladie endémique de ce parti, à savoir les multiples courants qui, s'ils se justifiaient dans un parti fort, ne seront plus bientôt que des ruisseaux se perdant dans les sables de l'Histoire. Rien de personnel là-dedans, mais le temps, impitoyable juge de paix, range dans le placard à souvenirs les images du poing et la rose, belle image aujourd'hui tombée en désuétude.

Parcourir la presse reste un de mes passe-temps à l'heure du petit déjeuner, le Liban fait le une de C.I cette semaine, pays créé de toutes pièces, multiconfessionnel selon son histoire officielle. Ce puzzle improbable aurait été viable si l'on avait érigé la laïcité comme ciment national, laissant de côté les croyances diverses, tout en leur permettant de pratiquer leur culte. L'on connaît la suite et l'impossible cohabitation, les guerres intestines et le recherche vaine d'une identité par delà une image d'orientalisme importée d'Occident.

Je pourrais continuer le survol des nombreux sujets traités, il reste le sport, opium bien connu, celui qui mélange avec cynisme fanatisme et aveuglement. J'ai noté que Madame Hidalgo n'a pas félicité le PSG pour sa victoire, elle était en voyage, elle a raison, ses rapports avec le club sont détestables, notamment avec ses commanditaires. Rien que pour ça, elle a toute mon estime.

Bonne journée.

La bande-son illustre le propos et les images n'ont rien à faire là, ce pourquoi elles y sont.

 

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